Syllogisme Socrate

dit Aristote, que du général et du nécessaire. L'instrument (organon) de la science est le syllogisme, raisonnement qui permet, à partir de prémisses, de tirer une conclusion nécessaire. La généralité de la déduction est assurée par le fait que le syllogisme tire sa validité de sa seule forme, indépendamment du contenu. Aristote est le fondateur de la logique formelle. La forme " classique " du syllogisme est la suivante : Tout A est B Or tout C est A Donc tout C est B Exemple : Tous les hommes

par contagion. On glisse d’un domaine à un autre. n Le syllogisme est une forme particulière de raisonnement déductif. Il consiste à énoncer deux propositions (les prémisses) et à en tirer une conclusion (possible parce qu’un terme commun aux deux prémisses permet de relier les autres termes). Si les prémisses sont acceptées, la conclusion qui en découle doit l’être aussi : « Tous les hommes sont mortels ; or Socrate est un homme ; donc Socrate est mortel ». n Le sophisme est un type de raisonnement

de leur auteur. Ils sont rigoureusement structurés comme l’est le texte de Pascal... Pour vous rendre compte de cela, vous allez devoir montrer que le raisonnement que développe Pascal dans le texte qui précède est un « syllogisme »… Approfondissement / rappel : un syllogisme est un type de raisonnement particulier, très utilisé dans le domaine des sciences et des techniques, dont la structure est la suivante : « Première proposition  : A = Majeure ou Universelle (proposition s’appliquant à

rendez-vous. Le premier reproche à l'autre son " triste état " physique et moral. II tente de le ramener sur le chemin du devoir et de la dignité. Entre-temps, " le Vieux Monsieur " et " le Logicien " sont venus s'asseoir près d'eux pour discuter du " syllogisme ", puis sont sortis... Le passage d'un rhinocéros interrompt ensuite la conversation des deux amis et provoque la stupeur générale. L'incident est clos. Jean reproche de nouveau à Bérenger son ivrognerie.     " Donc, logiquement mon chien serait

sophisme pour parodier le syllogisme. « Jean : D’abord, j'ai de la force parce que j'ai de la force, ensuite j’ai de la force parce que je j’ai de la force morale. » p.31. On voit qu’il y a répétition du mot «force» qui ne rajoute rien à ce qu’il énonce, la parole est bien tautologique, car il stagne sur la même déclaration. L’auteur utilise la répétition pour démontrer l’illogisme de Jean. «Le logicien : […] tous les chats sont mortels. Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat » p33. Dans cet

léger ") d'un mime ridicule, signalé par les didascalies. Arrivent alors le Vieux Monsieur et le Logicien. Leur conversation se déroule, imbriquée dans celle des deux premiers locuteurs. En effet, le raisonnement concernant le fonctionnement du syllogisme, qui intéresse le Vieux Monsieur et le Logicien (l. 22 à 28), se trouve entrecoupé (l. 26) d'une constatation désabusée de Bérenger concernant la difficulté à vivre. Ensuite (l. 29 à 44), l'échange entre ce dernier et Jean prédomine, interrompu

reprennent leur conversation : Jean reproche à nouveau à Bérenger son ivrognerie... Notre extrait nous présente deux conversations parallèles : celle de Jean et Bérenger, celle du Vieux Monsieur et du Logicien qui lui explique les principes du syllogisme. Le premier échange oppose deux tempéraments, deux types de discours et deux façons d'appréhender l'existence. Le second, plus délirant, réunit le professeur et son élève, en une parodique leçon de logique. Or, la juxtaposition des deux dialogues

en déduit des conséquences. C'est aussi celle de raisonnements, très courants, en forme de syllogismes, qui fondent une conclusion sur deux propositions posées comme vraies: Les hommes son mortels (vérité générale: argument 1) (or) Socrate est un homme (évidence admise par tout le monde argument 2) (donc) Socrate est mortel (conclusion particulière) Très souvent le syllogisme est raccourci: Socrate est un mortel parce qu'il est homme (ici l'argument 1 est implicite) Hors des textes scientifiques

méditer sur les idées, c'est-à-dire sur les modèles intelligibles des choses empiriques, qui seuls sont véritablement. Socrate avait déjà enseigné à « définir » les Idées (idées mathématiques, idées morales, idées de choses, etc.) : ces définitions constituent notre premier concept du sens ; le sens d'une notion, c'est le définissant que nous pouvons lui substituer. Mais, si Socrate avait « défini » les Idées, Platon les a « séparées », selon le mot fameux d'Aristote ; entendons qu'il les a séparées

par contagion. On glisse d’un domaine à un autre. n Le syllogisme est une forme particulière de raisonnement déductif. Il consiste à énoncer deux propositions (les prémisses) et à en tirer une conclusion (possible parce qu’un terme commun aux deux prémisses permet de relier les autres termes). Si les prémisses sont acceptées, la conclusion qui en découle doit l’être aussi : « Tous les hommes sont mortels ; or Socrate est un homme ; donc Socrate est mortel ». n Le sophisme est un type de raisonnement