Te Deum

côtés, consonnance identique : «barbare», l.29-30 («droit public») = doit homme: Lumières. - Droit public: «droit international régissant fonctionnemt entre états»: bafoué. Attaque recherche le soutien religieux. Religion complice infamie : «Te deum»: 2 côtés - Ridicule de la situation : qui a vraiment gagné ?

avec la répétition des consonnes « l » et « m ». Finalement on peut constater l’usage de l’énumération dans la neuvième strophe (premier et deuxième vers) : « Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes, / Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum » Pour conclure, on peut constater l’appréciation de Baudelaire pour l’art. Il expose l’art comme le meilleur témoignage que nous puissions donner de notre dignité et de nos limites en tant qu’êtres humains. Toutefois on peut dire que le poète à une

de Dieu, Candide n’a pas droit à a liberté. Voltaire nous laisse comprendre que tous les chrétiens ou croyants ne respectent pas forcément leur religion et que le Bien n’est pas omniprésent. Chapitre III : « les deux rois faisaient chanter des Te Deum » ; Voltaire crée une double paradoxe. D’une part les deux rois font chanter un chant de paix ou de gloire alors qu’aucun des deux n’a gagné et que les combats se déroulent encore, et d’autre part ils remercient Dieu pour le Mal et les carnages qu’il

moralement, religieusement et philosophiquement. Par exemple, le texte annonce que la baïonnette fut la raison suffisante de la mort de quelques milliers de coquins qui infectaient la planète. Un autre passage assure les deux rois faisaient chanter des «Te Deum». A la lecture de ce premier paragraphe, le lecteur remarque aisément la stratégie de Voltaire : Idéaliser pour mieux dénoncer. Une seconde peinture est réalisée. Cette dernière, plus crue et plus sèche tant dans les descriptions que dans les

peut pas être à la foire et au moulin”  Animo deliberato « Délibérément. » Ante mortem « Avant la mort. »  Arguendo « Pour en discuter. »  At spes non fracta « Mais tout espoir n'est pas perdu. » Contra legem « Contre la loi. » Credo in Unum Deum « Je crois en un seul Dieu. » Credo quia absurdum « Je le crois parce que c'est absurde. » Cura ut valeas ! « Prends soin de toi. » De facto « De fait ; dans les faits. »  De integro « Encore ; de nouveau ; une seconde fois. » Deo gratias « Dieu

champ lexical du "héros" est complétement sarcastique et montre à quel point l’homme est fou et cruel en s’entretuant ("boucherie héroïque", l.7) et en violant les femmes dans les villages de ses ennemis. Enfin, "les deux rois faisaient chanter des Te Deum" (l.8), des chants justifiant cette guerre et ayant pour raison Dieu. Le 18ème siècle est une époque où le peuple est encore très croyant, la raison de Dieu lui suffit à agir sans réfléchir. La plupart des religions (surtout la religion catholique

le public en passant par un raisonnement mais aussi par l'émotion : le lecteur a pitié du "jeune Soyecour", La Bruyère se sert donc du registre pathétique. De plus, chaque texte dénonce une origine différente à la guerre : la religion avec les "Te Deum" pour Voltaire, et "l'injustice" unie à la jalousie chez La Bruyère. Néanmoins, les deux auteurs recourent à des procédés similaires pour étayer leur thèse commune : la guerre est une abomination. Ils utilisent tous deux un vocabulaire extrêmement

il triomphe grâce à son opéra italien "Rinaldo", le premier du genre représenté en Angleterre. En 1711, un an avant que le musicien s'installe définitivement dans la ville du grand Purcell ; il y compose quelques œuvres sacrées, dont le célèbre "Te deum d'Utrecht" en 1713. Il se consacre surtout à l'Opéra de Haymarket, pour lequel il compose "Il pastor fido". Haendel s'installe chez le futur duc de Chandos, pour qui il compose onze "Anthems Chandos" jusqu'en 1720. Un an plus tôt, la Royal Academy

est absurde et j’en ai la preuve de par mon expérience. Ce que j’ai vu relève de la bêtise : J’ai assisté a une bataille entre les Bulgares et les Abares où le nombre de morts était le même de chaque côté ! De ce fait les deux rois sonnèrent le Te Deum. Mais, qui avait gagné ? Qui avait perdu ? En outre le mal créé par la guerre est tel qu’il est inimaginable. Ce que j’ai vu a marqué ma vie alors que j’étais encore naïf et innocent. Ces tas de corps et mourant sont épouvantable et même les vieillards

(construction rigoureuse, logique de l'organisation des deux camps de cette guerre). II) L'ironie prépondérante Les figures de styles spécifiques à l'ironie (répétition, comparaison, oxymore). Manipulation du personnage (les deux rois écoutent les té deum, ils prennent soin de l'harmonie du décor. Ils semblent être à un spectacle. Il y a une opposition entre ce qu'ils font et ce qu'ils disent .Ils se moquent du système. Il y a un point de vue omniscient puis interne. Il y a le champ lexical de la grandeur