Légitimité Du Roi

LA FONCTION DU ROI SELON UN ABBE (DOCUMENT DE 987-997) A la fin du Xe siècle, la dynastie capétienne est en plein déclin, leur pouvoir est limité à un petit territoire et les grands seigneurs du Royaume reconnaissent à peine l'autorité royale. En 987 le roi Louis V meurt sans héritier, depuis le début du Xe siècle les Carolingiens et les Robertiens se disputent la couronne en une multiplication de successions qui accélère le déclin du pouvoir royal. A la mort de Louis V l'archevêque de Reims

Dargaud Marie le 10 novembre 2008 K1 Plan détaillé d’histoire moderne Sujet : Le pouvoir de François 1er. «  Le roi Très-Chrétien n’aime pas les affaires ni le soucis de l’Etat, mais plutôt la chasse et les plaisirs », c’est ce qui ressort du témoignage des ambassadeurs vénitiens au contact de François 1er en 1537. Il est vrai que le premier des Valois d’Angoulême, avec sa carrure haute et vigoureuse est prompte à chasser, il est vrai aussi que son goût pour les arts

s'enfonce profondément dans cette dernière. Il marque autant les corps que les esprits. Le pouvoir se manifeste par la loi, ou de manière symbolique. Sous le règne de Louis XVI par exemple, Louis Damien va être mis à mort pour avoir tenter de tuer le roi. Il va être écartelé, la justice à l'époque permettait la force, cela n'était pas choquant. Les prisons ne représente plus le pouvoir exercé physiquement. Il remarque que dans certains pays, on chante l'hymne national, au lever du drapeau tout les matins

quasi incontestable de légitimité ? Tout d’abord, il est nécessaire d’étudier le sacre d’un point de vu général, comme le vecteur d’une délégation de pouvoir divin ; puis nous nous focaliserons sur le sacre des rois de France et son évolution, et celui de Napoléon Premier. I- Le sacre : une délégation de pouvoirs divins 1- Lors de son sacre, le souverain acquiert, en plus de son corps charnel, un double corps spirituel. C’est la « théorie des deux corps du roi » développée par Kantorowicz

Baudouin, le roi de Belgique, a refusé de signer la loi relative à l'avortement. Il a démissionné le temps que cette loi entre en vigueur ; il est ensuite revenu sur son trône. Or selon l'article 109 de la Constitution de Belgique, « Le Roi sanctionne et promulgue les lois ». Le texte pourrait laisser penser que le Roi peut refuser d'apposer sa signature sur un texte de loi ; celui-ci n'entrerait alors pas en vigueur. Or la réalité a démontré que ce n'était pas le cas puisque le Roi, pour ne pas

notions de légitimité, de pouvoir, de commandement et d'obéissance. La forme de sa légitimité peut varier, et elle peut également s'exprimer selon un rapport de force. C’est ce même rapport de force que l’on retrouve au sein d’une monarchie. La monarchie est un régime politique où le pouvoir est détenu par un seul chef, le monarque. A l’origine, l’autorité monarchique était légitimée par une relation spirituelle que le monarque entretenait avec une divinité. Or, cette même légitimité s’est peu

celui-ci obtenait sa légitimité. Si l’on suit ces croyances, dès sa naissance, Hammurabi est promis à une vie de pouvoirs. Son code, portant son nom, traite de ce pouvoir. C’est un extrait du code d’Hammurabi qui fait l’objet de notre étude, notamment son prologue et son épilogue. Il est écrit vers 1750 av. J.-C., par le Roi lui-même, en fin de règne. La partie narrative du texte qui contient l’ensemble des lois est laissée de côté pour l’analyse. Hammurabi fut le sixième roi Babylonien, il

incontestablement un roi important, il se fait d’ailleurs couronné avec ses fils ce qui fait de lui un roi novateur. Le texte qu’il faut ici étudié porte le titre de « clausule du sacre de pépin ». le texte dégage en effet les modalités du sacre de pépin le bref. Il est alors possible de se poser la question suivante : qu’a apporté a pépin le bref la cérémonie du sacre ? En premier lieu, il sera abordé que la cérémonie du sacre permet la reconnaissance des différents pouvoirs du roi par le peuple. Puis

sorte récupérer des pouvoirs de puissance publique pour les transformer en droit qui tombe dans leur patrimoine privé, comme les corvées imposées à tous ceux qui bénéficient de la protection du seigneur. Et c'est seulement à la fin du Moyen-Age que le roi et ses représentants locaux vont à nouveau exercer un pouvoir public distinct du droit privé. Si l'on veut résumer l'évolution sur une douzaine de siècles on a un fort remembrement du pouvoir public pendant l'Antiquité romaine puis un important démembrement

la Révolution française, la souveraineté était détenue par le roi, qui était supposé l’exercer dans l’intérêt de la nation. Le roi en était investi car il était un personnage divin et donc digne, cependant cette divinité n’a pas empêché l’existence de contre-pouvoir. A. Un� légitimit� puissant� pour u� personnag� divinis� Le royaume devient un bien privé que le monarque reçoit par hérédité et sur lequel il exerce son plein pouvoir. Le roi est souverain, c'est-à-dire que lui seul peut reconnaître les