Te Deum

envers la religion catholique avec la comparaison d'une prostituée a un enfant de choeur allitération nasales → « n » « m » → sensualité, désir, plaisir pédophilie ? (b) 12 syllabes : alexandrin Te deum : « Hymne qui se chante à la fin des matines, les dimanches et jours de Chanter des Te Deum // auxquels tu ne crois guère, fête et, extraordinairement, à l'occasion de cérémonies solennelles (ordination, sacre d'un évêque ou d'un roi, célébration d'une victoire, d'une paix conclue,...) pour

La critique de la philosophie Optimisme    Développement:    I. Le spectacle de la guerre    1) Une véritable mise en scène du conflit  a. un spectacle sonore  ­énumération d’instruments “les trompettes”, “les fifres”, “les hautbois” + chant religieux “ faisaient  chanter des Te Deum” ( pour remercier Dieu d’une victoire)  => mise en musique grandiose, semblent former une “harmonie”  ironie car “canons” (et autres instruments de guerre) forment cacophonie & désordre  ­superlatif de supériorité “ telle qu’il n’y en eut jamais”  => spectacle unique  

barbare » (=paronomase). Pas de distinctions ente les mots abares et bulgares. D’ailleurs, on peut juste lire un total approximatif. Il n’y a ni vainqueurs ni vaincus. Voltaire donne un aspect grotesque à ces combats en faisant chanter des « Te Deum » des deux côtés comme si chacun des camps était persuadé de l’avoir emporté sur l’autre. 2) La responsabilité des rois et de la religion D’après les derniers mots de la fin du chapitre II, la guerre a éclaté par la volonté du roi des Bulgares

[r] dans « mais lorsqu’il y en a eu environ dix mille d’exterminés par le feu et par le fer » qui illustre l’horreur de cette extermination ; ou dans le reste de la phrase, les consonances en [on] et en [en] qui donne comme la cadence martiale au Te Deum. | Transition : Voltaire déploie toute sa verve ironique pour dénoncer le phénomène de la guerre mais il double cette critique par celle de la religion qui, en légitimant la guerre menée par les princes au nom de Dieu, s’associe à cette barbarie

qui sauve le monde et fait de bonnes actions. Or, ici, il est associé à un massacre sanglant, ce qui insiste sur l’ironie du regard que porte Voltaire. *Voltaire a un regard ironique sur la religion → « Les deux rois faisaient chanter des Te Deum » Les Te Deum étant des chants religieux, Voltaire critique la religion qui reste indifférente aux morts et au massacre, elle « bénit » même les soldats pour aller mourir. Mais Voltaire ne pose pas uniquement un regard ironique sur l’armée. En effet, il porte

parle sous-entend que la guerre soit un carnage inutile et sanglant qui enlève à la notion d'héroïsme son côté bien-faisant et glorieux. On remarque plusieurs parallélismes et ressemblances entre les deux ennemis : les deux rois font chanter des Te Deum au même moment ; il est clairement dit que le village abare a été brulé par les Bulgares et que le village bulgare a été “ traité de même ” par les Abares ; enfin les noms de ces deux peuples, les Abares et les Bulgares, se ressemblent au niveau de

coupés ». B – La cruauté des armées Les deux armées se ressemblent à s’y méprendre. Elles donnent à voir le même spectacle; elles ont quasiment le même nom (bulgare et abare) qui, de façon non anodine, rime avec barbare; elles chantent toutes deux le Te Deum après la bataille. Elles sont d’une même cruauté sans borne si bien que Voltaire décrit une « boucherie héroïque », oxymore qui dénonce la fausse valeur qu’est l’héroïsme. Cette scène du chapitre 3 est racontée du point de vue neutre de Candide. En

instruments aux canons. De la même façon, « les canons renversèrent » montre comme dans un jeu de quilles le peu d'importance accorder a la vie humaine. La guerre est « belle » mais en même temps elle est justifier par la morale, le fait de chanter des Te Deum montre que la religion est utiliser pour légitimer l'acte guerrier. La guerre est justifiée au point de vue philosophique, le raisonnement accrédite la guerre et Voltaire reprend des termes de Pangloss adepte de la philosophie de la Leibniz. L'acte

description d’un tableau de toute beauté. (Harmonie visuelle. (L’harmonie est également sonore puisque le narrateur évoque une certaine musicalité de la bataille et un accord, une osmose entre les différents instruments : l.2/4.+ solennité, sacré des Te deum. L’écriture elle-même fait ici écho à cette harmonie des sons par sa fluidité, sa rapidité, l’effet de symétrie de ses constructions : rythme fluide des énumérations, enchaînements rapides, symétrie des constructions, concentration spatiale, temporelle

encore en Belgique, où un Te Deum d'action de grâce est organisé pour chaque evenement festive. Cela n'empeche pas les senateurs américains, de voter dans certains états, des lois légalisant le marriage homosexuel ou l'avortement. Des prises de position allant contre cette même bible sur laquelle, ils ont juré fidélité aux Etats-Unis. La même situation se présente en Belgique, où tous les membres du gouvernement se réunnit pour louer Dieu, lors des très formels Te Deum. Ce meme Dieu qu'il "trahiront"