Problème de l'arrêt

faute engage à la responsabilité Mr. Y a cassé le bras de Mr. X Réparer le préjudice subi. Méthode utilisée dans tous les arrêts. L’ETUDES DES ARRETS DE COURS DE CASSATION C’est un juge du droit, critique juridique, elle ne va pas explorer le problème. Grief : critique juridique de l’auteur du pourvoi. Deux formes : * Grief de forme Réaffirmer une ou plusieurs règles de droit, indiquer à la cour d’appel de renvoi la recherche d’élément. Motifs de renvoi : * Absence de motif : les juges

Décision d'espèce ou décision de principe ? La recherche du plan Introduction Il importe de dégager les faits, relater la procédure, de poser les prétentions des parties puis de suivre le raisonnement du juge pour comprendre la solution retenue par l’arrêt. Ce que l’on demande à l’étudiant au travers d’un commentaire d’arrêt n’est pas de paraphraser la décision, ni même de s’en servir comme un prétexte afin de réciter son cours ou de disserter de manière générale. Le commentaire d’arrêt doit au contraire

qualifiant juridiquement. Vous réalisez un commentaire d’arrêt, pas un récit d’invention : tenez-vous-en à l’arrêt et ne vous fiez pas à votre (trop fertile) imagination ! RAPPEL DE LA

Il faut relever : La date de l’arrêt : La date à laquelle la décision a été rendue. La juridiction :La chambre qui a rendu l’arrêt : -Civ.1re/ 1er Civ pour la Première Chambre Civile de la Cour de Cassation. - Civ.2ème pour la Deuxième Chambre Civile de la Cour de Cassation. - Civ.3ème pour la Troisième Chambre Civile de la Cour de Cassation. - Cass.Crim pour la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation. - Cass. Soc pour la Chambre Sociale de la Cour de Cassation. - Cass

accroche doit restée brève. Elle peut consister en une allusion littéraire ou juridique, en une réflexion d’actualité, une référence sociologique, ou encore en une présentation historique. - La description des faits. Il faut bien lire l’ensemble de l’arrêt pour bien déceler l’ensemble des faits importants. Il faut décrire ces faits dans un ordre chronologique et de bien utiliser des termes juridiques. C’est pour ne pas faire de paragraphe. Il faut présenter les faits dans un style littéraire, il ne

particulier, entre l’abstrait et le concret. Cette singularité doit précisément guider le commentateur dans son entreprise. D’une part, l’exposé des connaissances n’est pertinent que dans la mesure où il éclaire le lecteur sur la compréhension critique de l’arrêt. D’autre part, la référence à l’espèce n’est utile que dans la mesure où elle sert l’analyse de la décision et son insertion dans l’évolution du droit positif. En résumé, la décision soumise à commentaire n’est pas l’occasion d’une récitation de cours

TD DROIT PENAL SÉANCE 1 METHODOLOGIE DU COMMENTAIRE D’ARRET 2 étapes : * Preparation ducommentaire * Rédaction du commentaire Lire l’arret en diagonale… Lire plusieurs fois. Faire la fiche d’arret au brouillon. Utiliser des couleurs pour identifier les parties de l’arret. Entourer les adverbes. * Les faits de l’arret : Il faut sélectionner les faits importants. On les remet dans l’ordre chronologique. * Chefs de poursuite : Il n’y a pas d’assignation. Le ministère public

surtout d'adapter en fonction des particularités du sujet. A – Le cas pratique Le cas pratique n'est pas un exercice difficile. Il demande simplement beaucoup de rigueur. Mais la méthode en elle-même, avec un peu d'entraînement, ne doit pas poser de problème, puisqu'il faut toujours, quel que soit le cas, suivre les mêmes étapes de raisonnement. Cet exercice se résout en trois étapes qu'il est impératif de suivre. 1ère étape : les qualifications juridiques Il faut tout d'abord qualifier juridiquement

il s’agit)    -Le sens de la décision (rejette le pourvoi ou casse l’arrêt de la Cour d’appel et renvoie devant…).   Exemple :  Le…, Monsieur Y forme un pourvoi en cassation. Le…, La première chambre civile de la Cour de cassation rejette le pourvoi.   |   On doit de manière chronologique les faits à l’origine de l’arrêt. Ainsi faut-il sélectionner tous les faits qui présentent une importance pour la compréhension de l’arrêt. Ceux qui ne sont pas expressément mentionnés dans la décision doivent

TD 4 DROIT DES OBLIGATIONS : L’OBJET Exercice : Commentaire de l’arrêt de la 1ère chambre civile de la cour de cassation du 7 juin 1995. Ainsi qu’en dispose l’article 1128 du code civile, « il n’y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l’objet des conventions ». Grégoire LOISEAU, Professeur à l’Université de Valenciennes, définit les choses hors du commerce comme étant des choses qui ne peuvent faire l’objet de conventions (article 1128 du code civil), qui ne sont à