Relation Seigneur Et Vassal

Chapitre VI : Les institutions urbaines aux XIIème siècle XIIIème siècle La réalité politique au niveau le plus locale, c'est pouvoir banal. Et il y a différents détenteurs de ce pouvoir banal, il y a donc le simple seigneur chapelain (au niveau le plus local), le prince territorial (au niveau territorial), le roi (au niveau national) et il y a aussi les églises, qui pouvaient détenir le pouvoir banal comme les seigneuries ecclésiastiques. Et ce qui est nouveau, c'est qu'à partir du XII ème siècle

Le pays. II. Chinois et Barbares : 1. La confédération chinoise — 2. Les pays du centre — 3. Les pays de la périphérie. III. La formation d'unités provinciales. Chapitre III. — L'Empire I. La fondation de l'unité impériale : 1. L'œuvre des seigneurs de Ts'in — 2. Ts'in Che Houang-ti. II. Le siècle de l'empereur Wou : 1. La consolidation de la dynastie Han — 2. Les guerres de prestige — 3. Les accroissements du pouvoir central — 4. L'œuvre de civilisation. III. La crise dynastique et la

faute romaine se situe d’ailleurs bien là : jugé à Rome, il permet d’échapper aux lois locales des autres pays. De même, les esclaves qui sont toujours des sujets de non droit sont pourtant concernés par le droit romain car on traite beaucoup de la relation entre maîtres et esclaves. A partir du IIIe siècle après J.C., on constatera cependant une phase de déclin de l’empire romain dont les raisons furent multiples : ❖ Des difficultés à gérer le dualisme entre les parties occidentale et orientale

parfaitement courtois s’il n’aime. L’amant courtois fait de celle dont il est amoureux sa dame, sa « domna » (du latin domina, « maîtresse, souveraine »), c’est-à-dire sa suzeraine au sens féodal : tout comme le chevalier est un vassal au service de son seigneur, dans la relation courtoise, l’homme | 16 Tristan et Iseut effectue auprès de sa dame un service d’amour. Il se plie à tous ses désirs et son seul but est de mériter ses faveurs. Véritable objet de culte, la dame suscite chez le chevalier

château fort. A la tête de milices privées, les maîtres des forteresses s’emparent de prérogatives de nature politique (justice, impôt, etc.) et imposent une autorité brutale aux populations du lieu. Ces nouveaux pouvoirs politiques usurpés par les seigneurs au détriment des anciens agents royaux sont appelés par le vieux mot de « ban ». D’origine germanique, ce terme signifie « pouvoir de commander ». D’où l’expression de « seigneurie banale » qui caractérise désormais ces nouveaux cadres locaux, à

d’Etat. Pépin le bref et d’abord un usurpateur. Il veut donner à son pv une légitimité c’est la raison pour laquelle il se fait sacré. Ce sacre implique une elec°, le roi se distingue du commun des mortels et il devient un roi OUIN du seigneur, il reçoit l’onct° du seigneur. C’est l’onct° avec l’huile sainte et ensuite on procède au couronnement. Le roi reçoit cette couronne qui est le symbole même de son autorité. Ds cette forme ronde, circulaire qui caractérise une couronne, il faut peut être y voir

propriétaire transfert la propriété à une personne de confiance qu’on appelle le TRUSTEE et dans 2ème temps transfert la propriété au bénéficiaire final qu’on appelle le CESTY QUE USE, ce montage s’explique parce que si on fait un trust c’est qu’une relation directe en A et B n’est pas possible (enfant anglais ne peut pas bénéficier de droit immeuble). On fait appel à l’équiti car dans le cadre de la Common seuls les rapports de droit objectivés sont vraiment reconnus car dans le TRUST la Common ne considère

des vassaux apparition d’un lien personnel de dépendance, d'allégeance qui unit un supérieur à un subordonné. À l'origine, le seul seigneur était le roi. Les vassaux prêtent serment au supérieur. Petit à petit, on a des seigneurs de moyenne puissance qui apparaissent. Au 11e, les plus petits seigneurs locaux ont des vassaux. Le vassal ne reconnait qu'un supérieure → son seigneur, il ne prête serment qu'a son seigneur → phénomène de médiatisation : le seigneur médiatise le rapport roi /vassal. Le

changements de la royauté. En effet, à cette époque, la royauté est affaiblie et n’exerce ses prérogative que sur un domaine restreint : le roi est un seigneur parmi les seigneur et ne se différencie des autres seigneurs que du fait de son sacre. La supériorité du roi n’est que théorique et les prérogatives de fonctions publiques sont exercées par les seigneurs sur leur territoire. Ainsi, le roi n’a pas de pouvoir effectif sur l’ensemble du royaume et l’élection d’Hugues Capet, principalement désigné par

(trib central royal), assister la justice locale (baillis et sénéchaux sont assistés des lieutenants de justice qui sont nos chers juristes), professions judiciaires ecclésiastiques = officialités, Curie pontificale (trib du Pape à Rome). Les seigneurs locaux ont la responsabilité de leur seigneurie, ce qui implique un pouvoir judiciaire. Ils vont donc solliciter dans leurs cours seigneuriales (trib locaux) l’aide des légistes. Dans les villes : qui, avec leur autonomie, ont obtenu des prérogatives