Théorème des résidus

avec une cause unique des modifications qu'elles subissent. La causalité efficace ne rentre pas dans l'ontologie des rationalistes classiques. Rendre compte de l'ordre du monde en termes de rapports entre des figures et des mouvements laisse un résidu, l'origine de tous ces rapports, laquelle doit s'attribuer à une volonté créatrice, celle de Dieu. La cause efficiente ne peut recevoir de place dans ces systèmes que comme principe de tous les effets. Cette situation lui est dévolue par les systèmes

science-fiction. Au croisement de l’ethnographie et de l’histoire, la fiction se donne ici comme science du monde social. La référence scientifique jouait déjà dans le premier roman, où le narrateur proposait par exemple, sous l’égide de Claude Bernard, “le théorème central de (s)on apocritique.” (EDL, 93). Dans le second, elle est omniprésente - depuis le titre, jusqu’à l’utopie finale, de la physique d’Einstein et de Niels Bohr à la biologie de Michel Djerzinski et de son épigone Hubczejak. La science prend

la veuve. Les profits sont d’autant plus importants que les capitalistes épargnent moins. 5 La théorie post-keynésienne de la répartition est à l’opposé de la théorie classique. Chez Ricardo, mais aussi dans l’œuvre de Marx, les profits sont un résidu. Tout impôt, sauf ceux qui portent sur la rente, retombe nécessairement sur les profits et freine ainsi l’investissement et la croissance. Dans l’analyse de Kaldor, au contraire, les impôts retombent, en fin de compte, sur les salaires et n’ont aucun

rémunération de l’entrepreneur ? Comment se fixe le profit ? Les classiques anglais définissent le profit comme ce qui reste à l’entrepreneur après avoir payé les salaires : valeur marchande de la production moins les salaires. Le profit est un résidu, et ce qui motive l’entrepreneur est le taux de profit, i.e. le rapport entre profit total et capital avancé. Supposons deux marchés A et B. les salaires sont égaux dans toute l’économie. On pose par hypothèse que la demande est constante. Soit Tx

évolutions suivantes dans la zone nord : 1. Le prix des produits h-intensifs augmente relativement à celui des produits l-intensifs, et le prix du travail qualifié (facteur relativement abondant) augmente relativement au prix du travail d’exécution (Théorème Stolper-Samuelson). La hausse de la prime de qualification se traduit donc par un accroissement de l’inégalité salariale entre qualifiés et non qualifiés au Nord, car au Sud c’est l’inverse. C’est-à-dire que plus les pays du Nord commercent la main

de Terminale = étude de fonctions page 6 1 Produit et Logarithme - Exponentielle 2 Lecture graphique d’une pente = TMS 3 Comportement à long terme = les Limites 4 Equations – Inéquations : théorème des valeurs intermédiaires Leçon 3 : Calcul différentiel – Dérivées Partielles page 10 1 Dérivées partielles – différentielle et interprétation en économie 2 Fonctions de Cobb – Douglas - TMS - Elasticités Leçon 4 :

supplémentaires, durant les 30 glorieuses a permis d'augmenter cette richesse. + 1.6 point pour les machines. Alors que le PIB augmente de +5%, ces facteurs n'expliquent pas entièrement la richesse mais bien grâce à ces techniques de productions : c'est le résidu. Le progrès technique explique plus ou moins la moitié de la croissance. Selon les pays et selon les périodes, on va constater que le progrès technique ne sera pas le même partout. Une croissance extensible est caractérisée par un progrès technique

variables, le nouveau programme s’écrit alors : Max µ ,ν ( µ' y i ) j = 1 ,...., N s /c : ν ' x i = 1 µ ' y j −ν ' x j ≤ 0 µ ,ν ≥ 0 (2) Ce nouveau programme en µ et ν est linéaire et est donc plus facile à résoudre. Le recours aux théorèmes de dualité en programmation linéaire aboutirait à l’équivalent du programme (2) sous la forme d’une enveloppe : 5 - En se référant au modèle de Charnes, Cooper et Rhodes (1978). 7 Min s /c : θ ,λ θ - yi +Yλ ≥ 0 θxi − X λ ≥ 0

C/Y = c + C0/Y) est supérieur à la propension marginale à consommer. 2.2 La fonction d’épargne Connaître la propension marginale à consommer revient à connaître le taux d’épargne des manages. En effet, l’épargne (notée S) est considérée comme un « résidu » au sens où elle est la part du revenu disponible qui n’est pas consommée. Autrement dit, on peut écrire :   4   INSTITUT SUPERIEUR D’ECONOMIE ET MANAGEMENT Université Nice Sophia Antipolis   S = Y – C or, on sait que C = cY + C0 d’où

MCO + e (2.4) où βˆ MCO est l’estimateur de β et e est un résidu calculé, défini ainsi : e = Y − X βˆ MCO . Le modèle estimé (2.4) correspond au modèle linéaire Y = Xβ + u de l’équation (2.2), où le vecteur des coefficients « vrais inconnus » β est remplacé par l’estimateur βˆ MCO , qui est lui-même un vecteur, et où le vecteur des termes d’erreur « vrais inobservables   » βˆ MCO 1  ˆ MCO  β2    u est remplacé par le vecteur des résidus calculés e. On a en effet βˆ MCO =   ..  et    . 