Te Deum

enfants. Axe 3 : La critique de la religion 1.la religion cautionne la guerre Registre ironique : usage répété du paradoxe entre le voc de la violence associé au vocabulaire de la religion regard du faux naïf : « chanson » (métonymie pour le Te Deum) etc... 2.religion artificielle/religion naturelle faux naïf : « harangueurs » (métonymie péjorative qui réuit les prêtres à de beaux parleurs ) + description des habils 3.influence et hyopcrisie des discours religieux il ramène les pédicateurs

éveiller son désir d'être sauvé. À partir du 5e dimanche, il fixe les yeux sur son seul Sauveur et le suit résolument jour par jour - heure par heure - sur le chemin du Salut. Alleluia est omis complètement jusqu'à la Vigile pascale [3]. Gloria et Te Deum disparaissent de la liturgie dominicale, mais subsistent aux solennités et aux fêtes [4]. Le 4e dimanche, moment auquel, la grâce aidant, nous commençons à vivre sereinement les pénitences que nous avons acceptées, l'Église nous accorde une pause de

essaie de nous toucher par le personnage de Candide afin de toucher notre sensibilitée. b. Critique du 'gouvernement' Voltaire trouve que c'est inssancé qu'ils aient autorisé cette guerre. Ils se fou d'eux: « les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp» Car tous les deux invoquent le même roi, le pouvoir des rois est dénoncé. Conclusion: Candide rencontre pour la première foi la guerre dans son épopée; il en fait un tableau médiocre, une leçons de tolérance. SelonVoltaire

LE CARACRTERE ARBITRAIRE DES COMBATS, CRITIQUE DE LA RELIGION critique de l arbitraire : « fut la raison suffisante » : impression de dogmatisme critique de la justification de la guerre par la religion : « les deux rois faisaient chanter de te deum » : pour voltaire dieu ne légitime pas la guerre l ennemi mérite de mourir : métaphore « neuf a dix milles coquins qui en infectaient la surface » : chaque armée a le sentiment d accomplir une bonne action critique d une justice arbitraire : « selon

certains philosophes optimistes ( Pangloss/Leibniz) et C. tremble pcq il perd son enthousiasme au vu de nb de morts croissant •Critique ironique de la guerre et de la religion : « une boucherie héroïque » -> oxymore, dévalorisation de l’Homme + « te deum » -> chant religieux ->mise en cause de l’alibi religieux dans la guerre -> religion qui cautionne les horreurs de la guerre III. Vision réaliste et pathétique de la guerre •CL de la mort, non-distinction des morts et des mourants, non-assistance

quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp, il prit le parti d'aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d'abord un village voisin ; il était en cendres : c'était un village abare que les Bulgares avaient

sacqueboutes). SCHÜTZ (Hollande) inspiré par le chant, remarque que les polyphonies lentes s'appliquent extraordinairement aux sonorités riches des sacqueboutes. Et même plus tard, ce nouvel instrument intègre l'orchestre: l'Orféo de MONTEVERDI (1604) et le Te Deum de LULLY utilisent les sons graves et puissants pour évoquer les enfers. Le sacqueboutier devient alors musicien de cours à part entière. Son niveau de vie dépendant de ses qualités de musicien, il développe sa technique instrumentale pour inciter

stupidité de la guerre. Pour cela, il utilise des figures d’amplification « rien n’était si beau, si leste, si brillant ». Pour montre l’absurdité de la guerre il insiste sur les similitudes entre les deux armées « les deux rois faisaient chanter des Te Deum ». Candide rencontre dans les deux armées la même atrocité. Ensuite, il aborde par l’emploi d’un oxymore la stupidité des troupes car pour elles, la guerre est une « boucherie héroïque ». On peut voir aussi voir la moquerie de Voltaire dans la périphrase

provoque un rythme incessant et intensifie le massacre. Voltaire cherche à provoquer différentes émotions comme le dégout, et la pitié, chez son lecteur pour montrer l’horreur de la guerre. III-La désignation implicite des responsables Le clergé (Te Deum) : Cautionne et encourage la guerre alors qu’il devrait s’y opposer. Les deux rois : Remercient les dieux pendant que leurs hommes commettent le pire carnage. La justice : Ouvrage sur les lois de la guerre. La justice cautionne cette boucherie. Voltaire

vi superum saevae memorem Iunonis ob iram; 5 multa quoque et bello​ passus​ , dum conderet urbem inferretque deos Latio; genus unde Latinum Albanique patres atque altae moenia Romae. Musa, mihi causas memora, quo numine laeso, quidve dolens, regina deum tot volvere casus 10 insignem pietate virum, tot adire labores       ​ impulerit​ . Tantaene animis caelestibus irae? b. De redenen van Juno’s woede (I, 12­33)  Urbs antiqua​ f​ uit​ (Tyrii ​ tenuere​ coloni) Karthago​ , Italiam contra ​ (+acc