Séance De La Flagellation 1766

partir de tous les cahiers on réunit tout en un seul livre. C’est aussi un moyen pour les sujets de s’adresser au roi. Une fois les cahiers sont rédigés et les députés élus, on réunit les états où le roi le souhaite. Le roi va ouvrir les états dans une séance solennelle, et fait prononcer par son chancelier un discours qui indique pourquoi le roi a voulut réunir les états et ce que demande le roi. Il les réunit pour leur demander de l’argent, la lever d’un nouvel impôt. Une fois que les demandes sont faites

subterfuge, il a le droit de gracier l’un des accusés du jour dont faisait partie Barbasses. Barbasses est gracié et Jésus condamné. Pilate s’en lave les mains (tant pis pour Rome). Rome avec son droit, valide la discision du sanhédrin, on passe par la flagellation (fouetter : roseau, fléau) puis la crucifixion. Jésus finit par être crucifié (supplice romain classique, double peine : exposition attachée du criminel avec autour du cou ou cloué à la croix un symbole de son forfait (voleurs avec une bourse ;

classes, la plupart des parlements de France dont celui de Paris se met en grève à leur tour. Il y a donc une paralysie totale en France. Le 3 mars 1766, Louis XV se rend en personne au parlement de Paris, il siège en lit de justice pour réaffirmer sont autorité et rejeter les contestations des parlementaires. On a appelé cela la séance de la flagellation. En 1769 (situation similaire). En juin 1787 : Le parlement de Paris refuse d’enregistre un édit royale créant un nouveau impôt. En faisant cela

idées sont fausses mais le pouvoir royal ne rétorque pas. B. Les tentatives de reprise en main 1. Les coups de majesté de Louis XV a. Le discours de la Flagellation Ce sont les parlementaires qui ont nommé ce discours ainsi. C’est un grand texte de l’histoire préparé en secret par les conseillers du roi à sa demande personnelle. Cela a lieu le 3/3/1766 où les parlements sont agités politiquement. Le roi quitte Versailles pour Pairs. Il sait que ce jour-là, a lieu la réunion des parlementaires. Il va

pour prévenir à nouveau. Le Roi se déplaçait au Parlement pour tenir un lit de justice et une fois le roi rentré à l’intérieur de la scène du parlement, on considérait que les parlements étaient dépourvus de tout pouvoir. Le Roi ordonnait avant la séance au greffier d’enregistrer le texte, ainsi le texte était inscrit de force sur le registre du parlement concerné. L’opposition parlementaire ne pouvait jamais avoir le dernier mot, c’est le roi qui décidait en dernier ressort, il n’était pas obligé

Mazarin à Paris.   1654 * 7 juin : Sacre de Louis XIV à Reims. * Août : Siège d’Arras par Condé.   1655 * 20 mars : Lit de justice où les magistrats, réticents, acceptent l’enregistrement d’édits fiscaux. * 13 avril : Au cours d’une séance le roi, par un discours sec, semonce le parlement. * Septembre : Turenne s’empare de Landrecies (Nord). * 3 novembre : La France conclût une entente commerciale avec l’Angleterre.   1656 * Sanson établit une carte de la Nouvelle-France

troupe d’hommes. La fidélité envers les grands risque d’occulté la fidélité envers le roi. La rationalisation de la justice Les procès se sont tellement multiplié, ce n’est plus possible d’obliger tous les hommes libre à assister à toutes les séances du Mallus donc Charlemagne va établir des règles. Il va restreindre la participation obligatoire à un nombre limité de plaid et n’oblige plus le comte à présider que les plaids public. Se sont toujours les mêmes personnes qui viennent assister le

certain quartier de la ville de Metz et a obligation de pratiquer seulement certain métier (prêt d argent orfèvre friperies . En 1657 le roi octroi au juste le droit de faire du commerce des marchandises neuves ces juifs lorrains vont profiter en 1766 obtiennent le droit de s’installer partout dans la province . 17°s partout dans le royaume les juifs profite de ce mouvement et peuvent vivent dans le royaume posséder des bien commerce en 1777 peuvent faire commerce EN 1784 suppression des péages

parlementaire aux réformes royales prend la forme d'un refus d'enregistrer celles-ci. Le roi pouvait imposer sa volonté aux parlements, grâce à son lit de justice (enregistrement forcé de sa décision). En 1766, Louis XV a remis le parlement de Paris à sa place au cours d'une séance royale : Séance de la flagellation. Les parlementaires ont eu droit à un rappel de la toute puissance du roi. « C'est en ma personne seule que réside la puissance souveraine » (Louis XV). La volonté royale prime sur les Etats

menace de grève ou de démission, ce qui suspend la justice et qui, si elle n'est pas rétablie, plonge la société dans l'anarchie. II. Tenir ou céder: inconstance de la politique royale à l'égard des parlements Le 3 mars 1766, un lit de justice, appelé "la séance de flagellation" car la violence du discours royal a fait l'effet d'un coup de fouet aux parlementaires, que le roi a fait lire un discours très virulent. Le roi Louis XV leur a rappelé les principes de la monarchie en les menaçant, un avertissement