épicure Et La Conscience

celui de l’ignorance et de l’illusion. L'idéalisme est une doctrine qui accorde un rôle prépondérant aux idées et pour laquelle il n'y a pas de réalité indépendamment de la pensée. Le monde réel n'existe qu'à travers les idées et les états de conscience. Le monde et même l'être se réduisent donc aux représentations que nous en avons. Pour Platon (427-347 avant JC), le monde des Idées constitue la vraie réalité. Descartes (1596 1650) qui peut être considéré comme un idéaliste, considère que

personne qui a de la chance! être heureux s'est satisfaire nos désir, car lorsque nous satisfaisons un désir nous ressentons un plaisir! Le plaisir est un sentiment plaisant, agréable!être heureux s'est tout simplement connaître le bonheur! Pour Épicure, le vrai bonheur consiste dans la paix de l'âme que rien ne vient troubler ainsi tout les plaisirs ne sont pas souhaitable c'est ainsi qu' il distingue trois sorte de désirs! Tout d'abord ceux qui ne sont ni naturels ni nécessaires ex la recherches

La cruauté est une invention humaine, ce n’est pas prendre plaisir à la souffrance de l’autre. Les psychopathes sont des personnes très réfléchis et intelligentes qui font, souvent, des choses horribles· La valeur du plaisir (Épicure) : seule une vie plaisante vaut la peine d’être vécue. Si réfléchir t’amène du malheur, tu devrais moins réfléchirSocrate est optimiste en disant que la réflexion apporte plus de bien12 hommes en colèresLe problème du mal : si personne ne s’était

de quête de vie, que l’on peut essayer d’atteindre notamment en distinguant les différentes sortes de plaisirs. Selon Epicure, le fondateur de l’école Épicurienne, le bonheur s’obtient grâce à l'assouvissement des plaisirs naturels qui procure la tranquillité de l’esprit. En effet, l’homme doit faire la part, parmi les plaisirs. C’est pourquoi, dans le livre Lettre à Ménécée, Epicure nous montre qu’il est important de faire la distinction entre les désirs naturels et les désirs vains. “Il faut se rendre

Parties : I. « Excepté l’homme… plus ou moins évidente » = la nature, de l’inconscience à la conscience, par l’intermédiaire de l’homme. II. L’homme comme animal métaphysique : « De cette réflexion et de cet étonnement en soi et pour soi ». III. « Au contraire… se comprendraient d’elles-mêmes » : la spécificité et les caractéristiques de l’étonnement philosophique. I. L’homme est un être à part dans

sobrement en recherchant les actions amenant l'absence de douleur, d'où doit découler le plaisir négatif de cet état de repos (ataraxie) mais la pleine conscience de cette ataraxie procure le plaisir suprême et la clef du bonheur c'est de connaître ses propres limites ; c'est pourquoi l'excès doit être évité car il apporte la souffrance. Épicure défend un mélange de joie tempérée, de tranquillité et d'autosuffisance[]. Le plaisir est le bien, et les vertus servent d'instruments. La vie selon le

désire. Je sais aussi ce qu'est l'objet de mon désir : cet aliment, ce corps, la présence de telle ou telle personne, etc. Néanmoins, il est évident que les pulsions animent, comme une force tellurique, souterraine, le grand jeu des désirs dont j'ai conscience. On ne peut donc séparer la question du désir de la question de l'inconscient. Décrivons l'expérience du désir. Je passe devant une pâtisserie et mon regard aperçoit soudain, dans la vitrine, un macaron ou un mille feuilles. Cet objet exerce sur

devoir souscrire sous peine de passer pour un infréquentable loser. Procédons de manière inverse. Si l'homme est malheureux, c'est pour des raisons qui ne dépendent pas uniquement des circonstances, mais de sa vision des choses. Pour le philosophe Épicure, la mort, les dieux, la douleur nous effraient et nous plongent dans l'inquiétude et l'angoisse qui nous empêchent d'être heureux. Les autres causes de malheur n'en sont que des manifestations inessentielles : chagrins d'amour, ambitions déçues, peur

période hellénistique, nous distinguerons, dans une première partie, l’Epicurisme et le Stoïcisme et, dans une seconde, l’Histoire des Scepticismes. Pour rattacher chronologiquement les deux doctrines de la première partie, il y lieu de remarquer qu’ Epicure a fondé son école (le Jardin) en –306, six ou sept années avant que le stoïcien, Zénon de Citium, ne fonde la sienne (le Portique). Il y a donc une contemporanéité remarquable des deux doctrines. Quant au premier représentant du scepticisme dans

Cours de PHILOSOPHIE par J. Llapasset Philo-poche Le désir Site Philagora, tous droits réservés © __________________ I. Autour du mot. Besoin, conscience... - Nous vivons en satisfaisant nos besoins, parce que nous sommes dans le besoin, dans la nécessité d'un système vivant de se nourrir et de se reproduire, son rêve pour ainsi dire. Le système vivant se satisfait de la présence, de la répétition du même (des fruits, des saisons...). - Le besoin qui se manifeste par