Probabilité Ecs1

définit comme un "danger éventuel, plus ou moins prévisible, inhérent à une situation ou à une activité" (Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales). L’analyse économique du risque repose essentiellement sur un outil, le calcul des probabilités, sujet sur lequel nous ne nous attarderons pas ! Nous nous attacherons ici à identifier les principaux risques existants dans le domaine économique et financier et à donner quelques indications sur la gestion des risques. La notion de risque est

intéressé par l’évaluation de la probabilité que le matériel soit en marche après un temps t0 de fonctionnement, c’est à dire évaluer ¯ F (t0 ) = P (X > t0 ) = 1 − F (t0 ). Pour cela on observe le fonctionnement n matériels similaires et on relève leurs temps n de panne respectifs: x1 , . . . , xn . On note Kn = i=1 1lxi ≤t0 le nombre de matériels tombées en panne au temps t0 . Il en reste donc n − Kn encore en marche à cet instant. ¯ Il est assez naturel d’estimer la probabilité F (t0 ) par : n − Kn 1 nombre

Année scolaire 2012-2013 Lycée Jean-Baptiste Corot Nom: Prénom: Classe: Terminale TTB Dossier de P.S.E relatif au stage de maçonnerie de l'entreprise Dubois Période de stage: du 12/11/2012 au 18/01/13 Sommaire: Présentation de l'entreprise -Nom et localisation -activités de l'entreprise + statutut -nombre de salarié -organigramme -statut/pose du stagiaire dans l'entreprise II.Identification d'un risque III.Analyse du

Plan Réponse au Risque Projet (P2RP) 4. Tableau d’analyse des impacts risques Barème de probabilité d’apparition Peu probable 1 Assez peu probable 2 Assez probable 3 Très probable 4 Barème d’impacts sur les objectifs Peu d’impacts 1 Assez peu d’impacts 2 Assez d’impacts 3 Beaucoup d’impacts 4 Tableau des Facteurs de risques Nom du risque ……… Descriptif de(s) cause(s) ……… Niveau de probabilité d’apparition … Niveau d’impacts sur les objectifs … Effets collatéraux probables ……… ………

montré qu’on peut estimer que l’âge moyen d’un client demandant un crédit immobilier est une variable aléatoire, notée X , qui suit la loi normale de moyenne 40, 5 et d’écart type 12. a. Calculer la probabilité que le client demandeur d’un prêt soit d’un âge compris entre 30 et 35 ans. b. Calculer la probabilité que le client n’ait pas demandé un prêt immobilier avant 55 ans. 2. Dans un slogan publicitaire, la banque affirme que 75 % des demandes de prêts immobiliers sont acceptées. Soit F la variable aléatoire

étudier l’effet de l’interaction des deux VI. Hypothèse : Affirmation qui lie les variables. Tests de significativité : On calcule toujours l’effet du hasard dans les résultats des expériences. Une expérience est dite significative quand la probabilité que les résultats obtenus soient dus au hasard est inférieure à 5% soit : p

irrationalité maximise mon bien-être? Le temps me permet-il d’y répondre ? Etant donne qu’à long terme, nous serons tous morts donc le court terme prime. Cela laisse entendre que la mort est le terminus n’est-ce pas Keynes ? SI je recours à la probabilité pour apprécier cette éventualité alors Keynes a tout faux selon Pascal qui affirme le contraire. On a intérêt à croire car cette stratégie maximise notre satisfaction sur une période quelconque. Cela implique que la mort est un temps d’arrêt. Nietzsche

Définir la taille de l’échantillon a. Dans les méthodes probabilistes (Loi Bernouilli) N= (t²xpxq ) / e² N= Taille de l’échantillon E= Degré de précision (= marge d’erreur accepté) T= Fiabilité de l’enquête (=seuil de confiance) P= Probabilité qu’une caractéristique se réalise Q = 1-P T= 1.96 -> enquêtes commerciales =95% degré de fiabilité Document page 65 tableau à savoir Le seuil de confiance et la marge d’erreur influe directement sur la taille de l’échantillon N=(1.96)²*(0

revanche, si on étend ce jeu aux stratégies mixtes, il y a un point d'équilibre d'après le théorème de Nash qui est donné en choisissant 1⁄3 « pierre » + 1⁄3« ciseau » + 1⁄3 « papier », c'est-à-dire, du point de vue probabiliste, de jouer avec une probabilité 1⁄3 chacune des trois possibilités. Dans d’autres cas, il est possible de trouver plusieurs équilibres de Nash, c’est le cas dans l’exemple suivant : L’entreprise 1 veut entrer sur le marché et l’entreprise 2 a le choix entre coopérer avec

méthode pour le management des risques dans les projets et des techniques qui peuvent être utilisées dans chacun des processus de gestion des risques. Le processus de gestion des risques proposés aborde la conceptualisation du risque comme la probabilité de pertes dans un projet et présente la gestion des risques comme un processus composé de sept sous-processus itératifs: l’établissement du contexte, l'identification des risques, l'analyse des risques, l’évaluation des risques, le traitement du