Ulpien Au 1er Livre De Ses Institutes

du 7e siècle, jusqu'au début du 6e, 3 rois « légendaires » ont succédés à Romulus.a la fin du 7e siècles, Rome tombe sous la puissance des étrusques, un peuple venu du nord. Ce sont les 3 rois étrusques qui vont ce succédés pour gourverner Rome : Le 1er : Tarquin l'ancien Le 2eme : Cyrius Tullius le 3eme : Tarquin le superbe A) Rome avant les étrusques Dans cette Rome d'avant Rome, le système politique est dominé par 2 institutions. La gens (pluriel :gentes) et la royauté fédérale. A côté de ce roi

(designe decisions tribun,aux) a rome = sience du D (ce Q l’on apL ajd doctrine) A) Dvlpt de la doctrine Ds la rome ancienne, la connairssance et interpretation dy D et mise en œuvre de la regle du D, était l’œuvre des pontifs. Milieu du 3ème S av jc, les 1er juristes consultes apparaissent, a la fin de la rep, les recrutement des juristes vont commencer a se modifier, ces juristes n’appartiennent plus nécessairement aux cercle des Pontifs, ce st les membres des grde famille romaines qui donnent des consultations

prudents c’est a dire ce ceux qui connaissent le droit. Le haut empire est l’époque où cette jurisprudence classique est à son apogée. Au deuxième siècle après JC émerge Gaius. Il laisse un précis qui s’appelle les instituts. On peut citer d’autres grands auteurs : Papinien, Paul, Ulpien, Modesti. Ce sont tous des savants dont le rôle principal va consister à remplacer par un édifice construit un ensemble de règles venues de la pratique et complètement morcelé. Elle connaît d’autres sources de droit

ingrédients fondamentaux que l’on appelle sources du droit. La source du droit c’est une métaphore, c’est à dire qu’elles sont utiles pour comprendre mais ne sont pas vraies. Cette expression n’est donc pas une réalité. Elle a été inventé par Ciceron au 1er siècle avant notre ère et se dit fons juris. C’était une métaphore de la mythologie grec, la liberté est un fleuve et quand on se place dans un fleuve c’est toujours le même mais ce n’est pas la même eau qui coule. Le droit est ce que je contemple mais

proclamer sa supperiorité sur la loi sacrée. Au 16 ème scièle, le droit de la famille va perdre de son coté religieux, du à un regard différent de la bible, la France ce sécularisera donc assé précocément. La sécularisation prononce 2 domaines de droit : 1er: FAS, de -743, désigne un droit religieu supperieur qui dicte l'ensemble des règles de conduites 2 ème: JUS depuis -463 qui désigne le droit faconner par les Hommes et non plus par les règles sacrée gravé dans le marbre. En France il faudra attendre

HISTOIRE DU DROIT Qu’Est-ce que le droit ? D’après ULPIEN, juriste romain du 3e s, « c’est l’art du bon et de l’équitable ». Le droit a toujours été lié à l’idée de justice. Aujourd’hui, on dit plutôt que le droit est une science, on dit la ou les sciences juridiques. On dit que le droit objectif est une règle obligatoire normalement assortie de sanctions émanant de l’autorité légitime. Le droit se distingue donc de la morale et de la religion même s’ils ont la même finalité (préconisent

sénat qui va prendre le contenu et en faire un sentais consult. Officiellment, a l'origine lorsqu'en 27 av JC, Octave reçoit le titre de princeps, il n'a pas le pouvoir législatif tout ses premiers empereurs vont passe par le sénat dont a partir du 1er siècle les membres sont nome par l'empereur. Pour garder un semblant de constitution, refuse de légiférer directement, jusqu'au règne d'Hadrian. Mais entre temps, d'autres sources du droit se sont développés. - la doctrine (jurisprudentiel) ce que

loi mais n'en est pas une. = - Les privilèges dans l'ancien régime : mesures prises dans l'intérêt de particuliers ou de groupes dans l'ancien régime. - Monopoles commerciaux ; avec la compagnie des Indes . - Privilèges d'édition : pour publier un livre il fallait avoir un privilège, qui autorise l'impression et le nombre d'exemplaires. C'est une dérogation à l'aspect de la loi générale. – ils n'existent plus, normalement, mais on en trouve pourtant. La loi est permanente : elle ne tombe pas en

pour Gaius, la constitution impériale « a valeur de loi ». Au début du iiie siècle, Ulpien, l’un des derniers grands jurisconsultes, cisèle une formule qui aura un grand avenir : « Ce qui a paru convenable au prince a force de loi » (Quod principi placuit legis vigorem habet). Comprenons : ce que veut le prince, et qu’il exprime par un acte public, doit être désormais considéré comme une loi. Gaius et Ulpien justifient leur position par un argument qui prendra par la suite une importance considérable

visions s’opposent, ont été développées par de nombreux philosophes : 1ère vision développée par Postulat : l’homme est bon par nature, est enclin à l’amour, au partage, à l’abnégation. Cette vision est rapporté par Sénèque, philosophe stoïcien du 1er siècle de notre air, qui fut à la fois précepteur de Néron nous indique « homo homini res sacra » ce qui signifie que l’homme est une chose sacré pour l’homme. Sénèque prône la bonne conduite, l’absence de violence, la résilience, la capacité à pardonner/partager