Toute Justice émane Du Roi

il l'est en fonction des sources qui en compose la substance, que celle si soit formelle ou réelle. I- le droit comme idéal de justice Sous l'influence de la philosophie grecque, les romains présentaient le droit comme l'art du bien et du juste. Ils prenais dont en considération la finalité du droit, dans leur esprit celui ci s'identifie à un idéal de justice et d'équité. Les juristes consulte romain, ne se préoccupe pas par conséquent de la nature du droit, ils n'apportent en effet aucune

Monarchie absolue théorie de juristes royaux formulée début XVII et inculqué définitivement par Louis XIV. Le pouvoir du roi n’est pas sans limite grâce aux lois fondamentales : transmission de la couronne, serment du sacre, droit canon (ecclesia), droit privé (propriété), contres pouvoirs (parlement, cours de justice) Royaume renommé : ancienneté Pouvoirs thaumaturgiques : (guérisseur) le roi peu guérir les malades par les écrouelles Royaume puissant par la population : royaume riche (production)

production et l'accès à la profession, et d'entretenir une caisse de secours pour ses membres ( prix, accès, production ). Les corporations sont supprimées en France en 1791 ( loi Le Chapelier ). Décret : Ordonnance, décision qui émane du pouvoir exécutif. La décision émane aujourd'hui du pouvoir législatif ( Communautés et Régions, sauf à Bruxelles où le parlement votes des ordonnances ). Déisme/déiste : Position philosophique qui consiste à accepter l'idée de l'existence d'un dieu, mais sans adhérer

en 1 page, avec définition (orthographe, style, arguments...). Le droit s'inscrit dans l'histoire, ses sources sont encrées dans le passé, mais il évolue. Le droit tendrait à répondre à des questions de société. Il est l'héritier de l'histoire. Toute société connaît le droit (« il n'y a pas de société sans droit » = « ubi societas ibi jus » → droit romain). INTERET : - Étudier les systèmes juridiques, leur évolution. Comprendre leurs finalités : pourquoi vit-on en société ? - Donner une

mettre fin à la domination royale ». Ce régime n’a pas Constitution donc le Roi peut tout faire. C’est donc de l’arbitraire et non du droit. Les partisans de la monarchie, le roi, tout le monde disait « il y a une Constitution monarchique. Certes la monarchie est absolue mais il y a des limites, il y a des principes, des lois fondamentales que le roi est tenu de respecter. Ces lois sont constitutives de cette monarchie. Si le roi venait à les détourner ou à ne pas les respecter il serait immédiatement

œuvre). Le roi exprime sa supériorité dans ses actes attestant par le fait même que sa volonté de puissance n’est pas seulement théorique. Le roi, de plus en plus supérieur par le fait même qu’il est souverain, peut ce qu’il ne pouvait pas avant s’adresser à l’ensemble de ses sujets. Ce faisant, il se dégage de toutes les contingences, qui jusque-là (dans le monde féodal) l’empêchait d’exprimer son autorité) et l’empêchait d’exercer son pouvoir en toute indépendance. Pour se faire, le roi va créer

romaine « jus » → idée de justice. De nos jours, tous les historiens s'accordent à dire qu'il n'y a pas de véritable définition du droit. Cornu lie le droit à la règle, il peu désigner la droite conduite dictée par les règles → mais idée de règle ne suffit pas à elle seul pour faire le droit. Pour le romains, le droit est l'art du bon et du jus : « jus est ars boni et aequi ». Les grecs avaient distingué la loi positive (la règle édictée par l'autorité) et la justice. Si l'autorité est juste,

usant de formules plus percurtantes. Pour l’un et l’autre, la principale marque de souveraineté consiste dans le pouvoir que détient le roi de faire la loi, les autres prérogatives découlant de celle-ci. Au cours de l’époque médiévale, l’autorité du roi s’était confirmée alors que son pouvoir juridictionnel s’étendait. A partir du XVIème siècle, la compétence du roi justicier demeure fondamentale, mais il n’est plus nécessaire de l’établir et les doctrines mettent l’accent sur la loi. Les sociétés

« Le roi est le Chef, et le peuple des Trois Ordres sont les membres, et tous ensemble sont le corps politique et mystique du royaume ». Ainsi Guy Coquille expliquait-il au XVIème siècle la dépendance de chaque partie du corps social par rapport aux autres. Cette métaphore anthropomorphique était déjà celle utilisée par Jean Gerson en 1405 dans son sermon « Vive le Roi » (« Vivat Rex » ) prononcé au Louvre devant Charles VI, les princes et la cour. Jean Gerson, philosophe, théologien, et homme politique

comprend plusieurs constitutions car en 10 ans nous allons voir une remiser constitution écrit puis un projet, puis une deuxième constitutions jamais appliquée, puis une constitution courte chapitre premier = la monarchie limitée / ou "le roi et la constitution" le tiers état a fini par avoir 2 fois plus de deputés que les autres ordres, réunion des 3 ordres = se transforme en assemblée nationale = on se consacre à la rédaction d'une constitution = "assemblée constituante" rédaction