Snacking Surgelé

céréales ou « snacks ». Ces deux activités sont parfois rassemblées sous une seule dénomination : les produits de petit déjeuner prêts à l’emploi. Au fil de son ascension, l’entreprise s’est diversifiée dans les snacks salés, puis dans les produits surgelés et les produits de praticité demandant pas ou peu de préparation. Ces derniers étant distribués exclusivement en Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada), l’aperçu de la situation concurrentielle et de consommation se rapportera davantage aux autres

en valeur en 2012) -Hausse des ventes de glaces en bacs et cônes. Ce sont les deux formes les plus appréciées par les consommateurs car elles sont pratiques. -Hausse de 2,2% du budget d’achat des ménages en glaces entre 2005 et 2013 -Essor du Snacking. En effet 80% des français consomment des encas durant la journée. -La glace est considérée comme un produit plaisir par les consommateurs. Menaces : -Baisse de la consommation de spécialités individuelles en raison du prix (5,1% des ventes en

plus ouverte et curieuse. Les boutiques voient dès lors apparaître des macarons « fraise tagada », « Arlequin » et le célèbre « Carambar » est utilisé en sauces ou en crémeux. Les bonbons de chocolat prennent des allures de barres chocolatés et le « snacking » devient un terme tendance pour définir le grignotage et remettre des produits sur le devant de la scène tels que les macarons, les madeleines et autres financiers. Dans cette abondance de sucre et paradoxalement, de nouvelles gammes de produits

avant de les conditionner dans un emballage hermétique quelconque. Les plats surgelés : Il s’agit d’un procédé qui, grâce à la congélation préserve l’intégralité des qualités nutritionnelles du produit en réduisant au minimum les modifications physiques, chimiques ou microbiologiques. C’est en fonction de la vitesse de congélation et du maintient ou non des températures que se distinguent les produits surgelés des produits congelés. Les plats cuisinés frais : Les plats cuisinés frais recouvrent

Beaucoup y ont élaborés leur concept autour d’un produit, il ouvre la porte à de nombreux concepts régionaux. * L’innovation est très bien vue sur ce marché avec les produits élaborés (steaks hachés, carpaccios, brochettes, saucisses), en conserve, surgelés et précuits. * La consommation de viande de veau est en augmentation. Elle a connu une croissance de la consommation individuelle de près de 4g en 2008. * Il y a une inflexion des achats de bœufs avec un report ponctuel vers la volaille et le

10 135,52 Département 04 Frais Libre-Service 13 Dépôt de pain 31 733,84 14 Assortiment Produits 51 401,59 15 Charcuterie Ls 51 160,26 16 Boucherie Ls 23 166,91 17 Volaille Ls 5 429,75 18 Ultras frais 67 449,50 19 Beurre Œufs Fromage 119 937,03 20 Surgelé Glace 35 595,00 Département 06 Services 22 Services 482,64 Total 1 206 610,00 Panier moyen 9,50 La qualité et la fraîcheur avec une offre importante en fruits et légumes Une palette de services : livraison à domicile, fax et photocopies, livraison

quantitative /offre et demande 5) quels sont les critères de segmentation du marché des glaces 6) Identifiez les forces et faiblesses des deux géants sur le marché français. Annexe 1 : Nestlé à la poursuite d'Unilever Alors qu'Unilever envisage de sortir des surgelés et que Nestlé se désengage de l'ultrafrais, dominer le marché de la glace devient une priorité pour ces deux géants. Pour y parvenir, le suisse poursuit les acquisitions, tandis que le néerlandais consolide ses marques. La guerre des glaces va redoubler

recettes traditionnelles, les produits minceurs ou encore les produits pratiques et transportables. Les arguments " ferments actifs " ou anti-cholestérolémie sont également un atout pour l'attractivité de ces produits. Les produits préparés frais, surgelés ou en conserves à base de légumes ou de viandes ont également été très prisés ces 25 dernières années. Les achats ont doublé entre 1976 et 2001. L'activité féminine hors domicile, l'allongement des trajets du domicile au lieu de travail, l'augmentation

d’autres raisons détournent le consommateur du rayon boucherie:  Discours nutritionnel négatif  Déstructuration des repas  Prix moyen élevé  Produits élaborés de plus en plus présents (viande et volaille)  Praticité de l’élaboré  Concurrence du surgelé  Manque de personnel professionnel RAYON A SERVICE OU TRADITIONNEL RAYON EN LIBRE-SERVICE Source: GRAND FRAIS L’U.V.C.I d’après le SNIV Les U.V.C.I (Unités de Vente Consommateur Industrielles) correspondent à tous les produits élaborés et

fournisseurs et leur pouvoir de négociation : Je n’ai trouvé aucune donnée là-dessus. ➢ Les produits de substitutions : Les glaces et sorbets se consomment à diverses occasions. Ils sont évidemment consommés en tant que dessert, mais aussi en snacking ou en petits déjeuners. Par conséquent, le nombre des produits de substitution est énorme. Des barres chocolatées aux chocolatines en passant par les yaourts, etc… Ce grand choix permet à chaque consommateur de trouver un produit de substitution