Platon Hippias Majeur

prétendue universalité du beau est remise en cause par la sagesse populaire, qui utilise à outrance le dicton bien connu : " Les goûts (…), ça ne se discute pas ! " … Pourtant maints philosophes se sont risqués à une définition du beau. Dans son Hippias Majeur, Platon parle de " ce qui est agréable à la vue et à l’ouïe ". Plus tard, le philosophe d’Outre-Rhin Emmanuel Kant (1724-1804) affirma dans sa Critique de la faculté de juger que " le beau est ce qui plaît sans concept ". Cette ultime définition nous

moyen âge (St. Thomas d'aquin), antiquité romaine (tite live tacite horace), Grèce antique. Anciens: culture romaine grecque chrétienne. A] "le savoir grec" -Socrate Platon Aristote. Herodote. Le plus anciens: Homere 8eme av jc. Pas de traces écrites. Ensuite les historiens comme Herodote thucidide ou Platon, parlent d'homere qui a 4sciecles de plus qu'eux. "grecs anciens" -> conscience de leur culture grecque. Même langue dans un large bassin. Dc pa suffisant. Grecs vivent dans le

|Activité libre | |Peut être imposée de manière contraignante | | Platon Hippias majeur Beauté = harmonie : équilibre parfait entre excès/défaut Beauté = convenance fonctionnelle : forme adaptée à la fonction Le Banquet : dialogue sur l’amour. Dioctine (perso féminin) -> définition de l’amour basé sur la beauté. Critère :

retrouve : - les esclaves : se sont des prisonniers de guerre, ils sont donc privés de toutes sortes de libertés - les femmes  - les mineurs - les étrangers : les métèques La citoyenneté est acquise de manière héréditaire, être majeur, mais les droits de l’homme n’existe pas en Grèce car ce n’est pas un système individualiste. Exemple de la Liberté (l’ eleutheria) : ce n’est pas la liberté individuelle, en Grèce c’est la liberté politique : liberté de créer la loi, quand cette

dialectique. Mais en quoi consiste précisément la dialectique de Zénon ? Dans le Phèdre de Platon, dialogue sur lequel se fonde le témoignage d’Aristote sur Zénon, Socrate dit de ce dernier qu’il parlait « avec tellement d’art qu’à ceux qui l’écoutaient les choses apparaissaient semblables et dissemblables, un et multiple, en repos et en mouvement »[2]. La dialectique de Zénon est alors appelée par le Socrate de Platon : « l’art de l’antilogie ». Celui-ci dote les choses qu’il expose d’attributs opposés

surhomme un objet de risée et de honte. signification de la phrase : Pour l’homme, le singe est une honte. L’homme doit être une honte pour le Surhomme.Ici, Nietzsche se réfère sûrement à un fragment d'Héraclite, lequel est cité par Platon dans l' Hippias Majeur : "Le plus beau singe est laid au regard du genre humain." (289a) "L'homme le plus sage parait un singe devant Dieu." (289b) À la ligne 8-9, « Le surhomme est le sens de la terre », signification de la phrase : il enracine à la terre

prétendue universalité du beau est remise en cause par la sagesse populaire, qui utilise à outrance le dicton bien connu : " Les goûts (…), ça ne se discute pas ! " … Pourtant maints philosophes se sont risqués à une définition du beau. Dans son Hippias Majeur, Platon parle de " ce qui est agréable à la vue et à l’ouïe ". Plus tard, le philosophe d’Outre-Rhin Emmanuel Kant (1724-1804) affirma dans sa Critique de la faculté de juger que " le beau est ce qui plaît sans concept ". Cette ultime définition nous

contenu intérieur (pas visible si pas manifesté) une forme extérieure. Donner une forme sensible à un contenu intérieur (=sentiment, info, ordre). (Désobéissez moi → injonction paradoxale.) "La pensée est un dialogue de l'âme avec elle même." Platon, Théétète Apprendre à parler c'est apprendre à penser. Je ne peux pas penser si je ne me parle pas. Sans mots : monde sans signification. Les poétes essaient d'enlever significations aux choses. Si choses ont significations alors ils renvoient

qui peut nous intéresser et c’est le point de vue esthétique. Il faut d’abord établir une chose, c’est qu’une oeuvre d’art n’est pas la fidèle copie de la réalité, comme le pensaient les classiques, comme c’est le cas de Platon. Ce philosophe nous dit dans son oeuvre Hippias Majeur, que la beauté constitue un critère décisif lors du jugement d’une oeuvre d’art. C’est ce critère qui lui permet de discerner ce qui peut-être ou non une oeuvre d’art. Or, tant la beauté comme la morale sont très relatives

pays pour connaître leurs opinions. Il confronte ces nombreuses opinions et en retire une opinion commune et universelle et enfin en déduit donc que celle-ci est la vérité et donc réel. Nous pouvons voir l'exemple de la beauté dans le texte Hippias Majeur de Platon (disciple de Socrate), si l'on questionne tous les hommes sur ce qu'est la beauté, et bien une opinion universelle va se détacher et par conséquent nous allons pouvoir déterminer réelement ce qu'est la beauté. Ainsi Socrate arrive grâce à