Post Taylorisme Ou Néo Taylorisme

rapport entre la production et les moyens mis en œuvre pour produire. Ou : -8- Par ailleurs le progrès technique permet l’augmentation de la productivité des facteurs pour une meilleure utilisation des ressources humaines et matériels (taylorisme). -1- L’industrialisation : La formation d’une infrastructure à dominante industrielle est un élément déterminant de la croissance, ceci est apparaît lors de l’analyse comparative des niveaux de développement de divers pays et de leurs potentiels

et au début du 20ème , aux Etats Unis, sous l’impulsion de Taylor. Ce dernier est à l’origine de l’organisation scientifique du travail (OST). Il a été ensuite relayé en France par Fayol qui proposa en 1906 une doctrine administrative. ✓ Le taylorisme : Taylor part du principe que l’organisation du travail n’est pas efficace. L’ouvrier doit exécuter l’ensemble des tâches de production, pour cette raison il n’a pas un rendement optimal. Donc le système laisse à manquer. Comme solution

ont 3 rôles, garant de fournir des infrastructures permettant les échanges (facilité sur le marché…), garant de la sécurité de la nation, garant de la justice et l’équité sociale (tout le monde sous les même lois, plus sécurité interne) La théorie néo-classique è Fonctionnement de l’organisation s'explique par l'état du Mché è Régularisation par des contrats individuels è Organisation = unité technique coût minimum des facterus de production è Fixation du prix des produits en fct du mché =

2. L’aspect juridique Le premier point qu’il nous faut développer est l’aspect juridique et régulation du marché postal en France. Ce marché est sous la juridiction de l’ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes) et son objectif est de libéraliser et réglementer les marchés français en matière de moyens de communication. Cette institution possède un pouvoir de sanction et peut saisir le conseil de la concurrence. La volonté de libéralisation est issue de

I- L’OST (organisation scientifique du travail) et sa crise I-1 Le taylorisme I-2 Le Fordisme : trois innovations essentielles I-3 Les limites de l’organisation scientifique du travail : deux ruptures II- Le nouveau modèle flexible II-1 Une révolution organisationnelle II-2 L’entreprise comme unité intégrée III- Les scénarios du post-fordisme : l’éventail des possibles III.1. Les candidats au post-fordismes III-2 Des diagnostics contradictoires Conclusion : à la recherche

travail fait référence à deux organisations du travail distinctes, qui ont dominé, chacune à des époques et à des contextes différents. C’est l’organisation Fordienne du travail, qui approfondit le Taylorisme qui a connu son heure de gloire dans les années d’après guerre, lors des 30 glorieuses, puis le post fordisme qui atteint son apogée durant la période appelé les 20 calamiteuses. Mais la « modernité » de la conception du temps de travail, du point de vue de l’entreprise entre inévitablement

pesanteurs des grandes organisations. Histoire de l'analyse économique (1954, grâce à sa 3e épouse) : les phénomènes économiques sont aussi historiques et sociaux Hétérodoxe (i.e. difficilement classable parmi les économistes) car : Il s'oppose aux néo-classiques : la règle en économie est le déséquilibre Il s'oppose à Keynes sur le rôle de l'Etat Il s'oppose aux marxistes quant aux libertés individuelles et à la dynamique capitaliste Il recourt à l'histoire et à la sociologie Il sera influencé

émigration …. Tous les 7 à 10ans, il y a eu des crises jusqu’à la guerre de 14-18. Question : comment rétablir l’équilibre de cette situation instable ? Crise de surproduction (Révolution industrielle) : trop d’offre par rapport à la demande. La pensée néo-classique apparaît autour de cette question d’équilibre : marché doit être un autorégulateur. Or, la crise de 1929 va remettre en cause ce système. Conséquence de la crise de 29 : les théories de J-M Keynes (grand économiste du XXème siècle, 1883-1946)

I- L’OST (organisation scientifique du travail) et sa crise I-1 Le taylorisme I-2 Le Fordisme : trois innovations essentielles I-3 Les limites de l’organisation scientifique du travail : deux ruptures II- Le nouveau modèle flexible II-1 Une révolution organisationnelle II-2 L’entreprise comme unité intégrée III- Les scénarios du post-fordisme : l’éventail des possibles III.1. Les candidats au post-fordismes III-2 Des diagnostics contradictoires Conclusion : à la recherche

– Le parti des patrons, Seuil, 1986. 1 Introduction La sociologie des organisations prend son essor réellement dans les années 1940-1950 aux États-Unis, à partir de réflexions sur le phénomène bureaucratique souvent relié à l’essor du taylorisme dans les entreprises. On peut ici relever que le modèle taylorien se rapproche sensiblement du type idéal (modèle bureaucratique rationnel-légal) décrit par Max Weber (« Economie et Société") à propos des formes d'autorité et d'organisation dans