Paronymie

composition, dérivation, familles de mots, initiation à l’étymologie ; - sens propre et sens figuré ; - niveaux de langue ; - reprises et substituts du nom (en lien avec l’étude des classes grammaticales : les noms et pronoms) ; - synonymie, antonymie, paronymie. Pour mettre ce travail en cohérence avec les activités de lecture et d’écriture, le professeur construit des réseaux de mots à partir d’entrées lexicales choisies en relation avec les œuvres étudiées. Il peut, par exemple, privilégier les pistes

d'être à la fois homophones et homographes :     Les homophones ne sont pas homonymes s'ils ne sont pas homographes et vice versa : Un vers de la terre Sur un ver de terre Dans un verre de terre Voilà trois ---- bien terre à terre. Paronymie Les paronymes sont des lexèmes dotés d'une similitude formelle mais qui sont sémantiquement distincts. consommer / consumer induire / enduire Cette ressemblance des formes a des conséquences sémantiques. La distinction de sens n'est plus

: Dégageons le ou les différents sens d'un mot, analysons la valeur du choix d'un mot et utilisons un vocabulaire riche et précis. I° Définition La sémantique se définit comme l'étude du langage du point de vue du sens (polysémie, synonymie, paronymie...). II° Les différents instruments lexicaux 1. Polysémie et champ sémantique Les mots sont composés d'un signifiant et d'un signifié. Lorsqu'à un même signifiants correspondent plusieurs signifiés, on dit que le mot est polysémique. La plupart

J’étais à côté d emon ami Jean !… Il y avait d’autres gens ». Ce qui fait dire à Botard « Vous bafouillez, ma parole. » Le nom de Bérenger réapparaît, comme nous l’avons vu, dans trois autres pièces de Ionesco. Il représente l’homme angoissé, par paronymie il est l’homme « dérangé ». Contrairement aux autres personna ges, qui restent identiques à eux-mêmes à travers toute la pièce, il va connaître une évolution. Dans le premier acte il paraît passif, les événements ne le concernent pas, même l’apparition

personnages incarnant l’identité nationale (la référence à une phrase célèbre du général De Gaulle dans la publicité Kronembourg de 1972). Du point de vue du décodage, on peut remarquer l’importance du recours à l’homonymie (bars/barres) et à la paronymie (top/taux, délit/Dailies) afi n de rendre transparent l’hypotexte et d’activer ainsi l’assimilation identitaire dont il est investi. Une partie des énoncés regroupés dans cette catégorie correspondent plus exactement à la classe des collocations

va 3 imprécations (malheur en anaphore + Honte) enchaînées dans une gradation ternaire => image de l'automutilation (l'utilité est donc intrinsèque à sa nature) opposition frère / désert, sandales / scandales renforcée par la rime riche et la paronymie - un élu : début et fin de l'extrait : Dieu le veut / mène à Dieu (origine et fin) pareil aux prophètes + opposition voit / végètent emploi absolu des verbes : il voit, il pense Dieu parle à voix basse à son âme opposition : inscrit / ce que

table L'homonymie : deux mots sont déclarés homonymes si leurs paraphrases définitoires ne manifestent aucun trait sémantique commun (grève, grève). On distingue les homophones (cinq, saint, ceint, sein, seing) des homographes (portions). La paronymie : homophonie incomplète qui provoque des confusions (collusion / collision ; conjoncture / conjecture, ...). Le sens propre d'un mot = son sens premier, "logiquement antérieur aux autres". Le sens figuré = le (ou les) sens qui en dérive(nt)

ANTANACLASE est la répétition d'un même mot avec des sens différents L'HOMOPHONIE : LE CALEMBOUR Les signifiants sont identiques et les signifiés n'ont strictement aucun rapport (Dim, météo et tes bas - Thé Eléphant : un parfum de nouveau thé) LA PARONYMIE (ou paronomase) Les signifiants sont presque identiques : l'éloge du vin est l'éloge divin (Desnos). C'est la belle de match (Peugeot 205). Le Grand méchant Look (Naf naf). C'est l'Arbell vie (chaussures Arbell). Gervais, j'en veux. Valda, ça me

entre ces trois figures, on parlera de métonymie… - La périphrase : reprise d’une information par reformulation. Figures et procédés portant sur le lexique : polyptote : répétition d’une base lexicale avec modification des suffixes, paranomase (paronymie): jeu sur la proximité phonétique de plusieurs termes. Entraînement. Repérez les figures… « Les sanglots longs de violons » Paul Verlaine. « Ainsi Amour inconstamment me mène Louise Labé « Je reste confus et je demeure confondu »

locuteur : - "Allô, maman ? - Oui. - C’est Jésus ! - Non ! - Messie !" Le comique est fondé sur le calembour : Mais si / Messie. • L’exploration des ambiguïtés lexicales : isotopies, homonymies, synonymies et paronymies : "Deux chiens se rencontrent au coin d’une rue, ils engagent la conversation. - "Vous avez vu le nouveau lampadaire ? - Ma foi, non ! - Alors venez, ça s’arrose." L’humour repose ici sur les deux isotopies (niveaux