Post Taylorisme Ou Néo Taylorisme

« LE PROGRES TECHNIQUE EST-IL LA SOURCE D’EFFICIENCE DU SYSTEME PRODUCTIF ? » Introduction 1. On peut constater avec nombre d’auteurs, depuis N. D. KONDRATIEV et J. A. SCHUMPTER, jusqu’à E. MANDEL et C. FREEMAN (Néo-schumpetérien, théorie évolutionniste) que chacune des périodes longues d’expansion repose sur une base technique spécifique constituée par des systèmes particuliers et par certaines industries motrices caractéristiques (F. PERRROUX) qui polarisent et entraînent l’activité économique

| ADAPTER LES PRATIQUES DE GRH AVEC L’ORGANISATION APPROCHE POUR IDENTIFIER LE TYPE D’ORGANISATION D’UNE ENTREPRISE : 1. Distinguer les trois grands modèles d'organisation des entreprises. L’entreprise NEO- TAYLORIENNE Environnement stable et productions répétitives Faible niveau de qualification du personnel de production Direction par objectif DPO Pouvoir très concentré au sommet de l'organisation pyramidale Communication rare des stratégies

monétaire issu du traité de Bretton Woods qui promeut les changes fixes ♣ 1947: le plan Marshall = aide américaine pour la reconstruction de l'Europe Un dernier quart de siècle contrasté: un début morose, une fin très annonciatrice. Une société 'post moderne'. Oppositions facile des 'Trente Glorieuses' de Jean FOURASTIE et les 'Trente Piteuses' Entrée dans la stagflation du au premier choc pétrolier de 1973 qui est considéré comme le point de rupture de la croissance : ralentissement de l'activité

concurrence des entreprises asiatiques, fonctionnant selon le modèle du toyotisme). Aujourd'hui, les modèles primitifs du taylorisme et le fordisme ont dû changer pour s'adapter : ils ne sont plus ce qu'ils étaient, en raison de la concurrence, et, notamment, de leur incapacité à faire face à une production plus diversifiée. D'où l'émergence des modèles dits « néo-fordistes » et « post-tayloristes ». Le Toyotisme : Taiichi Ōno met au point un système de gestion de l'entreprise simple

l’organisation du travail et qu’elles ont plutôt favorisé l’emploi précaire. 1 – LE TOYOTISME SE PRESENTE COMME UN PROGRES POUR LES SALARIES A – UN NOUVEAU TYPE D’ORGANISATION DE LA PRODUCTION ... Phrase introductive = A la fin des années 60, le Taylorisme et le Fordisme, qui parcellisaient à outrance les tâches, sont violemment contestées par des jeunes ouvriers de mieux en mieux formés. Dans le même temps, au Japon, de nouvelles formes d’organisation, qui se voulaient être l’antithèse du fordisme

conception et la division du travail se fait en fonction du néo-taylorisme (spécialisation du travail enrichi) - à l'horizontal : poste qui contient un ensemble de taches, le nombre de taches d'un poste = la largeur du poste - division verticale : on sépare les taches de préparation, d'éxécution et de contrôle. Le degré de maîtrise du poste = profondeur du poste dans la structure on a des taches qui donnent des postes, plusieurs postes donnent des unités et plusieurs unités donnent des départements

PSYCHOLOGIE DES ENTREPRISES Chapitres I : Mode d’organisation du travail et le management des hommes. 1. LE TAYLORISME ET LE FORDISME *1ER PHASE DE DÉVELOPPEMENT : début de l’ère industrielle au XIXème siècle. Organisation du travail laissé aux travailleurs, la direction définit la quantité et la qualité de la production. Machine-outil ou machine universelle permet d’usiner n’importe quelle pièce. Ce sont des productions unitaires ou de petites séries. Ouvrier = personne autonome ayant

Sociétés, tome XXXIV, n° 4, avr. 2000, série Economie du travail, AB, n° 21 halshs-00327617, version 1 - 9 Oct 2008 ________________________________________________________________ Face à l’extension et au renouvellement de l’analyse d’inspiration néo-classique, la légitimité d’analyses hétérodoxes en économie du travail n’est plus aussi assurée qu’auparavant. La perspective hétérodoxe conserve cependant une portée qui lui est propre parce qu’elle est associée à des problématiques qui sont inaccessibles

normative sur la division du travail est porté par Taylor. 1. F.W. Taylor (1856 – 1915) Cette ingénieur américain souhaite augmenter la productivité au travail pour cela il va créer l’Organisation Scientifique du Travail (OST) aussi appelé le Taylorisme. Il observe les travailleurs et remarque une « flânerie systématique ». Selon Taylor et les classiques, l’individu travail pour avoir un salaire, il échange sa force de travail contre un salaire. Pour cela il propose une division du travail :

Le management participatif 1. Une réaction face au taylorisme  1.1. Le taylorisme et ses limites 1.2. La naissance du management participatif 2.Définition du management participatif 2.1. Les principes du management participatif 2.2. Les facteurs clés de succès à la mise en place d’un management participatif 2.3. Outils du management participatif 2.4. Les avantages du management participatif 3. Les limites du management participatif 3.1. Problème de temps et de coût  3.2. Résistance du