Transposition Didactique

compris théâtral) ; discours devant une assemblée ; - récit à visée argumentative (fable, apologue...). Mais, lorsqu’elle concerne le genre narratif, elle peut s’appuyer sur des consignes impliquant les transformations suivantes : - des transpositions : changements de genre, de registre, ou de point de vue ; - ou des amplifications : insertion d’une description ou d’un dialogue dans un récit, poursuite d’un texte, développement d’une ellipse narrative... Source : http://www.education.gouv

élèves à interroger et comprendre les textes et à réfléchir sur les similitudes et les différences entre les œuvres littéraires » dans une perspective intertextuelle et précisent que « la réécriture couvre trois domaines proches : l’imitation, la transposition ou adaptation, et enfin la parodie et le pastiche ». Les programmes de collège de la classe de troisième, quant à eux, spécifient que « le travail de l’écriture prend également en compte que l’élève rédacteur est aussi lecteur d’autres textes.

situation épreuve. » DE MONTPELLIER G., in THOMAS R. (1997), L’apprentissage moteur, Paris : PUF « Il y a apprentissage chaque fois que le sujet est confronté à une tâche vis-à-vis de laquelle il n’a pas la solution. » DEVALAY M., in MARROT G. (2001), Didactique de l’éducation physique et sportive ; Paris : Vigot « L’apprentissage est le changement dans le comportement d’un organisme résultant d’une interaction avec le milieu et se traduisant par un accroissement de son répertoire. » RICHELLE M., in THOMAS

sur la sensibilité du destinataire), et pas seulement de la conviction (= tout ce qui peut agir sur sa raison).   4°)   Si l'on vous demande une transposition, un changement, repérez bien lequel :    * de ton / registre : transposer sur un ton → humoristique, ironique, lyrique, dramatique, tragique, épique, satirique, pathétique, polémique, didactique, etc… En fonction du registre demandé, il faut exprimer les émotions des personnages (peur, joie, rire, exaltation, enthousiasme, révolte…) et évoquer

réalité et l’utilisation de documents authentiques fait partie des habitus pédagogiques puisque les apprenants y sont confrontés en permanence en dehors de la salle de cours. Mais les documents authentiques, tels qu’ils ont été pensés et promus en didactique des langues, correspondent à une situation d’apprentissage exolingue et non à une situation d’immersion linguistique. Cet article propose d’interroger la notion d’« authenticité » à la lumière de la situation des migrants en apprentissage en la

faire une telle analyse. L’analyse de texte s’organise autour d’exercices qui consistent en une décomposition d’un texte authentique (toutes sortes de documents) en ses éléments constitutifs pour faire ressortir sa structure interne. Les objectifs didactiques concrets sont : 1) Apprendre à distinguer les types de textes ou les formes du discours ; 2) Apprendre à distinguer les registres de langue ; 3) Rédiger une analyse. Le résultat de l’évaluation du travail est intégré dans la note globale du cours

courante. Les mots sont envisagés dans des situations de vie courantes, en effet, l’E demande aux és de parler de leur vie quotidienne dans laquelle elle tente d’introduire l’utilisation des termes en questions. Les és, par les questions de l’E et la transposition dans leur situation de vie réelle, permettent de développer l’objet langue au niveau discursif puisque une discussion s’instaure alors dans la classe. L’objet enseigné est marqué culturellement car l’interview s’inscrit dans la thématique de l’activité

séductions du récit : plus simplement – et peut-être moins gravement –, l'enfant, captivé par l'« histoire », risque de ne pas savoir en faire la nécessaire transposition et la traduire dans notre monde, donc de ne pas en voir l'application dans la vie. L'apologue se trouve alors amputé d'une de ses fonctions majeures, sa fonction didactique. L'enfant, dit Rousseau, risque de ne pas en comprendre « le quart ».

Groupement de textes, réalisé par l'équipe des professeurs de Lettres du Lycée Simone Weil du Puy-en Velay dans le cadre de l'expérimentation des nouveaux programmes de seconde, au mois de janvier 2000. (Les parties grisées proposent un questionnement didactique à mettre en oeuvre auprès des élèves) 1. Vision générale de la séquence : ses enjeux 2. Les rubriques concernées dans les nouveaux programmes 3. Programme de lectures proposées durant la séquence 4. Déroulement de la séquence 5. Annexe I

La théorie des situations didactiques développe un cadre pour l’étude des situations d’enseignement des mathématiques. L’article présente deux éléments importants de cette théorie : les notions de situations didactiques et adidactiques et la notion de contrat didactique. L’exemple d’une expérience conduite par Brousseau d’un premier enseignement des statistiques au Cours Moyen illustre le propos. Cet article reprend l’exposé sur la Théorie des Situations Didactiques que j’ai fait lors de la