De rerum natura

par

Livre IV

Lucrèce cette fois-ci développe un concept qu’il n’a pas évoqué dans l’introduction : les simulacres. Cette notion entre dans une conceptualisation plus large des sens.

Les simulacres sont des « décalques fidèles échappés au contour des corps » qui viennent frapper nos sens. Ténus, ils ne passent pas à travers toutes les substances ; ainsi, les miroirs les bloquent.

         Après avoir posé cette base, Lucrèce s’occupe de valider la théorie pour chacun des sens et de montrer qu’elle est capable d’éclaircir un certain nombre de phénomènes inexpliqués.

         De cette réflexion découle une observation sur le sentiment amoureux, car c’est de ces simulacres que naissent l’amour, le désir, et tout ce qu’ils impliquent.

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