Cellulairement

par

Les Lecteurs

 Chaque lecteur de « Cellulairement » est un peu comme un ami de l’auteur, un confident à qui il raconte ses déboires. Les sentiments exprimés à travers les mots créent une sorte de lien avec VERLAINE et le rend sympathique. De plus, par endroit dans l’ouvrage, l’on a vraiment l’impression que l’auteur, comme dans une relation de face à face ouvre son cœur : 

« Un mot encore, car je vous dois
Quelque lueur en définitive
Concernant la chose qui m’arrive :
Je compte parmi les maladroits ».

 Cette impression de sympathie quoiqu’il en soit, et indépendamment de la vie tourmentée de l’auteur subsiste, et les lecteurs, désormais seuls juges ne peuvent éprouver pour lui que du respect, car ces mots attestent de l’immensité de son talent et de son caractère attachant. 
Inscrivez-vous pour trouver des dissertations sur Les Lecteurs >