Présidentialiste

La Constitution du 4 octobre 1958 a mis en place un régime que l’on peut qualifier de parlementaire monoreprésentatif, devenu bireprésentatif. Néanmoins, ce régime politique fonctionnant dans un système politique variable, il sera tantôt « présidentialiste », tantôt « gouvernementaliste ». I/ Un régime parlementaire rationalisé « monoreprésentatif » devenu « bireprésentatif » A/ Un régime parlementaire « rationalisé » 1. Un régime parlementaire : • Un régime parlementaire se définit

est totalement soumis au parlement (régime d'assemblée). C'est un régime qui naît d'une volonté démocratique extrêmement poussée. De la même manière il existe des régimes dans lesquels il y a une prédominance au profit du chef de l'Etat (régime présidentialiste). Ce ne sont pas des régimes antidémocratiques mais il y a des risques ce qui suppose une vigilance ou un rééquilibrage des pouvoirs. C'est pourquoi la plupart des Etats ont fait le choix de l'égalité entre les différents pouvoirs représenté

l’Exécutif. La conservation des aspects « fondamentaux » présidentialistes de la Vème République. La révision constitutionnelle de juillet 2008 renforce donc l’assise parlementaire mais n’en reste pas moins limitée en ce qu’elle ne touche pas aux piliers « fondamentaux » de la Vème République instaurés par la Constitution de 1958 que sont la Présidentialisation du régime et la prééminence de l’exécutif, La conservation des grands mécanismes présidentialistes- Allégeance parlementaire à l'Exécutif du fait du

cohabitations : un retour relatif au système présidentialiste ( a. le président un arbitre aux pouvoir limités b. le Premier ministre véritable chef de l exécutif lors de cohabitations) et dans un deuxième temps nous analyserons la cohabitations : une situation a l’encontre des règle de la Ve République ( a. certaine pratique présidentialistes toujours présente b. des attribution présidentielles gelées) I. La cohabitation : un retour relatif au système présidentialiste Le terme de cohabitation s’applique

nous pouvons demander comment est organisé l’équilibre interne du pouvoir exécutif et quel ont été les évolutions ? Nous verrons dans un premier temps, la pratique du présidentialiste du régime (I) puis nous verrons jusque ou elle a put évoluer avec l’hyperprésidentialime de Nicolas Sarkozy (II). I- La pratique du présidentialiste du régime de la Ve République Nous tenterons d’expliquer dans ce premier point les relations entre le Président de la République et gouvernement se le contexte politique

majoritaire ou bien dans une situation de cohabition. Il est ainsi opportun de se concentrer sur la consécration d'un régime parlementaire rationalisé pour la nouvelle République ( I ) et ensuite à l'installation progressive d'un régime de type présidentialiste ( II ). I- Le régime parlementaire rationalisé consacré en 1958 Les institutions de la Ve République présentaient , à l'origine, les caractéristiques d'un véritable parlementarisme à la française ( A ) , sous réserve

Islande, Irlande, Finlande, Pologne, Bulgarie, Roumanie, Serbie, Croatie, Autriche, Portugal (autorité du Premier ministre) France : Président chef politique ⇒ Pas vraiment un régime semi-présidentiel (ou alors il n’existe pas) Un système présidentialiste Régime spécifique de la France, unique (Jean Gicquel) = Le président est tout. Présidentialisme démocratique ≠ Présidentialisme autocratique (Gabon, Congo, Venezuela, Russie…) Élections compétitives, relative indépendance du Parlement et

dates marquent donc un tournant dans l’élection du président de la république, mais vers qu’elle horizon? En quoi les modifications apportées par les referendums de 1962 et 2000 sur l’élection présidentielle ont-elles conduit à une lecture présidentialiste du régime? Dans un premier temps il est indéniable, que les révisons constitutionnelles de 1962 et 2000 ont accordé au Président de la République une place primordiale au détriment de l’Assemblé nationale. On pourrait croire ainsi, qu’une telle

Constitution de 1958: la «concordance des majorités»: Il s'agira de présenter les rôles respectifs de Président et de Premier Ministre tels qu'ils étaient prédéfinis par le texte constitutionnel de 1958 (A) pour pouvoir en comprendre la dérivation présidentialiste bien différente de l'esprit initial (B). {text:soft-page-break} B. Une pratique bien divergente de l'esprit du texte: En réalité, l'article 5 serait clair si l'on savait précisément ce que signifie le terme «arbitrage». Le Président

VGE : réforme importante : élargissement de la saisine du CC + ratification de la CEDH. Battu par Mitterrand en 1981. Auteur du cp d’Etat permanent : a appelé le respect des pouvoirs du 1er ministre. Et pourtant, Mitterrand a été encore plus présidentialiste (en particulier entre 81 et 86) que ses prédécesseurs (Mitterrand en chinois => énigme parfaitement claire), continue les violations de la C°. La gauche ne peut pas réviser la C°. Leader incontesté du parti majoritaire à l’Assemblée ->