Pouvons Nous Satisfaire Tous Nos Desirs

même si celui-ci n’est pas accessible directement. La volonté est cependant immédiatement connu le moment venu et nous expose nos désirs les plus profonds. En d’autres mots, la volonté est inconsciente pour Schopenhauer. Celle-ci s’expose avec le monde qui nous entoure, car en voyant et en réalisant des choses, notre inconscient vient a se connaître et expose ses désirs au conscient. Il a aussi fait de nombreuses recherches sur ce qu’est vraiment l’inconscient chez l’être humain. Dans chaque Homme

l’éprouve comme le résultat d’un sort favorable mais dont la logique nous échappe. Nul ne peut nier qu’il existe de grands malheurs et qu’ils se produit des évènements attristants ou atroces sans l’avoir voulu ; de même les satisfactions fortes que nous pouvons avoir sont aussi souvent le fruit de bonnes rencontres que le sort a rendu possible : un tel est heureux parce qu’il a eu la chance d’être élevé dans un milieu très favorisé, culturellement ou économiquement, d’être « bien né » en somme, selon des

rend-il l’homme heureux ? Actuellement le travail est le quotidien de chacun. Il nous permet de maintenir une vie agréable et aide à obtenir une vie sociale. Mais rend-il l’homme heureux ? Travaillé nous permet de tisser des liens sociaux, de satisfaire nos besoins primaires tel que se loger, se nourrir, se protéger du froid et de la chaleur, … Mais, le travail peut nous bloquer dans un quotidien monotone. D’abord le travail favorise les liens sociaux, c'est-à-dire combler un besoin vital de

texte est un extrait de la Lettre à Ménécée, écrite par Epicure au 3ème siècle avant JC. Dans cette lettre, Epicure présente les quatre conditions du bonheur, à savoir l’absence de crainte des dieux, l’absence de crainte de la mort, la régulation des désirs par la prudence et enfin la capacité d’endurer la douleur. Mais Epicure termine la lettre avec la condition suprême du bonheur : la liberté. Dans les séances précédentes, nous avons déjà expliqué certaines parties de la lettre comme la nécessité de

conscience ? Ce qui échappe à ma conscience, ce ne sont plus seulement des mécanismes neutres mais bien la compréhension de mes propres actes qui me permette de dire : « je veux, je crois, je pense… ». Le problème reste de connaître par quel moyen nous pouvons savoir que notre inconscient existe ? Puisqu’il est psychique, il échappe à l’observation d’autrui. Puisqu’il est inconscient, il échappe à ma propre observation (vouloir observer l’inconscient, c’est le rendre conscient donc le détruire). Je peux

condamné ? 4 possibilités : 1) Soutenir la thèse que tous nos désirs sont mauvais c'est donc une forme extrême d'ascétisme qui peut avoir comme argument que tous nos désirs sont égoïstes. 2) Que certains sont mauvais et d'autres sont bons ; on peut faire la distinction entre les désirs qui portent sur des biens non-partageables c'est-à-dire des biens rares donc des biens qui nous mettent en concurrence, en compétition. Au contraire, des désirs sont sont bons quand ils portent sur des biens partageables

L’étrange c’est ce qui nous paraît inhabituel, ce qu’on pense ne pas connaître, ce n’est pas quelque chose avec lequel nous sommes familier. Notre conscience est la connaissance de notre existence, de nos pensées, de nos sentiments, et de nos actes. Nous pouvons croire que notre intériorité est qualifiée par cette conscience. Mais puisque notre conscience est notre intérieur comment se fait-il qu’elle puisse être étrange ? Serait-ce dire que ce que nous croyons être notre conscience est enfaite quelque chose

comme nous l'avons dit précedemment, nous allons expliquer le fait que la thèse de l'auteur nous annonce implicitement que le psychisme est divisé en deux parties. La première est donc la conscience, ce que nous perçevons, comme les désirs que nous cherchons à satisfaire, les rêves qui nous font vivre et espérer, les sentiments qui nous mettent dans différents états ... Cette conscience ne nous permet cependant pas de connaître l'ensemble de nos pensées au sens large. En effet, nous ne sommes conscients

l’Être. La satisfaction serait alors comprise comme le bonheur des retrouvailles avec l’Être véritable. Cependant, force est de constater que l'objet susceptible de nous satisfaire pleinement relève plus du fantasme que de la réalité. C'est nous, semble-t-il, qui imaginons que l'objet de notre désir pourrait nous satisfaire. Nous lui prêtons des qualités, des vertus, qu'il n'a pas. L'objet du désir serait alors une sorte de fétiche. Il faudrait donc distinguer ce que nous projetons imaginairement

modifiant la nature, l’Homme peut modifier les conditions de son existence. Par exemple, il rendu sa vie plus confortable car il a inventé l’agriculture pour se nourrir. Par conséquent, la nature peut être un allié et un ennemi de l’Humain. Nous pouvons donc nous demander : La nature est-elle nuisible à l’Humain ? Après avoir montré que la nature est un obstacle pour l’Humain, nous montrerons que la nature est un support du travail. Enfin, nous montrerons que la nature peut apparaître comme un allié