Projet Personnalisé Polyhandicap

l’intensité peut être très variable, le plus souvent discrète. Lorsque à des troubles moteurs sévères s’associent à une altération importante des fonctions intellectuelles et de grandes restrictions de l’autonomie et de la communication on définit le « polyhandicap ». • soit, le plus souvent, par des troubles cognitifs touchant tel ou tel secteur particulier des apprentissages : dysphasie, dyspraxie, troubles de la mémoire, troubles de l’attention pouvant entraîner dyslexie, dyscalculie, dysgraphie, dysorthograhie…

de la région Parisienne. En 1979 les « Guérets » sont repris par l’ADSEAO une association Loi 1901, et devient un IMP (Institut Médico-Pédagogique). En 1992, passage en Comité Régional d’Organisation Sanitaire et Sociale (CROSS), transformant le projet IMP, en Institut de rééducation, sous l’appellation d’IRTEP. Pour devenir en 2005, ITEP avec la réforme du 6 janvier 2005 et accueillir des enfants du secteur. Aujourd’hui, l’A.D.S.E.A.O. gère un ensemble d’activités qu’elle a organisé en 3 champs

la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. » La notion de handicap évoque donc un déficit, des limitations, mais surtout les conséquences sur la vie sociale des individus. • Des modèles théoriques pour penser le handicap La classification

réaliser de nombreux stages ( centres sociaux, maisons de retraites…), l'aide aux devoirs ainsi qu’accomplir deux ans de bénévolat au sein de la croix rouge française de Dunkerque. C’est au travers de ces expériences que j’ai réalisé que mon projet professionnel correspondait véritablement à mes attentes. Actuellement en première année de formation d'éducateur spécialisé, j'ai choisis d'effectuer ce premier stage dans le domaine du handicap, milieu vers lequel je me sentais le plus attiré

restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou trouble de santé invalidant ».   Cependant, cette définition peut être complétée par celle de Marie-France Crouzier1 qui considère que parfois c’est école qui crée elle-même les difficultés ou les situations de handicap. Cette loi réaffirme

quand on n’a pas de fonds propres - une des caractéristiques majeures des associations - et peu de réserves, comment financer un projet qui sort de l’ordinaire ? Ou un « plus » qui n’entre pas dans le cadre d’un conventionnement avec les pouvoirs publics ? Le mécénat peut apporter un ballon d’oxygène, donner une marge de manœuvre, pour innover, pour développer le projet d’une organisation, comme pour permettre à un individu ou un petit groupe de réaliser un rêve, ou de mener un exploit. Le mécénat

j’accompagne, ainsi que sur ma structure d’apprentissage. Ces consignes d’écrit m’ont amené à faire un rapide état des lieux. Je suis apprenti Educateur Spécialisé en IME, le rôle de l’équipe dans laquelle je suis inclus est d’accompagner l’élaborer du projet de vie des personnes accueillies puis de préparer leurs orientations au sein d’autres structures spécialisées ou une sortie du dispositif. Je suis donc amené à travailler principalement le passage de l’enfance à l’adulte, sur le plan physique, psychique

Enfant (APJE) est remplacée par la prime à la naissance ou l'adoption et l'allocation de base de la PAJE. Pour les enfants nés avant cette date, l'APJE est toujours d'actualité. APP (Atelier Pédagogique Personnalisé Mis en place en 1994, les Ateliers Pédagogiques personnalisés ont pour objectif de permettre la création et le maintien de lieux de formation de proximité susceptibles d'accueillir des publics divers, dits de bas niveau, qui n'ont pu trouver de solutions dans les

évoluer les conditions de vie des personnes accueillies dans l’établissement. Notamment la loi du 2 janvier 2002 qui vise à offrir à la personne un accompagnement le plus individualisé possible. Ces lois nous emmènent à modifier nos pratiques, à personnaliser nos prises en charge et accompagnements. Elles modifient nos perceptions et nous conduisent à travailler de plus en plus avec les familles, les organismes de tutelles et tous les autres partenaires (sécurité sociale, MDPH, commerçants, intervenants

structures ou des services d'accompagnement spécialisés mais surtout par des parents informés, soucieux de leur avenir et d'une vie la plus autonome possible, deviennent de jeunes adultes désireux de vivre de manière indépendante. Ils développent des projets professionnels et d'insertion dans la vie sociale. Des accidentés de la route, quelques traumatisés crânien~, des blessés médullaires8 , des adultes confrontés àla maladie manifestent généralement le souhait de reprendre le cours de