Qiyâs

les principales sont : le coran et la sunna d’une part et les sources secondaires et complémentaires d’autre part fondé sur la raison humaine qui englobe le consensus « AL IJMAÄ » « LA TATAFIQO OMATTI ALA DALALA » et le raisonnement analogique « AL QIYASS » ou aussi appelé l’interprétation « AL IJTIHAD ». La colonisation a réduit l’étendue du droit musulman, des efforts de modernisation ont été fait dans certains pays comme la Turquie, l’Egypte, le Maroc etc. au 20ème siècle le droit pénal musulman

droit donné. Pour les cas particuliers dont le jugement n’est précisé ni par le coran ni par la sunna, il y’a recours au principe de l’Ijmaâ, à condition que les règles qui en découlent ne contredisent en aucun cas le Coran et la Sunna. Le Qiyass: Le Qiyass signifiant le raisonnement par analogie représente le fait d’affecter, sur la base d’une caractéristique sous-jacente commune, la règle juridique d’un cas reconnu par les autres sources à un nouveau cas dont la règle juridique n’a pas pu être

considèrent pas cette tradition des habitants de Médine comme document. Il y a deux voies d’idjtihad: L’une de ces deux méthodes est appelée “la voie de Ra’y” [l’opinion, le point de vue personnel] des savants Iraqiens. C’est-à-dire, la méthode analogique [qıyâs]. Quand on n’est pas cité clairement dans le Qur’ân et les hadiths comment une chose doit être faite, on la recherche et on retrouve une autre action faite semblable à la première et on pratique cette première action comme la seconde. Après Ashâb-ı

sources traditionnelles du droit musulman. Dans ce but, les scholars sont parfois appelés à proposer une analyse et un effort de réflexion pour interpréter les textes fondateurs de l’Islam (l’ljtihad), en utilisant notamment les principes acceptés du Qiyas (raisonnement par analogie) ou en se fondant sur un consensus (ljma’) relatif aux normes applicables à une technique de financement donnée. Le secteur de la finance islamique Le secteur de la finance islamique s’est développé très rapidement ces

Elles ont pris les noms des imams qui les ont fondés à savoir : Abou Hanifa, Malek Ibn Anass, Ashafii et Ibn Hanbal. Elles adoptent, toutes, quatre fondements essentiels : le Coran, la Sunna, le consensus (Ijma’) et le raisonnement par analogie (qiyas) en plus d’autres fondements qui différent d’une école à l’autre. On observe des divergences dans l’interprétation du Coran au sein même du monde musulman, dues à la diversité des modèles d’évolution sociale et étatique et les résistances ou adhésions

duhadith de Mahomet suivant : Ibn Abbas a rapporté que Mahomet a dit : "Tous les musulmans sont partenaires dans trois choses : l'eau, la pâture et le feu." Anas a ajouté à ce hadith : "Son prix est haram (illicite)". Des juristes ont affirmé par les qiyas que cette restriction sur la privatisation peut être étendue à toutes les ressources essentielles qui bénéficient à la communauté entière. À part ces similarités au socialisme, des formes anciennes de proto-capitalisme et de "marchés libres" existaient

Coran ou de la Sounna ne | |permet de trancher sur un cas. | |· Le Qiyass (raisonnement par analogie) : cette technique consiste à affecter, sur la base d'une caractéristique sous-jacente commune, la règle juridique d'un cas existant trouvée dans les textes du Coran, | |de la Sounna et/ou de l'Ijmaa à un nouveau cas dont

enseignements, des paroles et des actes du prophète Muhammad rapportée par ses compagnons, explique les versets coraniques. Le coran est interprété à la lumière de la sunna. 3) Les Ijma : c’est la volonté d’unifier les traditions locales 4) Le Qiyâs : raisonnement par analogie, c’est surtout une méthode d’application des 3 premières sources aux cas humain. - Le Coran est la source principale du droit islamique mais elle a peu de contenue juridique (114 sourates divisées 6129 versets) - Texte

impose. Plus généralement, elle doit relever des défis de plusieurs ordres. La première difficulté vient de l'existence d'un certain nombre de controverses sur des points importants du droit islamique des affaires, comme le riba. La technique du qiyas ou encore le recours aux ruses (hiyal), qui peuvent opposer, en particulier, les diverses écoles de pensée entre elles. Il est vrai qu'il n'existe pas, à l'heure actuelle, d'autorité souveraine pour imposer des solutions uniformes dans ce droit international

comentários e interpretações feitos pelo Profeta. Afinal o Fiqh corresponde aos explicações propostas pelos ulemás (juristas muçulmanos). Para elaborar este direito canónico, os ulemás utilizam várias técnicas tais como o raciocínio por analogia (qiyas), a preferência jurídica (istihsan), o interesse geral (istislah) e as tradições (urf). No que diz respeito às actividades finaceiras, a Chariá assenta três interdições, em primeiro lugar a do riba que significa “juros” e “usura”. (Martins, 2001:5)