étude D Intertextualité

b) Les réécritures Cf note du fr. 45, p. 82 ( « Cf. Montaigne, Essais,… Voir autres notes aux pages 522 et 523 : comment commencent-elles ? « Cf Descartes », « Cf. Montaigne »… Qu’en concluez-vous ? ( Pascal s’inspire d’autres auteurs : intertextualité Lire la citation de Montaigne en entier. Pascal l’a-t-il simplement recopiée ? Discours imagé (comparaison du torrent) chez Montaigne, propos sans fioriture chez Pascal qui adapte Montaigne, qui le réécrit. ( Nb Non seulement les notes

le léger sourire qui flotte sur le visage de l'homme représenté par Man Ray ne reflète en rien la détermination, et la volonté de vengeance, du héros d'Alexandre Dumas. IV. INTERTEXTUALITÉ ARTISTIQUE D'autre part, notons que la représentation du château, et plus particulièrement de la tour, peut constituer une intertextualité artistique avec le peintre Georgio de Chirico. 1. Giorgio de Chirico Giorgio de Chirico était un artiste (peintre, sculpteur, écrivain) italien, d'origine grecque, dont l'oeuvre

Ici Rabelais cite Platon un autre philosophe grec, disciple de Socrate. Référence conforme à sa culture humaniste . La formule élogieuse « la bête la plus philosophe » est à la fois provocatrice mais aussi renvoie à une intertextualité (Platon souligne les vertus du chien, gardien de la cité et courageux), Il montre le chien dans une attitude à prendre comme un modèle. D’ailleurs Rabelais, avec son style habituel de la démesure lexicale crée une accumulation de qualités associées

vieilles ornières. 2 – Quatre obstacles, au moins, sont à vaincre à ce propos: a) Si l’objet du comparatisme défini comme “étude de la littérature du point de vue international”, conception très largement partagée, ne fait pas problème, l’interprétation de ce principe est sujette à caution. Ce qui est contestable, à notre avis, ce n’est pas la limitation de cette étude aux célèbres “influences”, “échanges”, “contacts”, “relations”, “liaisons”, etc., dont personne ne nie la réalité, mais l’approche

Le désinit. Désinit: savoir acquis apparemment. Évocation d'une guérison mais quand on replonge dans étude la psosibilité d'une conclusion positive est plus discutable. Si fonction du désinit est de termine run ouvrage, quelle résolution y'a-t-il ici et qu'est-ce qui reste ambigu ? I – II – réinsertion celui qui est sortit de sa fole dans une apparnete vie sociale mais qui instaure des ambiguités. III – moment le plus positif du texte, n'échappe pas à des ambigiutés. I - audacieuse tentative :

Introduction L’objet d’étude « les réécritures » concernent des textes qui se ressemblent et comportent des ressemblances, l’un s’inspirant de l’autre. On appelle « intertextualité » ces échos d’un texte à l’autre et leur étude. Cette notion date de 1960. Julien Gracq, un critique moderne (XXe), a d’ailleurs dit que « Tout livre pousse sur d’autres livres » ce qui montre la complexité de l’étude d’une œuvre : qu’est-ce qui est original et issu de l’imagination de l’auteur et qu’est-ce qui provient

suppose de la suite * Tableau mettant en évidence la structure narrative d’un chapitre ou du roman. → L’écrit : * recherche des modes de narration : Qui parle ? Qui raconte ? Etude des substituts pronominaux * Ecriture d’un résumé * Ecrire la suite d’un chapitre → Ateliers de lecture : Intertextualité : comparaison de l’histoire du Chaperon Rouge et du louveteau Maladroit →Discussions : * Débat sur le dénouement de l’histoire * Ouverture de réflexion par le questionnement

surpris ? En fait il ne s’agit pas d’un phénomène récent. Si j’ai inventé le mot, je n’ai nullement inventé la chose. Cette cohabitation ou intrication de l’autobiographie et du romanesque traverse tout le XXe siècle jusqu’à nos jours. Dans son étude, désormais classique, Le Pacte autobiographique, Philippe Lejeune se demandait si le héros d’un roman déclaré tel pouvait porter le même nom que le narrateur et l’auteur. Il considérait que c’était une possibilité intéressante mais qu’il n’y avait

Sujet: La Princesse de Clèves, étude d'un extrait Mer Fév 16, 2011 11:49 pm -------------------------------------------------------------------------------- Nom de naissance Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette (ou Lafayette) Activité(s) Femme de lettres Naissance 18 mars 1634 Paris, Royaume de France Décès 25 mai 1693 (à 59 ans) Paris, Royaume de France Langue d'écriture français Mouvement(s) classicisme Genre(s) roman Demande

perception de l’espace ; stratigraphie car il est nécessaire d’examiner l’impact du temps et de ses différentes strates superposées et réactivables à tout moment sur la perception d’un espace ; intertextualité car la perception de l’espace ne peut qu’être médiatisée par d’autres textes, d’autres œuvres, et son étude ne peut faire l’économie de cette médiatisation qui pose le problème du stéréotype. 9 10Enfin le dernier chapitre, intitulé « lisibilité », s’intéresse à l’importance du texte dans la construction