Rupture Lien Matrimonial

1. en absence de griefs : divorce pour altération définitive du lien du conjugal 2. le divorce pour faute II. modalités de la procédure choisie A. dispositions générales B. divorce par consentement C. divorce contentieux 1. le tronc commun procédural 2. l’instance en divorce 3. le jugement de divorce a. jugement rejetant la demande en divorce b. jugement prononçant le divorce Sous-section 2 : les conséquences du divorce I. les conséquences entre les époux A. les conséquences d’ordre

Une union 18 2. La loi civile 18 3. Entre 2 personnes physiques 18 4. De sexes différents 18 2. Le mariage dans le CC 19 1. Laïcité 19 2. La liberté du mariage (Cst 54) 19 4. Les dispositions positives de protection du mariage 19 § 2 formation du lien conjugal 19 a. Les fiançailles 19 1. Définition 19 2. Effets en cas d'inexécution 19 3. Les conditions pour conclure les fiançailles 20 1. La capacité de discernement (16) 20 2. L'absence d'empêchements définitifs au mariage (CO 20) 20 3. Le consentement

juridique dans le Code Civil. Ce dernier évoque ce terme pour faire référence à la direction morale et matériel de la famille, au logement de la famille ou au conseil de la famille. La famille c’est généralement un lien de parenté qui peut découler d’un droit de sang ou d’un choix. Ces lien peuvent être de ligne directe (sang) ou collatérale (choix). Il y a aussi un critère d’alliance. I- Le caractère évolutif du droit de la famille. Chapitre 1 : l’évolution jusqu’au Code Civil 1- Le droit

infidélité art 229: le divorce peut être prononcé en cas de : - soit de consentement mutuel - soit d'acceptation du principe de la rupture du mariage - soit d'altération dfinitive du lien conjugal - soit de faute ====> ici de faute et d'altération définitive du lien du mariage. art 237: le divorce peut être demander par l'un des époux lorsque le lien conjugal est défiintivement altéré. art 242: le divorce peut être demander par l'un des époux lorsque des faits constitutifs d'une violation

crise dans la famille, le droit intervient abondamment.  Réglementation très minutieuse.  Distinction entre 2 cercles familiaux:  Le cercle lato sensu (sens large) est constitué de toutes les personnes descendant d'un auteur commun donc unis par un lien de parenté issu du sang. Dans cette conception, on va inclure collatéraux, gendre... tous les alliés: le lignage de l'ancien droit.  Pour le cercle stricto sensu (sens étroit): époux et enfants: les parents et les enfants mais pas les petits-enfants

l’eau contenus que chaque statut à revendiqué les avantages attribué aux autres, en particuliers au mariage. « Le mariage est un acte juridique solennel, par lequel un Homme et une femme établisse une union organisé par la loi civil, et dont la rupture ne peut être obtenu que dans des conditions déterminées » A. benabant. Petit à petit on a observé une sorte d’uniformisation des statuts, au nom de la discrimination. La loi sur le PACS est donc apparue comme une solution à 2 types de problèmes

1. La modification des structures familiales traditionnelles. Elle repose sur des lois de l’Eglise. La famille est une institution naturelle qui repose sur la différence de sexe. La procréation est un des aspects essentiel de la famille, et le lien unissant les époux est indissoluble. Dans cette approche seule, l’institution compte, les sentiments ne comptent pas. Aujourd’hui la famille est un moyen de transmettre le patrimoine mais elle est aussi devenue un instrument dans la recherche du

Chapitre 2 : Le régime matrimonial Il désigne l’ensemble des règles applicables à la fortune d’un ménage. Ces règles concernent d’une part les pouvoirs des époux et d’autre part les obligations qui s’imposent à eux. Pour la banque la connaissance du régime matrimonial de son client est de première importance puisqu’il a des effets directs sur le contenu de son patrimoine, sur les pouvoirs respectifs des époux relativement à la disposition des biens du ménage

qu’il a lui-même engagé. 3. Que se passe-t-il au moment de la rupture du concubinage ? On retrouve la même logique que pour les fiançailles, à savoir que chaque concubin est libre de rompre sans motifs, néanmoins, le concubin peut engager sa responsabilité délictuelle sur le terrain de l’article 1382 du Code civil en cas de rupture abusive. Il faut pour cela un dommage, et que se dommage dépasse celui qui peut résulter après une rupture banale. Histoire jeune fille à récupérer. Par téléphone,

que l'on est si libre que ça ? Cf. doc n°2 de la fiche TD1 (18 janvier 2011) : La rupture fautive des pourparlers permet-elle d'obtenir l'avantage escompte de la conclusion du contrat avorté ? L'arrêt doit être intéressent sur la caractérisation de la faute dans la rupture des pourparlers, et au niveau de la sanction de la rupture abusive. I- RUPTURE SUR LA NOTION ABUSIVE II- LA SANCTION DE LA RUPTURE ABUSIVE La faute délictuelle est utilisée car il n'y a pas encore eu de formation