Tahitien

ligne 18  « nous suivons le pur instinct de la nature » Cela va montrer que la société tahitiennes est une société pur et heureux. Cette innocence présente dans l’œuvrere est du a la copropriété « tous est à tous » ligne 18 , nos mœurs sont plus sages et plus honettes que les tienne » ligne 36, L'ignorance qualifié par les européens est en faite l'innocence, la sagesse qui fait le bonheur de la société tahitiennes. Un monde de liberté et de tolérance : Diderot défend également dans son œuvre

de communisme tribal - La propriété apparaît antinaturelle (je ne sais quelle distinction du tien et du mien) Diderot met l'accent sur l'INNOCENCE NATURELLE (pur instinct) (tout est à tous) - Il va plus loin en opposant la liberté sexuelle des Tahitiens à la possession de la femme comme une propriété. Mais peut-on y croire vraiment ? Couleur locale ? Exotisme et plaisir du lecteur ? - Examen des conséquences de cette introduction Symétrie, juxtaposition, réciprocité des tournures et tu es venu

la tahitienne est similaire à la bleuté de l’arbre. Par ailleurs, dans le premier plan, la couleur « orangé », un peu fauve est comparable à la couleur de la peau des tahitiennes et instaure donc, bien, l’idée d’une « fusion » entre l’Homme et la nature. De plus, on peut considérer que l’arbre se situant juste derrière les tahitiennes montre le lien fort qui unie la nature à l’Homme (ou l’Homme à la nature). En somme, on peut voir que le chien est en toute liberté, tout comme les tahitiennes et propose

. Ensuite Diderot dit: "tout est à tous" (ligne 4) où la répétition des mêmes sons suggère la cohésion de la communauté tahitienne, s'oppose "la distinction du tien et du mien" (ligne 5). Les explorateurs, sont clairement accusés d'y avoir propagé le feu qui va se répandre ("allumer en elles des fureurs" ligne6, "elles sont devenues folles" ligne 7, "féroce" ligne 7, "haïr" ligne 8) comme un incident qui consumera tout. Lorsque le vieillard dit: « Nous sommes innocents, nous sommes heureux"(l.2)

argumentatif entre 2 personnages : A et B, un jour de brouillard, au sujet du Voyage autour du monde (1771) écrit par Bougainville. B a entre les mains le Supplément au Voyage de Bougainville qu’il commente avec A en comparant les modes de vie européen et tahitien. Structure : On a une composition éclatée qui ne respecte pas l’ordre chronologique de la découverte de Tahiti. La discussion entre A et b contient d’autres discours : c’est un enchâssement. 5 parties : Jugement du voyage de Bougainville

après la publication par Bougainville de ses carnet de voyage autour du monde, Diderot redige un supplement (1772) dans lequel il remet en question l'ethnocentrisme des européens.Le chapitre 2 du supplement contient un discours prononcer par un vien tahitien au moment ou Bougainville quitte Tahiti. II)C.I. : Discours polémique : un éloge de la vie sauvage et le blame de la civilisation. III)Analyse 1) Un discours a)Une communication directe. -Presence d'un verbe de parole suivi de '' :'' puis ('')

le héros, le lieutenant Purcell, retrouve les amis Tahitiens chez lesquels il a vécu 6 mois, découvrant leur civilisation et apprenant leur langue, l'équipage repart. Certains matelots ont choisi de rester à terre et en contrepartie, des Tahitiens embarquent pour l'aventure. Mais L'île sur laquelle la communauté va s'installer est bien petite pour 30 personnes. Petit à petit la vie s’organise : les anglais construisent leurs cottage, les tahitiens leur maison commune. Les tensions cependant font leur

voyage de Bougainville, 1772 II/Cadre et contexte : Cadre historique de l’histoire : Récit qui fait suite au récit publié en 1771 par le navigateur Bougainville, à l’issu de son tour du monde. Il avait ramené avec lui un Tahitien, Aotourou qu’il « promena » dans tout Paris. Diderot trouve dans ce récit le moyen de réfléchir au problème de la colonisation et à la relativité des coutumes. Genre : discours fictif proche

de voyage. Il y développe ses propres réflexions à propos de la colonisation, l'esclavage, la liberté, etc. Dans ce texte, présenté sous la forme d'un dialogue, il est question d'un vieux Tahitien, qui adresse plein de reproches à Bougainville et à ses intentions de coloniser Tahiti. Les propos du vieux Tahitien, qui incarne le mythe du « bon sauvage », laissent transparaître la critique acerbe de Diderot. La phrase réprobatrice « Qui es-tu donc pour faire des esclaves » unit les aspects principaux :

LECTURE ANALYTIQUE N°3 Diderot, « Qui es-tu donc, pour faire des esclaves … » I. Eloge des tahitiens 1. Ton pittoresque du discours Tutoiement : « toi » (l1) / « ton vaisseau » (l2) / « tu ne peux » (l3) Ignorance : « je ne sais quelle » (l6) -> propriété étrangère aux tahitiens « lame de métal » (l15) -> outils inconnus (périphrase) 2. Eloge Respect du code de la nature : « suivons le pur instinct de la nature » (l4) Opposition aux codes civils, moraux européens