Relativisme

l’on aura vérifié la qualité des arguments, deux questions demeurent, et elles sont fondamentales par rapport à ce que l’on veut mettre en œuvre avec l’ECJS : la première porte sur la validité scientifique d’une thèse, la seconde sur le risque du relativisme. 3.1.Qu’est-ce qu’une bonne théorie ? Pour clarifier ce que l’on entend par dimension scientifique. Il convient d’abord de distinguer l’explication de l’interprétation. On entend souvent dire que " les sciences de la nature viseraient

âme, ces derniers s’employaient à immerger des blancs prisonniers afin de vérifier par une surveillance prolongée si leur cadavre était, ou non, sujet à la putréfaction. Cette anecdote à la fois baroque et tragique illustre bien le paradoxe du relativisme culturel : c’est dans la mesure même où l’on prétend établir une discrimination entre les cultures et les coutumes que l’on s’identifie le plus complètement avec celles que l’on essaie de nier. En refusant l’humanité à ceux qui apparaissent comme

« Tous les hommes sont égaux », veut dire qu'on considère tous les hommes égaux, peu importe le contexte et l'époque. Elle renvoie au Relativisme dont l'idée est de ne pas juger une culture autre que celle dont on fait partie de manière supérieure. Mais moralement, cette idée nous pose forcément problème, car la morale à besoin de dépasser le Relativisme. Le Relativisme rend impossible tout jugement moral universel. Le discours Relativiste peut paraître tentant au premier abord, le problème arrive

au nom d'une valeur universelle. On peut prendre l'exemple du mariage. Dans certaines sociétés la monogamie est la norme, ailleurs la polygamie ou la polyandrie paraissent seules acceptables. 3. Le relativisme remet en cause la possibilité de la vérité et de la morale Problème: Le relativisme nous conduit à accepter toutes les formes de comportements et en ce sens remet en cause la possibilité d'une norme morale absolue et d'une vérité universelle. Si chacun a sa vérité, alors il n'y a plus

vérité. Ceci dit, Platon et Aristote font appel à un discours philosophique, car tous les deux ont une vision de la connaissance étant une réalité. Malgré cette similarité, ils ont aussi des différences. Ces derniers jouent avec le relativisme et l'universalisme. Le relativisme est objectif, c'est-à-dire que nos propres sens s'interposent entre nous et l'observé. Cependant, l'universalisme est une vérité dont les relations entre les humains par la raison humaine. Selon les théories idéalistes de Platon

Hommes ont une croyance en Dieu commune. • Les guerres de religion ne naissent pas de l'idée de Dieu mais des symboles de que chacun se réclame. 3) Une leçon de relativisme et de fraternité relativisme ≠ ethnocentrisme (toutes les cultures sont équivalentes ≠ supérieure aux autres) L'attitude de Zadig invite au relativisme : Pas de religion supérieure mais seulement différente Il ne parle pas de sa religion ≠ aux Celtes qui tente d'imposer sa croyance Voltaire nous apprend à ne pas considérer

serait-ce qu’hebdomadairement, une chronique consacrée à la science. De plus, l'auteur parle « d'un relativisme qui tend la main aux doctrines paranormales et ésotériques selon lequel la science n'est qu'un discours parmis d'autres »(p226). Le relativisme est une doctrine ou un mouvement de pensée qui affirme qu'il n'existe pas de vérité absolue (source : Toupictionnaire). Ainsi, ce relativisme absolue peut s'avérer comme une arme de manipulation pour les dirigeants. Par exemple, les dérèglements

Carre blanc sur fond blanc _ Malevich 1917 : La Fontaine _ Duchamp Depuis cette demarche de rupture tout le monde prend position sur l'Art et affine son propre goût. Les avis divergent et se confrontent. 3e raison Fait majeur actuel = le relativisme des gouts peut poser probleme _ les gouts se sont affines = « chacun ses gout » Texte 1 Alain Finkielkraut (philosophe moderne) La crise de vivre ensemble Apeirokalia : le manque d'experience des belles choses Aidos : reserve pudeur Alain

semble opposé. -Le relativisme des goûts il n’existe aucuns critères objectifs pour dire si une œuvre est réussie et donc si elle est belle. C’est ce qu’on peut appeler relativisme, en effet le jugement et l’appréciation que l’on porte sur l’œuvre est relatif à chacun ; cela signifie qu’il varie selon la personne et que nous sommes le seul maître du jugement que nous portons à une œuvre. Surtout en ce qui concerne la beauté. L’esthétique vise à dépasser le relativisme. Maos comment peut on

pas d’accord avec l’assertion. * La question est plutôt tendancieuse, joue sur les mots. * Pluralisme moral n’équivaut pas au relativisme moral. * Relativisme : diversité irréductible * Pluralisme : conception différente ayant un certain point de convergence. Amène tout de même à une certaine diversité relative. * Nietzsche parlait du relativisme moral, du perspectivisme. Il n’y a pas de réconciliations possibles entre les morales, car elles proviennent d’une création tout à fait