Rythme biologique

le public… Mes pièces ne racontent jamais une histoire, il s’agit simplement de placer quelque chose dans un espace et, pour le spectateur, de prendre le temps de le voir. Quelque chose qui est long et parfois répétitif, qui n’a rien à voir avec le rythme speed d’un show à la télé qu’on peut zapper à tout moment. C’est un temps différent, même si on peut y retrouver des éléments de ballet classique ou de divertissement, ou même des lumières qui bougent et dansent avec les danseurs. Les machines sont

outre musique par ses rythmes, ses sonorités et ses répétitions. Dans un poème de Longchamp intitulé « Courbé seul », c’est le rythme haché des vers et la présence du refrain « courbé seul » qui expriment le sentiment de la solitude et de la mélancolie du poète. De même, la répétition de certains mots ( « toujours », « attendre », « longtemps », « même » ) engendre l’idée de monotonie. C’est donc grâce au jeu des sonorités ( «  remâchant des souvenirs qui s’effilochent » ), au rythme, au refrain et aux

C de Marcel Proust), " Elles ouvraient dans l'herbe rase des prairies de longues blessures roses d'heure en heure élargies." ligne 2 et 3 (Texte D de Gustave Roud. On trouvera aussi une dimension poétique des textes avec une présence d'image, du rythme des phrases ou des vers. Les différences entre les quatre premiers textes du corpus sont la forme des poésie qui sont en prose ou en versification et les genres récit ou roman autobiographique, poème ou poème en prose. Les dates de publications sont

quatrains, l'autre d'un seul, cela signale un changement. Les trois premières strophes sont reliées par l'anaphore "Quand" le rythme est languissant. Le poète décrit une situation de crise qui allie trois éléments : L'air, la terre et l'eau. On peut remarquer l'absence du feu car le décor présenté ici est terne et envahi par la grisaille. La 4e strophe est le premier changement du rythme "Quand" est remplacé par "Tout a coup" et au vers 13 on a une idée de mouvement avec les cloches qui s'agitent au mouvement

ressources rhétoriques, sans préjuger des contenus : la poésie sera descriptive, narrative et philosophique avant de faire une place grandissante à l’expression des sentiments. En effet, première expression littéraire de l’humanité, utilisant le rythme comme aide à la mémorisation et à la transmission orale, la poésie apparaît d’abord dans un cadre religieux et social en instituant les mythes fondateurs dans toutes les cultures que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh, (IIIe millénaire av. J.-C.)

elles sont embrassées dans les deux quatrains. Il y a une grande douceur musicake, renforcé par l'écho intérieur en ''ant''. Dans les tercets, il y a deux rimes suivies, puis embrassées. C'est un sonnet à l'italienne. Les vers sont équilibrés, avec un rythme binaire. On remarque une coupe secondaire ''Vivez,...'' soulignant le sursaut du poète. Il n'y a pas de rejets, pas d’enjambement. Une unité métrique est imposée. La poésie se célèbre elle même, la beauté, pour sa magie. La seule note dissonante

: Rome n’est plus que ruines « C’est ce que Rome on nomme ». d) le jeu des sonorités : la répétition du nom «Rome», de l’expression «Rome en Rome», les allitérations des nasales : «Nouveau venu», «Rome», «n’aperçois», «murs», «nomme» = effet de rythme pour souligner la mélancolie du poète, son regret. II - Une réflexion sur le passé glorieux de la cité. Dans ce quatrain, l’opposition entre le passé et le présent est mise en évidence dès le premier vers grâce au parallélisme antithétique «

quatrains. On peut constater que les rimes d’octosyllabes sont féminines et celles de pentasyllabes sont masculines. Comme le nom du poème l’indique, « Le Serpent danse », cette forme de danse se traduit par le rythme du poème. Autrement dit, on remarque que les vers sont plus courts et donc plus rythmés. 4) « La Musique » (p. 66) ressemble sous certains aspects au « Vaisseau d’or » puisque ces deux poèmes sont présentés sous la forme de deux quatrains et de deux tercets. D’ailleurs, ils possèdent les mêmes

Mais la dimension mythique est présente dans ces récits: - le passé glorieux évoqué renvoie à une temporalité vague et indistincte : «autrefois», adverbe temporel qui fait référence à une époque indistincte et employé dans les contes, et les mythes, rythme chacune des 3 parties du poème. Il s’oppose au «maintenant», qui renvoie à l’actualité du poète. - des éléments magiques, merveilleux permettent de créer un univers mythique : ainsi la possession miraculeuse d’un espace immense, hyperbolique «tellement

l'indifférence. Le rythme ternaire oppose générosité de la nature et cupidité de Dieu. Le même enjambement à une strophe d'intervalle est associé à un effet de paronomase. ..2. Des contrastes - De couleurs : 1§ - De son : canonnade ,allitération en "r" Cette schématisation dans les lignes et dans les tons rappellent l'imagerie populaire : imagerie d'Epinal. ..3. Un poème de révolté Rimbaud reprend un poème traditionnel mais change les règles : une succession de rejets modifie le rythme. Rimbaud prend