Synonymie

Le sens qui est associé à une lexie peut être exprimé par un grand nombre de lexies. Par exemple, à la fonction Magn associée à la lexie pluie, correspond plusieurs lexies: Magn(pluie) = diluvienne, torrentielle, forte ; la fonction Syn : "synonymie" associé à la lexie explication a pour valeurs : Syn(explication) = commentaire, éclaircissement, explicitation... Les fonctions lexicales sont universelles, c’est-à-dire qu’on peut les appliquer à toutes les langues : on note que d’une langue

verbes de mouvement et de changement d’état suivants quand ils ne sont pas accompagnés d’un complément direct (CD) du verbe : aller, arriver, descendre, devenir, entrer, monter, mourir, naître, partir, rentrer, revenir, sortir, tomber, venir. Synonymie Commençons par affirmer que les vrais synonymes sont rares ; en effet, quelle serait l’utilité pour une langue de posséder deux mots qui ont exactement le même sens ? Ainsi, ce que l’on appelle communément des synonymes, ce sont des termes qui

été jugée, la seconde appellation ayant été considérée comme une imitation de la première par contraste. Sachant que l'interprétation de ces cas peut être complexe, l'imitation peut aussi être constituée par analogie visuelle ou phonétique, par synonymie ou encore par association d'idées. 26. J'ai plusieurs marques déposées il y a plus de 5 ans que je n'exploite d'aucune manière. Ainsi… a) je bloque la concurrence vis-à-vis de ces appellations et je pourrai m'en servir si l'occasion se présente

suffixation, composition, dérivation, familles de mots, initiation à l’étymologie ; - sens propre et sens figuré ; - niveaux de langue ; - reprises et substituts du nom (en lien avec l’étude des classes grammaticales : les noms et pronoms) ; - synonymie, antonymie, paronymie. - polysémie ; - sens propre et sens figuré ; - figures de style (comparaison et métaphore : initiation) ; - histoire des mots ; - mots génériques / mots spécifiques. A faire - figures de style : antithèse, procédés de l’ironie

| |Sa(phon+graph)/Sé1,Sé2... |Sa(phon)/Sé1,Sé2... |Sa(graph)/Sé1,Sé2... | La synonymie. C’est, par exemple : beau, joli, mignon. La synonymie n’est jamais totale. C’est une proximité de sens. |Synonymie | |Sa1, Sa2.../Sé | L’antonymie. Ce sont des signifiants dont les signifiés sont opposés (ex : bien / mal). Par parenthèse

inconnue; le sujet ne peut l'utiliser ni dans la production ni la compréhension correcte d'une phrase le mot est connu mais de façon partielle; il peur être utilisé pour comprendre une phrase mais non pour produire ( c'est un des problèmes de la synonymie) le mot est suisamment connu pour être utilisé tant en compréhension qu'en production. Ces divers degrés pourraient être subdivisés car le sens d'un mot, ou mieux le concept qui lui est associé, continue à s'enrichir, se structurer à se

vacillement des identités, ils aboutissent toujours, à travers la structure polémique, à une réévaluation des actants en fonction du verbe, à une transition analogique vers une nouvelle rencontre, une nouvelle discussion. Les jeux de mots, jeu sur la synonymie, l’homonymie, sur les shifters, constituent « a conjuring-trick »6, ils sont un tourment fait au réel et à la représentation, une sorte de tour de magie ingénieux ou absurde qui superpose sur un même niveau les différents plans symboliques du discours

d’une réflexion. Ce que l’on fait par « instinct » (c’est-à-dire spontanément, naturellement, intuitivement) se distingue ainsi de ce que l’on fait par « réflexion » (c’est-à-dire en y ayant d’abord pensé). En établissant une équivalence ou une synonymie entre ces deux notions, Pascal précise ce qu’il entend lorsqu’il parle des « connaissances du cœur » : il s’agit de connaissances saisies intuitivement auxquelles le sujet adhère spontanément sous l’effet d’un certain « sentiment », sans que la

pas de dents. » Groupés, pour la plupart, deux par deux, s’appellent l’un l’autre par analogie (« queue prenante, ou contondante ») ou par proximité anatomique (« bec » et « dents »), par allitération (« épine » et • • « épée ») ou par synonymie (« virus », au sens étymologique de « poison », et « venin »). Tous évoquent des animaux réels, terrestres ou marins, du poissontorpille qui envoie des décharges électriques assez fortes pour tuer ses victimes à la vipère crachant son venin. A la

allitération en [t] ds tt le quatrain) le mouvement d’élévation est corrompu, ce n’est plus une aspiration à l’Idéal, c’est un cri fou, dément, atroce, « vers le ciel » 2) Le renoncement douloureux à l’Idéal. la locution comparative « ainsi que » et la synonymie des termes « hurlement/geindre » font le lien entre les v.13-14 et 15-16 : ces « cloches » sont une nouvelle hallucination, le produit d’un esprit envahi par le désespoir l’esprit est en proie à la folie car il souffre de ne pas pouvoir atteindre