Rapport D Ishikawa

........................................ XVII Introduction .......................................................................... Chapitre 1 Lean Six Sigma : origines, spécificités et enjeux........ Les spécificités de Lean Six Sigma par rapport aux autres approches qualité ............................................................... Qu’est-ce que Six Sigma ? .................................................... En pratique : les apports complémentaires de Lean et Six Sigma ...........

...................... XVII Introduction .......................................................................... XIX Chapitre 1 Lean Six Sigma : origines, spécificités et enjeux........ 1 Les spécificités de Lean Six Sigma par rapport aux autres approches qualité ............................................................... Qu’est-ce que Six Sigma ? .................................................... En pratique : les apports complémentaires de Lean et Six Sigma .......

risques de non qualité sur toutes les activités de l’entreprise selon la méthode des 7 M * définition et mise en œuvre des moyens de maîtrise des risques identifiés. * INTERÊTS * repositionne les moyens de maîtrise par rapport à des risques identifiés * fait prendre conscience au personnel d’appliquer les règles avec rigueur. * L’ASSURANCE DE LA QUALITE * LOGIQUE DE DEMONSTRATION Qui fait Quoi, Où, Quand, Comment et Pourquoi Objectifs : démontrer

conclusions. MOYENNE ARITHMETIQUE On note la moyenne arithmétique d’un ensemble de n nombres x 1 , x2 , ... xn , par x . Elle est donnée par le rapport : x où : x i n n - nombre d’essais xi - valeurs individuelles des essais. VARIANCE (DISPERSION) La variance d’une série de valeurs est la moyenne arithmétique des carrés de ces valeurs par rapport à leur moyenne arithmétique. S2  1 2 Xi  X    n . ECART-TYPE (ECART QUADRATIQUE MOYEN) L’écart-type d’une série est la racine carrée de

concentration massique (31). La fonction d’étalonnage peut être linéaire, linéarisée ou non linéaire. La linéarité est la capacité d’un procédé/méthode à générer des résultats de mesure dans une certaine plage de concentrations dont la dépendance par rapport à la concentration ou à la quantité d’analyte dans l’échantillon peut être décrite de manière statistiquement significative par une équation de droite (régression linéaire). Lorsque l’on utilise une courbe d’étalonnage, il faut la déterminer avec

1 : organigramme de la société Figure 2 : processus d’achats Figure 3 : schéma de procédé de fabrication Figure 4 : le montage de la cuvette HALL et son réservoir Figure 5 : les différentes parties de la cuvette HALL Figure 6 : diagramme Ishikawa Figure 7 : la cheville du moule en silicone Figure 8 : les trous de fixation après changement des chevilles Figure 9 : les différentes parties du réservoir Figure 10 : la perceuse LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 : les dimensions des trous

partenariats privilégiés sont également proposés avec l’IFAG ou le FORMEUM pour la poursuite d’études, ainsi qu’un relais international. Chaque année une enquête est réalisée pour le livret qualité du CFA (cela permet un classement du CFA par rapport à ses concurrents), voici quelques résultats de cette enquête qui reflètent parfaitement la qualité de l’enseignement dispensé au CFA : Les résultats 2011 du CFA Nombre d’apprentis présentés | Nombre d’apprentis reçus au diplôme | Pourcentage

depuis la seconde GM était bâti autours de l’existence de 3 blocs jusqu’en 1990 : o Est o Ouest o Sud Avec deux géographismes : force géographique, économique, politique ou social en fonction de la portion d’espace qu’elle occupe. Toujours dans un rapport d’exclusion : Est contre Ouest, Nord contre Sud… Il y avait Est, Ouest et les autres (= Tiers Monde, notion de 1952 par A. SAUVY) Dans ce monde, les Etats-Unis = suprématie sans partage sur les pays les plus riches mais qui laissait tout de même une

processus diminue. Attacher de la valeur = très utile à nos yeux. Mais ça peut avoir 1 coût différents pour 2 objets ayant la même utilité = celui qui a le + de valeur est le - cher car on y a dépensé - d’énergie Toujours comparer une utilité par rapport à un coût. Souder = VA Comparer l’effort qu’on met pour réduire le gaspillage pour rentabiliser Est-ce indispensable ? Est-ce que ça coûte vraiment cher (investissement à bon escient) Se poser la question pour tout faire la part des choses

Après un rapide brainstorming sur ce problème, nous sommes descendus sur le terrain pour observer les flux des carrosseries et ainsi recenser les risques potentiels d’apparition du défaut, que j’ai pris le soin de formaliser dans un diagramme Ishikawa (Ishikawa, Cf. Annexe 5) et réparti en famille de problèmes. A l’aide de ces causes potentielles et de relevés émanant des contrôles de la « Quality Gate », nous les avons hiérarchisées pour identifier les leviers prioritaires à actionner dans le but