Rentabiliser Un Portefeuille De Clientèle Bancaire

au XXe. Transformation considérable des règles commerciales : Apparition des grandes sociétés commerciales. Apparition de la notion de « consommateur ». Apparition du droit de la concurrence. En 2000, le Code de Commerce a été recodifié. Le bancaire et financier n’a pas été intégré : Code monétaire et financier. Au XXIe, le législateur ne raisonne plus en terme de droit commercial /droit civil. Désormais, on raisonne en terme de professionnel/non professionnels. Certains ont donc dit qu’il

applicables, - Garantir l'intégrité du patrimoine de l'entreprise et permettre l'appréciation des risques engagés, - Juger de l'efficacité des systèmes de gestion (appréciation des résultats de l'organisation, des procédés de production). Dans le secteur bancaire, ces différentes fonctions sont primordiales du fait des risques financiers encours par les entreprises. L'information sur la situation exacte du porteuse, le calcul des gains et des pertes potentiels qui en découlent (plus et moins-values latentes)

pour la clientèle l’objectif suprême de l’activité managériale. Enfin, certains, soutiennent qu’afin d’interpréter correctement 2 H.El Euch, MARKETING APPROFONDI Année 2005 Chapitre I : Le marketing dans l’entreprise moderne et de satisfaire efficacement les besoins des clients, le marketing doit occuper une place privilégiée au sein de l’entreprise (figure 5). Leur argumentation se tient en quelques points : La valeur de la firme est subordonnée à l’existence d’une clientèle. L’objectif

......3 Première partie : Pourquoi s’intéresser à la Bourse...........................................3 Deuxième partie : Le b.a.-ba du marché...............................................................4 Troisième partie : Comment gérer son portefeuille...........................................5 Quatrième partie : Pour aller plus loin.................................................................6 Cinquième partie : La partie des Dix.........................................................

intérêts qui lui sont propres et qui peuvent évidemment être opposés à ceux des autres. Au sein même des actionnaires, il peut y avoir des sous-ensembles dont les objectifs divergent. Pour chaque groupe, les objectifs dépendent de la structure de son portefeuille, des montants détenus, du taux de préférence pour le présent, de l'aversion au risque etc. A partir d'une telle analyse, la fonction objectif de l'entreprise ne peut être que le résultat d'un processus complexe de révélation des préférences, de

directeur général de la Caisse du Crédit Agricole Mutuel d’Indre-et-Loire, qui nous a confié nos tout premiers projets d’organisation bancaires. © Groupe Eyrolles Pierre Lemaître, ancien directeur général de FACEM, Daniel Ollivier et Patrick Lansier, anciens directeurs, avec lesquels nous avons conduit de nombreux projets de formation et de conseil dans le monde bancaire en France et à l’étranger, et également écrit nos premiers ouvrages sur le sujet. Maurice Mezel et Daniéle Pettersson, anciens responsables

s’adresse au monde entier. Elle a ainsi créé des produits différents afin de les diversifier et que chacun y trouve une boisson qui lui convienne (light, zéro, sans caféine …). Le travail sur son image est impressionnant et lui permet de fidéliser la clientèle. Aujourd’hui le coca cola est connu dans plus de 200 pays. C’est la marque commerciale la plus notoire, reconnue par 94% de la population mondiale. De part sa renommée mondiale, la coca cola est resté toujours fidèle à sa formule initiale de fabrication

création de valeur et gouvernance ����������������������������������������� 23 Æ Amazon : une stratégie qui porte ses fruits (p. 245) 24 Æ L’affaire Enron : manipulations financières complexes (p. 254) 25 Chapitre 7 Diversification, recentrage et portefeuille d’activités ������������������������ 26 Æ Le recentrage de Saint-Gobain (p. 291) 27 Æ Recentrage du groupe Accor (p. 296) 28 Æ Synergies et cohérence au sein du groupe Disney (p. 308) 29 Chapitre 8 intégration verticale et externalisation �

souhaite interroger. - La population mère (ou base de sondage) : dans certains cas, elle est possible de l’identifier nominativement, exemple : liste des abonnés à une revue, dans d’autres cas cette identification est impossible, exemple : clientèle d’un hypermarché. - L’unité de sondage : c’est l’entité à interroger, elle peut être l’individu, le ménage, l’entreprise, le point de vente, selon les besoins de l’enquête. Une erreur dans la définition de la population ou de l’unité de

que l’on souhaite interroger. La population mère (ou base de sondage) : dans certains cas, elle est possible de l’identifier nominativement, exemple : liste des abonnés à une revue, dans d’autres cas cette identification est impossible, exemple : clientèle d’un hypermarché. L’unité de sondage : c’est l’entité à interroger, elle peut être l’individu, le ménage, l’entreprise, le point de vente, selon les besoins de l’enquête. Une erreur dans la définition de la population ou de l’unité de sondage peut