Partie prenante

AU-DELÀ DU RATIO D’ÉQUITÉ UN NOUVEAU PARADIGME S’IMPOSE : DES CONSEILS D’ADMINISTRATION CRÉATEURS DE VALEUR COLLECTIVE ET D’HARMONISATION DES INTÉRÊTS DES PARTIES PRENANTES Louise Champoux-Paillé, C.Q. F.Adm.A, ASC, MBA 402-90 rue Berlioz, Montréal, (Québec) Canada, H3E 1N1 514-769-5947 lchampouxpaille@bell.net Février 2014 Table des matières 1 MISE EN CONTEXTE : ÉVOLUTION DE LA RÉMUNÉRATION DES HAUTS DIRIGEANTS ..........................................................

de stakeholder reste une vision classique et traditionnelle qui se définit comme un avantage ou un rendement que les parties prenantes tirent de l’activité d’une entreprise. Il est présent dans la plupart des pays européens. L’objectif à atteindre consiste moins en la maximisation de la richesse des actionnaires que dans la défense des intérêts de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise (salariés, clients, actionnaires, dirigeants…). Voici la comparaison des deux modèles : Valeur

professionnelle Sandrine Place qui nous a orientées dans la définition de notre sujet et nous a donné de nombreux conseils afin d’approfondir notre réflexion. Elle nous a surtout aidées dans nos préconisations qui nous ont permis d’enrichir la troisième partie de notre mémoire. Nous remercions également nos deux tutrices universitaires de mémoire, notamment Yanita Andonova, qui nous ont épaulées et suggéré également des pistes de réflexion théoriques pour la conception de notre mémoire. Enfin, nous remercions

Mission d’obligation Délais de paiement c) Définition managériale Une entreprise c’est un nouds de contrats et elle pour but de satisfaire l’ensemble des parties prenantes (=stakeholders : actionnaires, clients, employés, fournisseurs…). L’entreprise est une sorte d’équilibre et elle essaye de satisfaire toutes les parties prenantes. Dans les grandes entreprises, les dirigeants sont souvent salariés et non propriétaires. Dans cette situation, nous ne sommes pas sûrs que le dirigeant va respecter

Dans ce résumé sur l’entreprise Wal-Mart, j’ai pu constater que dans les années 2000 Wal-Mart afin de tenir cette promesse : « Always low prices, always », a pu avoir des comportements non étiques, afin de répondre à la pression croissante des parties prenantes. Dans ce cas on parle de comportements non éthiques car l’ensemble de règles qui régissent le mode de pensée et de conduite des acteurs ne tiennent pas compte des lois, des usages et de la culture. Au niveau du management, il n’y a aucun

d’autres leviers de réduction des coûts très efficaces supposent que les acheteurs ne travaillent pas que sur les fournisseurs et les prix : optimiser ce qui est acheté (quantités et spécifications) et comment (consolidations, visibilité…). - Mais la partie ‘revenus’ peut aussi être touchée par les Achats : * à court terme à travers la maîtrise des aspects Qualité / Délais / Risques : p. ex. la rupture d’une chaîne d’approvisionnement a un impact majeur sur le revenu ! * à moyen et long terme

ses clients - cherche à réaliser un profit dans le but de se développer 2 justifications x 0,5 pt = 1 pt - Finalité économique car : - mêmes justifications que précédemment - Finalité sociale car : 0 ,5 pt Se préoccupe de ses parties prenantes en : - prenant en compte les attentes de ses salariés - améliorant leur « bien être » au travail 2 justifications x 0,5 pt = 1 pt - Raisons de cette évolution : 2 explications x 1 pt = 2 pts - évolution de l’entreprise : à sa création, il fallait

Travail réalisé par : EL HANI Kawtar EL MAALOUM Oumaima MAALAL Mehdi NAZIH Ilyass Encadré par : M. CHRAIBI Hassan Sommaire : I. Introduction II. Partie théorique 1. Définition de la rse et développement durable 2. Dimensions de la rse 3. Origines du concept 4. Ethique et RSE 5. RSE : OBSTACLES AU Maroc III. Partie pratique Etude de cas : menara holding IV. CONCLUSION V. BIBLIOGRAPHIE I. Introduction : Au Maroc, le débat sur

d’orienter, les entreprises vers un développement durable, que ce soit par une meilleure prise en compte des incidences sociales et environnementales de l’activité de l’entreprise, que ce soit dans les modes de gouvernance ou dans les relations avec les parties intéressées, que ce soit par les valeurs éthiques auxquelles l’entreprise fait référence. C’est sur l’ensemble de ce champ que notre Comité s’est considéré comme mandaté, soit les domaines couverts habituellement par les notions de « Responsabilité

nombreux acteurs – on qualifie ces acteurs de « parties prenantes de l’entreprise » (stakeholders en anglais). La conception traditionnelle selon laquelle l’entreprise n’a de compte à rendre qu’à ses actionnaires est aujourd’hui totalement dépassée. Entre les parachutes dorés, les stocks options, les truquages de bilans et la libération excessive des mouvements de capitaux, la nécessité d’une gouvernance de l’entreprise intégrant toutes les parties prenantes se fait de plus en plus sentir. En bref,