Universalisme Socrate

est Phédon ou De l'âme. Si on se fie au titre, il s’agirait donc de métaphysique. Au début de l’œuvre, une présentation de la scène est construite en tant que Prologue. Les derniers moments de Socrate y sont décrits. On sait alors qui sont les témoins, et dans le dialogue, on apprendra l'attitude de Socrate face à la mort. Le thème générale est la question de l'âme, ce qui arrive à l'âme après la mort par exemple, si elle est immortelle. Platon est idéaliste, pour lui l'âme survit au corps, il

Platon suce les couilles a Socrate et le représente aux yeux de toute la philosophie comme le plus grand et le plus sage des philosophes de l'antiquité. Il est meme dit qu'il est le premier. Merci Platon d'être un aussi bon leche botte grace a ton rétablissement de la véritable absolue, pour laquelle tu oeuvre le plus, nous a permis de croire des choses qui sont peu être fausses. Car grâce aux groupies de la philosophie qui se sont accumulées de puis tant de siècles et qui comme toi, aiment goûté

service des facultés auxiliaires variées, qu’on n’aurait pas eu l’idée de cultiver si l’on était resté obnubilé par soi. En tant que philosophe, Nietzsche a fait sa devise de la formule de Pindare, « Deviens ce que tu es », et non de la formule de Socrate, « Connais-toi toi-même ». Dans l’œuvre de Nietzsche, les chemins de traverse n’ont pas manqué, avant qu’apparaisse la tâche dominante qui a rendu nécessaires tous ces détours. Cette tâche, Nietzsche la nomme transvaluation de toutes les valeurs

une de celles aussi qui paraissent relativement simple. Or, il existe une histoire de la notion elle même, il y a eu différente signification de ce concept de vérité. Par conséquent, avant le commencement de la philosophie c’est a dire (avant Socrate) voir avant les présocratique ( les physiciens ) , il existe une manière de penser et dire la vérité absolument singulière qui est tout a fait étrangère du moins en partie avec l’approche philosophique de la notion . La vérité archaïque est d’abord

à la vie intellectuelle de la cité. A la fin de l’Antiquité le christianisme oriente la pensée philosophique de même, les philosophes arabe traduisent commentent et interprètent les œuvres des philosophes antique en particulier celle d’Aristote. Socrate, les physiologues et les sophistes. Qui sont les premiers philosophes ? Parmi les fondateurs de la philosophie nous avons les présocratiques, ils renoncent à l’explication mythique des phénomènes et cherchent à en donner une explication rationnelle

elle-même » dans le sens d’un enfermement en soi.               Cette relecture des grandes figures de la philosophie grecque se poursuit dans la pensée chrétienne. C’est ainsi que Saint Augustin interprète la révélation qui avait été faite à Socrate par l’oracle de Delphes : « connais-toi toi même » comme l’exigence de l’introspection. Le soi est objet d’examen, de recherche car c’est en lui que réside Dieu. On comprend que ce mouvement est solidaire de celui, déjà prôné par les stoïciens, de

pas de cet ordre, dans la mesure où il est moins « spontané », où la réponse n’est possible qu’ « en différé », et dont les instruments sont artificiels, extérieurs au corps (stylo, papier, etc.). Comment ne pas songer, ici, à la critique que fait Socrate de l’écrit ?

noblesse quand on a pouvoir sur soi-même autonomie, indépendance) Khalos kagatos Beau et Bon, réunir beau et bon Cours 3 : Portrait de Démocrite Démocrite, un présocratique ? Présocratique = penser avant Socrate (469-399). Donc présocratique quand ? Avant sa naissance, sa mort ou son acmé (430).=Non résolu Démocrite (v.460-v.356) = Démocrite plus jeune et lui survie entre 30 et 40 ans. Présocratique semble être fourre-tout, fait penser au modèle christique

le mythe. (le raisonnement (philosophique) prend le pas sur la croyance) . Très vite la philo se donne une double tâche, la 1ère est la critique de l’opinion des prétendus savoirs des raisonnements sophistiques fonction exemplairement remplie par Socrate et que toute philo authentique ne cesse d’exercer. Mais la philo prétend aussi au rang de sens suprême, celle qui surplombe toutes les autres et en donne la raison ultime : celle qui atteint l’absolu. Ainsi, Platon faisait de la dialectique (la

INTRODUCTION Socrate avait pour maxime « Nosce te ipsum », qu'il avait possiblement lue sur le temple de Delphes (« Connais-toi toi-même »). Mais comment se connaître ? Descartes a montré le« je » comme une irréductible conscience, qui peut s'appliquer à elle-même dans la mesure où cet « ego » est capable de dire qu'il a conscience de quelque chose. Or, comment cerner précisément ce « je » ?Puis-je avoir pour objet de ma conscience l'essence du « moi » ? Lorsque je veux faire connaissance avec