Protagoras Relativisme

La vérité est définie comme une connaissance conforme au réel, ce à quoi l’esprit peut donner son assentiment. Elle exprime une correspondance exigée entre la réalité et ce que l’on affirme. La vérité appartient au langage, c’est-à-dire à la façon dont l’esprit rend compte de son rapport aux choses. On peut se demander si la vérité est vraiment libératrice, ou bien au contraire, si elle est contraignante. Nous verrons que la liberté est contraignante car elle est une peine morale, puis l’analyse

...) se sont chargés de dissiper les illusions du progrès historique, et nous percevons mieux aujourd'hui ce que les grandes Philosophies de l'histoire du XIXeme, devaient à des espérances de type religieux. Il n'est pas sûr, pourtant, que le relativisme historique, qui semble accompagner le fin du XIXeme siècle, ne produise pas à son tour une mythologie inverse et tout aussi dangereuse. Penser que l'histoire a un sens et qu'elle peut être le lieu d'un progrès présente ce que Kant appellerait un

qu’elle était vraie !) => l’existence des sciences suffit pour démentir le scepticisme. • Contre l’idée selon laquelle tout n’est qu’une affaire d’opinion et qu’aucune opinion n’est meilleure qu’une autre, on peut utiliser l’argument de Platon contre Protagoras : si l’on admet que toutes les opinions se valent, on admet aussi que toutes les opinions ne se valent pas puisque c’est aussi une opinion ! • On pourrait dire que l’argument de la régression à l’infini est théorique : l’existence de postulats

sortes de pluralisme pour atteindre la tolérance et la vérité : le relativisme et le pluralisme critique . Dans une première partie nous verrons en quoi le pluralisme critique est plus compatible que le relativisme avec la notion de vérité . Puis , dans une deuxième partie nous verrons plus en profondeur les caractéristiques du pluralisme critique qui lui permettent d'atteindre tolérance et vérité . Pour pouvoir confronter le relativisme au pluralisme critique , il faut tout d abord expliquer ce qu'est

Depuis l’utilisation du langage, l’être humain a toujours été porté à donner des opinions sur différents types de sujets. C’est à dire, donner des points de vue et des jugements qui ne relèvent pas d’une connaissance vérifiable sur un thème précis. Au 6e siècle avant J-C, l’apparition de la démocratie en Grèce a permis à l’homme de s’exprimer librement devant une assemblée. Selon les sophistes, tout est relatif, toutes les opinions se valent parce que l’être humain est incapable d’atteindre une vérité

est fausse . Par exemple dans la science la vérité est toujours remise en question au fur et a mesure de découvertes scientifiques. Cependant, une trop grande objectivité conduit aux illusion et bien quelle fassent vivre, conduisent l’homme au relativisme, a l’indifférence et au rejet de la réalité donc au rejet de la vérité a laquelle il croit. Je pense que la vérité subjective ainsi que la vérité objectives correspondent a des domaines différents. Par exemple je ne pense pas que

Il ne faut pas opposer raison et croyance, car si la croyance est vraie, la vérité de la croyance ne peut pas s'opposer à la vérité de la raison. La vérité étant "une" elle ne peut s'opposer à elle-même:Croyance et raison aboutirons à la même vérité.Dans ce cas il faut les distinguer, et les regarder chacune dans leur domaine propre. Ce qui n'empêche pas bien-sûr qu'il y ait des croyances fausses, et dans ce cas là ce qui est considérer comme vrai par la croyance, et ce que la raison donne pour

TOLERANCE ET RESPONSABILITE INTELLECTUELLE : KARL POPPER 1) Etablissez les ressemblances et les différences entre le relativisme et le pluralisme critique. A quoi pourrait-on les opposer tous les deux ? Pour commencer, le relativisme est une théorie selon laquelle « a chacun sa vérité ». C'est-à-dire qu’il consiste à penser que les vérités sont relatives (plusieurs sont possibles que d’un certain point de vue) et qu’il n’y a pas de « vraie vérité » (pas absolues ou universelles). Autrement

physique (capacité) ou possibilité morale (devoir). On comprend ici qu’il s’agit de la seconde possibilité : « Est-il légitime de … ». « dire » = affirmation d’un énoncé, celui-ci peut être qualifié de vrai ou de faux. « A chacun sa vérité » = relativisme ; « vérité » subjective ; opinion. Paradoxe = ce serait affirmer une vérité « objective », et non « subjective » que d’affirmer que chacun a la sienne, or ce que l’on affirme nie la possibilité de dire une telle vérité. Certes, on « peut » le

appartient aux philosophes car elle entend faire de la raison le fondement de toutes connaissances mais aussi la base d'un déisme et d'une morale universelle, capable de se débarrasser des dogmes irrationnels et autoritaires et de mettre fin au relativisme historique et culturel des différentes religions révélées. Même si un homme se dit non religieux, il garde des pratiques qui à première vue paraissent banales et communes mais qui en fin de compte sont liées avec la religion, nous pouvons donc