éloge D Un Objet

, on vous aime ) - constatation par Charlotte du charme envoûtant de la parole de DJ ( trop bien dis pour moi , je ne sais comment faire quand vous parlez ) 2. le discours de la flatterie : éloge de la beauté de Charlotte - énumération des parties du corps féminin ( taille, visage , dents , lèvres , mains ) - importance

d’analyse linéaire, un plan possible du commentaire pourrait être le suivant : (ce plan provient en parti du site www.lescorriges.com) I – Un éloge de la femme noire - description de la femme : organisation et structure du chant - l’érotisme, le regard charnel - lyrisme de la femme noire : nouvel objet poétique II – Entre femme et pays : l’espace du poème - un imaginaire africain - rythmes et sons : le poème tam-tam -

Italie au XVIème siècle. Le nom « humanisme », quant à lui, apparait deux siècles plus tard. Il désigne aujourd’hui un mouvement intellectuel et littéraire européen de la première moitié du XVIème siècle, et se définit comme une propriété qui a pour objet le développement des qualités de l’homme. Ce mot est bâti sur le nom « homme », car l’humanisme est une réaction au mode de vie négligent du Moyen- Age ; il accorde une importance capitale a l’éducation. L’homme ose se déployer et prendre de

raison en mettant l’amour du Duc de côté - vision négative de la passion au XVIIémes. -courant janséniste : religieux + pessimiste sur la vie et passion Passion : notion philo, émotion intense et durable du fait qu’on s’attache en particulier à un objet (de manière préférentiel) XVIIèmes : -perso nobles/aristocrates et vertueux = exemplaire (comme les épopées) -nouveauté : sensibilité romanesque (expression des sentiments) -roman : genre dévalorisé mais proche du théâtre (genre noble) -Ici

Si l'on voudrais aller plus loin, on pourra même dire que l'homme est humilié , ou plutôt ses façons son humiliés, comme « il chérit la modestie de la femme » (l.8), « tous les compliments dont l'homme accable la femme » (l.20). Mercier fait une éloge de la femme, et en revanche, un blâme de l'homme. Avec les extraits « esprit naturel » (l.14), « facilité de voir » (l.10), « pénétration » (l.10), et en revanche les extraits « vices » (l.11) et « défauts » (l.11), il y a une grande différence présente

Objet d'étude : THEATRE : Fiche 1 : Bérénice Acte 1 Scène 5 : Thème : Titus n'a pas officiellement demandé Bérénice en mariage . Aveuglée par sa passion amoureuse la reine évoque la nuit du couronnement de Titus avec ardeur sans douter de leur union à venir . Commentaire oral : Bérénice de Racine écrite en 1670 est une pièce tragique , qui prend le plus souvent pour modèle les grands mythes grecs et latins. Elle s'inscrit donc dans le mouvement classique, prend pour cadre historique la

entre deux langages. L’on passe évidemment d’une langue plus qu’hyperbolique à un autre système de figures de rhétorique (la périphrase précieuse du vers 247 pour désigner Cupidon, et la conclusion provisoire — provocation de Clindor, v. 254-255 avec «objet » à la césure du vers 255 relèvent de la préciosité 1 ). Cependant les deux sensibilités — baroque et précieuse — s’opposent moins nettement qu’il n’y paraît. Matamore vacille entre l’une et l’autre (v. 247 puis 248 ; v.249-250 et v. 251-252). Corneille

Nous pouvons ainsi lire ce passage comme une philosophie de l’honnête homme et de ses humeurs, développée par un personnage burlesque, occasion de ne pas jouer les pédants. § L’utilisation du pronom personnel anaphorique il (et de son équivalent objet tonique lui), désignant le tabac, avec des verbes actifs (« il réjouit et purge les cerveaux humains » l. 4, « il instruit les âmes à la vertu » l. 5, « l’on apprend avec lui à devenir honnête homme » l. 5-6), déclenche trois personnifications qui

des modalités de la connaissance d'un être connaissant, il évoque les termes de connaissances intuitive et connaissance abstraite. La connaissance intuitive est immédiate, elle est une vision par laquelle l'esprit se rend présent directement à un objet. Quant à la connaissance abstraite elle requiert la méditation d'un processus logique, d'un raisonnement par concepts, d'un déduction. Ainsi dans l'optique de faire le moins d'erreurs possible, et donc rechercher la sagesse, on pourrait se demander

travail matériel et intellectuel = division du travail. = condamnation de chaque individu à s’enfermer dans un cercle d’activité déterminé, inévitable. 7. Le danger : l’aliénation du travail / 1 / Situation initiale : l’artisan produit un objet en totalité création propre + il se reconnaît dans l’œuvre. / 2 / Evolution : progressivement : manufacture grande industrie travail ouvrier = travail aliéné. / 3 / Situation finale : l’aliénation = fait que le producteur ne se reconnaît