Sephora Diversification

Le cantonnement à ces trois catégories signait l’absence de compétitivité entre les établissements. Dans les stratégies des banques, on ne voyait pas clairement apparaître les quatre mix du marketing. Toute politique de produits, fondée sur la diversification et l’innovation, était inconcevable. Toute politique de distribution était soumise au CNC (Conseil national du crédit). Quant aux politiques de prix, elles étaient passibles de poursuites devant la CCB (Commission de contrôle des banques). Seule

en pharmacies / parapharmacies : la vente de produits dermatologiques avec ou sans ordonnance dans le cadre des officines, des produits biologiques. (+6,6% en 2007) * La vente sur Internet : les sites de e-commerce, Marionnaud, Yves Rocher, Sephora, mais aussi des marques sélectives comme Lancôme s’y sont pris au jeu de la vente sur internet. Notons aussi que des déodorants sont également proposés dans d’autres types de commerces ; des boutiques d’accessoires ou de prêt-à-porter (H&M, Etam)

postmodernisme [« reflet de France », tradition et terroir] tendance authentique et traditionnelle : la nostalgie versus NTIC, l’investissement fantasmatique du passé. Le bien être : les alicaments [l’alimentation de demain]. Le luxe accessible : Séphora [accessibilité et praticité]. Le développement du loisir : les parcs à thèmes Playmobil [expérimentation du produit + confirmation de l’achat]. Contrebalancement Globalisation/Localisation ♦ ♦ ♦ ♦ Le marketing des villes, concilient les

Dassetto, « le consommateur ne recherche pas tant l’objet unique que le traitement unique ». La qualité du service revêt ainsi une telle importance au Japon que ceux qui ont cru pouvoir l’ignorer ont essuyé un cuisant échec. Ainsi par exemple de Sephora qui a raté son développement au Japon, en essayant d’appliquer son modèle de libre-service de cosmétique sans prendre pleinement conscience de l’attente de services spécifiques aux clients japonais. 6. Une vaste tranche de la population ayant un haut

marques reconnues par les consommateurs, qui d’ailleurs les plébiscitent, puisque, selon l’enquête de la société de conseil stratégique OC&C, réalisée en 2010, les Français placent 7 enseignes du commerce organisé parmi les 10 qu’ils préfèrent (Picard, Séphora, Décathlon, Fnac, Nature et Découverte, IKEA, Amazon) Le développement du commerce organisé a largement accompagné la dynamique des territoires notamment dans les centres villes et les nouveaux quartiers. Compte-rendu du 13 octobre 2010 3 Le commerce

........................................................................................ 20 a) b) Stratégie de distribution..................................................................................................... 20 Stratégie de diversification ................................................................................................ 21 4. 5. Analyse SWOT ........................................................................................................... 22 Problématique

pour l’ensemble du commerce de détail (hors autos et motos).  Les pure players BtoC se lancent peu à peu dans les services aux entreprises Confrontés à des problèmes récurrents de rentabilité, les pure players ont multiplié les opérations de diversification au cours des dernières années. Certains d’entre eux ont ouvert leur site à des vendeurs marchands (via des places de marché), alors que d’autres ont fait le choix de rentabiliser leur expertise dans l’e-commerce en créant des sociétés de services

Ephéméride 44 3.4. Vie économique ________________________________________________________ 46 Ephéméride 46 3.5. Distribution ____________________________________________________________ 48 Nouveaux concepts de magasins 48 Vente en ligne 49 Diversification des activités 50 4. STRUCTURE DE LA CONCURRENCE 51 4.1. Structure économique et industrielle _______________________________________ 52 Analyse synthétique 52 Chiffres clés du secteur 53 Localisation géographique 54 Concentration du secteur

dividendes pour leurs actionnaires. De plus, les marques de luxe interviennent sur un terrain très direct pouvant conduire au statut de marque de « style de vie » qui peut, à son tour, conduire à une capacité de croissance très élevée grâce à la diversification des produits. Nous examinerons ce phénomène de plus près au chapitre 4. À cet égard, on peut considérer que le marché du luxe est d’une certaine façon une « loterie » avec la possibilité de toucher le « gros lot » : non qu’il soit imprévisible

dividendes pour leurs actionnaires. De plus, les marques de luxe interviennent sur un terrain très direct pouvant conduire au statut de marque de « style de vie » qui peut, à son tour, conduire à une capacité de croissance très élevée grâce à la diversification des produits. Nous examinerons ce phénomène de plus près au chapitre 4. À cet égard, on peut considérer que le marché du luxe est d’une certaine façon une « loterie » avec la possibilité de toucher le « gros lot » : non qu’il soit imprévisible