Profil Consommateurs Bricolage

70, à toutes les catégories de produits et d’organisations. 1.1. Définitions : 1.1.1. Définitions sur le plan théorique1 : « Ensemble des actions qui ont pour objectifs de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler les besoins des consommateurs et de réaliser l’adaptation continue de l’appareil productif et de l’appareil commercial d’une entreprise aux besoins ainsi déterminés » « Ensemble des méthodes et des moyens dont dispose une organisation pour promouvoir, dans les publics auxquels

déclarent utilisateurs des services à la personne. Ces 6 millions de foyers utilisateurs se répartissent en 1,5 million pour des raisons de perte d’autonomie, 2,1 millions pour la garde d’enfants et le soutien scolaire et 3,2 millions pour le ménage, le bricolage … etc…. Ils ont dépensé en 2005 7,1 milliards d’euros (hors assistantes maternelles et services liés à la dépendance). Les acteurs organisés (Associations, CCAS, entreprises) ont le choix d’exercer leurs activités sous trois formes différentes :

- Le comportement du consommateur 23 5 - La concurrence 30 6 - L’environnement 39 7 - Le produit 45 8 - Le prix 53 9 - La communication 61 10 - La force de vente 70 11 - La distribution 77 12 - Le plan marketing 84 Glossaire 88 Bibliographie 93 1 - INTRODUCTION LE CONCEPT MARKETING Le concept a été créé vers le début des années 1900. Avant cette période, le marché, les pratiques commerciales et le comportement du consommateur vis-à-vis des produits

d’information de la collectivité, presse locale…) ou de diffusion de guides dans des lieux ciblés (déchèteries, mairies…) ; d’animations en déchèteries ou lors d’évènements forts (SERD notamment) ; d’animations en lieux de vente (GMS, magasin de bricolage, jardineries…) ; la mise en place de points de collectes sur le territoire ; quelques opérations de collecte sélective en porte-à-porte avec messages de sensibilisation. Toutefois, quelques actions ont recours à des procédés moins fréquents : ‐

bouleverser les habitudes du chaland marocain. C’est ainsi que ce mode de consommation caractérisé par le libre-service et des prix affichés et fixes, permet de mieux répondre aux attentes des consommateurs marocains à la fois en termes de qualité et de service. Les surfaces de grande distribution offrent aux consommateurs un large assortiment de produits de qualité à des prix compétitifs. La grande distribution a aussi modifié le fonctionnement des industriels nationaux Les fournisseurs désirant commercialiser

de ses produits : elle n’a pas réussi à imposer ses produits ou elle ne les a pas renouvelés à temps. Mauvaise perception de l’évolution de son environnement ou perception trop tardive: elle n’a pas pu ou su anticiper le changement des goût des consommateurs ou l’évolution des coût, elle subit les attaques de concurrents plus puissants… Erreurs de gestion : les dirigeants de l’entreprise n’ont pas su évaluer correctement leurs coûts, n’ont pas réussi à motiver le personnel, n’ont pas maîtrisé toutes

faciliter le shopping dans un environnement parfaitement entretenu et sécurisant. C’est un lieu de vie et de détente à taille humaine pour un shopping au quotidien, où plaisir et confort d’achat se conjuguent. Il répond aux nouvelles attentes des consommateurs et des personnes travaillant à proximité. OKABE Dossier de presse -8- OKABÉ Bureaux Au pied de la station de métro Kremlin-Bicêtre (ligne 7) et à 15 minutes de la station Châtelet, OKABÉ Bureaux offre une situation et une desserte déterminantes

aujourd’hui un accès facilité aux biens et aux services culturels (accès internet qui a changé les modes de conso). Nouveaux profils de consommatrice et consommateurs. 2008 : 6 ménages / 10 possédaient un ordi. Plusieurs médias utilisés donc plusieurs contenus culturels. Les critères de l’enquête sur ces pratiques culturelles et la méthodologie doit être changée. Les profils de consommateurs font refondre l’enquête. " 3. Les typologies du champ culturel par le type d’organisation et d’entreprise : Les chercheurs

Table des matières 1. Profil du tourisme familial . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 1.1. Introduction au tourisme familial . . . . . . . . 6 1.2. Processus décisionnel . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 1.3. Principaux facteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 1.4. Intérêt pour les voyages en famille selon le mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 2. Tendances du tourisme familial . . . . . . . . . . . . . 26 2.1. Voyages multigénérationnels

nous-mêmes des valeurs. Taylor, C., 2002, p.75 6 Tiraillé par les conflits potentiels entre ses différents rôles et pressé par l’accumulation d’efforts soutenus dans chacun, l’individu essaie vaille que vaille de s’organiser. On assiste à un « bricolage identitaire », bien plus qu’à une identité centrale et unique, fondatrice des rôles divers, comme c’était le cas traditionnellement (Lipovetsky, G., 1992). Le poids des exigences a augmenté, de même que l’insécurité dans les différentes zones de