école De La Contingence

En effet, M. Weber affirmait que l'existence de règles et de marches à suivre bien définies et respectées à la lettre profiterait tant aux membres d'une organisation qu'à ses clients. II- Les théories néoclassiques de l’organisation. Cette école s'est développée grâce à l'apport de grands praticiens.(Chef d'entreprises et grands cabinets de conseil type Mac Kinsey, Boston Consulting Group ....). C'est un courant orienté vers le pragmatisme, dont la base théorique demeure très largement inspirée

Cahier de recherche Working Paper N°48 – 2007 Les membres du Club de Montréal ont-ils influencé la recherche en management de projet ? Geneviève Poulingue Professeur de Géopolitique, Ecole de Management de Normandie g.poulingue@ecole-management-normandie.fr Les membres du Club de Montréal ont-ils influencé la recherche en management de projet ? Geneviève Poulingue Résumé Cet article a pour but de vérifier l’apport d’une communauté de pratique, le Club de Montréal, à un domaine

par les nouveaux courants. * L’école classique L’apparition de l’école classique du management coïncide avec la révolution industrielle, et la transition de la main d’œuvre agricole vers le secteur industriel. Les acteurs principaux de cette école sont Fayol et Taylor. Le premier (Fayol), dont L’objectif était de créer une science de gestion des entreprises qui serait universelle et applicable en tout lieu, tout temps et dans toute entreprise, s’est concentré sur les problèmes de direction donc

l’env), un mécanisme de prise de décis° (qui prend les décis°, est-ce par secteur, hiérarchiquemt..), un ens de règles d’éval° et de contrôle (comme ds tte org° on vérifie si tt a été bien fait). Au cours du tps, la percept° de l’org° a évolué. I- Ecole classique. TAYLOR Frederick (1856-1915, amér, père de l’école classiq) A) Principe de base de Taylor. Il a fondé l’OST (Organisat° Scientifiq de Travail) càd éliminat° des gaspillage de tps, d’argent et de matière. Pr cela il se base sur des méth

Université Hassan II – Mohammedia Ecole Nationale de Commerce et Gestion Casablanca Sous le thème L’approche sociologique : L’acteur et le système Réalisé par : Encadré Sara Jdily Mr.Karim Guessmi Fait le : 23/03/2011 Première partie : Les contraintes de l’action collective L’action organisée n’est pas un phénomène naturel, c’est un construit

les différences entre les divers courants mais elle permet également de mettre en perspective les évolutions de la pensée économique dans le cadre de l’entreprise. Chapitre 2 : les fondements managériaux de la théorie des organisations. L ‘école classique fournit les premiers développements concernent l’organisation du travail des fonctions de production et administrative . Les auteurs sont pour la plupart des ingénieurs et sont obnubilés par le« one best way ». L’école des relations humaines

satisfaire le besoin supérieur. Un besoin supérieur ne peut être perçu si le besoin inférieur n’est pas satisfait. III. Théories managerielles des orgas Dans les années 50, aps les deux premiers courants. On appelle cela les théories de la contingence : elle prend en compte l’environnement. L’entreprise est un système ouvert. Elle montre qu’il y a plein de façon de manager selon l’environnement. Différents chercheurs : trois idées fondamentales * Orga = système en interaction avec l’environnement

salarié respecte les règles, les modes opératoires mais ne pense pas. Le supérieur hiérarchique représente l'autorité. Le profit est la mesure de la performance. Les facteurs humains sont occultés. Zone 2 : système fermé, approche sociale, école des relations humaines L'analyse de Taylor focalisait sur les compétences physiques des individus. Ici le courant des relations humaines traite des relations entre l'organisation et l'individu. Revoir les conséquences humaines du taylorisme.

regroupement en unités - la taille des unités de travail - les systèmes de planification et de contrôle - la décentralisation du pouvoir de prise de décision. Les facteurs de contingence influencent au même titre que les paramètres de conception le choix final de la structure organisationnelle. Mintzberg identifie quatre facteurs de contingence : 1- l’âge et la taille de la structure : plus l’organisation est ancienne et plus sa taille est grande, plus son comportement est formalisé et plus sa structure est

fondamentaux que toute personne doit trouver dans son travail. Si elle les obtient, elle augmentera d’elle-même sa contribution aux résultats de l’unité ou de l’entreprise auxquelles elle appartient. II. les théories managériales A. École socio technique (EMERY et TRIST) Optimiser l’aspect technique du travail et l’aspect social du travail La technologie définie et impose des contraintes de travail qui doivent être traitées et organisées selon les règles sociales et psychologiques :