Représentant-représentation

afin de comprendre les réactions du cerveau face à ces différentes sortes d’images. 1. La perspective [pic] Définition générale Il existe différentes représentations de la perspective, cependant elles sont toutes basées sur l’objectif de figurer la vue d’objets en trois dimensions sur une surface. Chacune de ces représentations doit prendre en considération les distances (effets d’éloignement) et la position des objets dans l’espace en fonction du spectateur. La majeure partie du temps

(2001), est Maître de Conférences à l’Université de Nantes, à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion. Elle enseigne le Marketing et les Modes de Consommation Alimentaire. Elle a notamment publié un article de synthèse sur le rôle des représentations mentales dans les comportements alimentaires dans la revue Recherche et Applications en Marketing en 2005. Céline Gallen 1 Le design alimentaire : quelle place pour l’originalité dans la cuisine ? Une approche exploratoire de la perception

d'animaux ont été utilisées à la place des personnages représentés dans le TAT, car il a été supposé que cela permettrait aux enfants de 3 à 10 ans d'identifier plus facilement les dessins d'animaux. Originalement le CAT est composé de dix planches représentant des animaux divers (CAT-A). Les Bellak ont développé plus tard le CAT-H, qui comprenait des figures humaines, pour une utilisation chez les enfants qui, pour diverses raisons, identifiaient plus étroitement des figures humaines plutôt que des figures

lèvres et de la bouche), le traitement visuel susceptible de permettre, par exemple, la discrimination de visages non familiers, la génération des noms et la reconnaissance des visages familiers. Cette dernière suppose l’existence d’unités ou représentations stockées en mémoire (les unités de reconnaissance faciale ou URF) correspondant à ces visages. L’activation de ces unités conduit à l’identification de la personne, cette dernière pouvant être suivie d’une recherche du nom dans un « lexique de

brought me a drift of chosen females, standing in their shifts itself » si bien que le reste de la pièce doit être joué en « dumb show », mimée. Le même vacarme continua les nuits suivantes, mais l’équipe de l’Abbey Theatre tint à jouer toutes les représentations prévues et ainsi cette semaine, les journaux de Dublin furent marqués par ce qui fut appelé « The Playboy riots », les émeutes du Baladin. L’Ombre de la vallée ne fut pas bien accueillie comme La Noce des rétameurs et Cavaliers de la mer. Évidemment

par des designers et des artisans montre que le design peut être source de distance perçue avec le consommateur. Des médias sont alors envisagés pour favoriser l’appropriation du produit. Mots-clés : Consommation alimentaire, design produit, représentations mentales, distance perçue. Is Design Comestible ? Abstract This article focuses on consumers’ perception of design applied to food products. Two products conceived by both designers and artisans have been studied. The results show that design

ronds, ils ont les formes suffisantes d’une femme de notre temps. Malgré leurs postures tendues, certains modèles gardent la grâce féminine : une jambe courbée, étirée… Beecroft ne choisit pas un type de femme en particulier –bien que caucasien, représentant aujourd’hui le modèle à suivre aux quatre coins du globe et étant le type le plus représenté dans l’art depuis toujours- comme elle a pu le faire dans d’autres de ses œuvres (exemple : vb43 Gagosian Gallery, Londres, UK. 2000) où elle prenait un

artistiques et politiques que dans la recherche du beau. Ils repoussent ainsi certaines limites de la représentation. Une des figures majeure féminine, qui est une référence absolue de l’art corporel en France dans les années 70 est Gina Pane. Elle a développé une pratique artistique dans laquelle elle utilise son corps. Un corps fragile, vulnérable, qui cherche à mettre à jour des représentations tournées vers les souffrances du corps social. Un corps avec une conscience de sa responsabilité envers

L’opposition texte/image résulte donc d’une confusion. Il est donc intéressant pour nous de nous y replonger un peu. On a beaucoup glosé sur le « pouvoir » de l’image. Ce supposé pouvoir institue une essence performative à l’image qui, en représentant un objet, dirait quelque chose. En lui conférant un pouvoir qui exclue de façon énigmatique le destinateur et le destinataire, cette conception de l’image, à qui l’on attribue une force intrinsèque, la décontextualise, la déhistoricise et donc

comme une démarche de construction de sens bien plus que comme une simple méthode d’observation du réel et de déduction des traits les plus saillants. Le diagnostic y est présenté comme un concept ambivalent orienté vers la construction d’une représentation par et au sein d’une organisation. Cette démarche permet de considérer le diagnostic tour à tour comme ancré dans la construction d’identité, comme un processus de reconstru ction rétrospective, comme un processus d’enactment, possédant une dimen-sion