Solvatation

l’eau salée et du CH2CL2. En clair, il s’agit de diminuer la solubilité des alcaloïdes basique dans l’eau et ainsi de favoriser le passage des alcaloïdes basique dans la phase organique. Cette opération est basée sur la modification des sphères de solvatation (équation 3). 2- Analyse des résultats * Photo [ 11 ]: Essaie à la touche A : Réactif de Dragendorff B : Réactif d’Iodoplatinate Photo [ 10 ]: chromatographie après révélation au dragendorff L’essaie à la touche : les résultats

+/- Cétones : - acétone - butanone - très bons solvants organiques, solvatation sélective des cations, utilisés pour les réactions SN2 - acétone : peu nocive, pas d'effet mutagène... - butanone : température d'ébullition de 80°C - inflammables - aldolisations en milieu basique - composés un peu trop réactifs - la butanone est plus toxique que l'acétone +/- - +/- - Amides : - DMF* - DMAC* - très bons solvants polaires, solvatation sélective des cations, utilisés pour les réactions SN2 - leur miscibilité

est indépendant. On montre également que le taux de rejet d'une membrane augmente lorsque la pression efficace augmente. 4 La sélectivité des membranes d'osmose inverse pour les différentes espèces chimiques dépend de leur possibilité de solvatation par l'eau. Les espèces les plus fortement solvatées ont un taux de rejet toujours plus important. On peut en tirer les indications suivantes: • les ions sont mieux retenus que les molécules. • les protéines ont une rétention plus faible pour

Les ions atteignent une vitesse terminale lorsque la force d’accéleration est balancée par la friction. • + charge électrostatique E La force nette agissant sur l’ion est nulle lorsque s= - V + zeE f rayon ionique sphère friction de solvatation charge viscosité du milieu • La vitesse de déplacement d’un ion est proportionelle à l’intensité du champ appliqué s = uE où u représente la mobilité de l’ion. • • ms−1 u= = m 2s −1V −1 Vm−1 v zeE ze ze u= = = = E Ef f 6πηa Mobilité ionique

Au14 | Hg18 | Tl 20 | Pb | Bi 22 | Po | At | Rn | Le volume atomique et le rayon atomique, maximum pour les alcalins, minimum pour les éléments de transition (d’où leur masse volumique élevée) Le rayon ionique, maximum pour les alcalins (faible solvatation en solution, faible énergie réticulaire dans les cristaux), faible pour les métaux de transitions (apparition de complexes très stables). Li+0,06 | Be2+0,03 |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   | C4+0,01 | Na+0,09 | Mg2+0,06 |   |   |

Les ions atteignent une vitesse terminale lorsque la force d’accéleration est balancée par la friction. La force nette agissant sur l’ion est nulle lorsque + V charge électrostatique - • • E + rayon ionique sphère friction de solvatation charge viscosité du milieu s= zeE f • La vitesse de déplacement d’un ion est proportionelle à l’intensité du champ appliqué s = uE où u représente la mobilité de l’ion. • v zeE ze ze u= = = = E Ef f 6πηa ms−1 u= = m 2s −1V

former un gel, il faut que le polymère( système formé par un ensemble se macromolécules) soit bien solubilisé en solution (plus celui-ci sera ramifié, pus il sera soluble) et il faut un compromis entre l'association des chaînes entre elles et la solvatation du composé. Dès la mise en solution de l'hydro colloïde(l'agar agar par exemple), chaque grain gonfle, l'eau pénètre dans le grain, les macromolécules s'hydratent, s'éloignent les unes des autres elles s'individualisent. les polymères forment

L . + C. L Figure 2.15 δNu δC L (2) Nu: δδ+ Nu C L ♦ Effet sur le nucléophile.- Par contre la solvatation joue un rôle très important dans la disponibilité du doublet électronique du nucléophile. - Dans tous les cas, la solvatation dépend de la taille de l’entité solvatée car les interactions étant de nature électrostatique, plus le réactif est petit, plus la solvatation par un solvant polaire (constante diélectrique élevée) est forte et donc la disponibilité du doublet libre moindre

&G°t > 0 ( + 4)! &H°t < 0 (- 8)! 5&S°t < 0 (- 12)! ANP AH2O KP = [Ah]/[ANP]! AH20, ANP: fractions molaires de A dans l’eau et ! le liquide non polaire, respectivement! &G°t = - RTLn KP! &G°t: variation d’énergie libre standard de solvatation, i.e. différence des potentiels chimiques entre 1 mole de A dissoute dans le solvant apolaire! à l’état standard et 1 mole de A dissoute dans l’eau! ANP !! &G°t >> 0 ( + 8)! &H°t # 0 (± 0, 5)! 5&S°t 0! Réorganisation de l’eau pour

que soit la quantité reçue, du fait du réflexe de fermeture des paupières et de l’écoulement naturel 10 P R ISE EN C H AR GE D ES P R OJEC TION S C H IM IQ U ES OC ULAI RE ET C UTA N E E On observe, dans la même expérience, l’effet de solvatation de l’acide sulfurique dans l’eau, ce qui entraîne un dégagement de chaleur autour de 90°C (graphe 2). Cet effet est très vite atténué en situation de lavage où l’effet d’entraînement permet d’amoindrir considérablement l’augmentation de chaleur