Arrighi 6 Novembre 1936

Constitutionnel avait utilisé cet alinéa dans sa décision du 30 décembre 1987 N°87-237DC pour valider la constitutionnalité de la loi d’indemnisation des Français ayant du quitter les Nouvelles Hébrides, alors que le Conseil d'État, dans son arrêt du 29 novembre 1968, Tallagrand, estime que ce même alinéa n’est pas invocable par les rapatriés d’Algérie pour engager la responsabilité de l’État suite à la perte d’un bien « en l’absence de dispositions législatives précises en assurant l’application ».

compétent pour statuer sur les litiges | | | |administratifs. | |Terrier |6 février 1903 |Il se sert des prérogatives de puissance publique comme critère de définition du service| | | |public. Il reprend la distinction entre la notion de

Description des hypothèses à envisager 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 … Légende AAU : Dispositions issues d’actes juridiques de type « Acte administratif unilatéral » LEG : Dispositions issues d’actes juridiques de type « Texte législatif » UE-D : Dispositions issues d’actes juridiques de type « Texte de droit communautaire dérivé » UE-O : Dispositions issues d’actes juridiques de

règlement en disant que ce règlement est contraire à la loi. La loi fait écran entre la constitution et le règlement. Elle fait écran car il existe un principe fondamental selon lequel le juge administratif n’est pas le juge de la loi -> Arrêt ARRIGHI, du 6 novembre 1936, le juge administratif ne peut pas contester la constitutionnalité de la loi or il peut vérifier que le règlement du premier ministre respecte la constitution, c’est comme si il vérifié que la loi est elle-même conforme à la constitution

Constitutionnel avait utilisé cet alinéa dans sa décision du 30 décembre 1987 N°87-237DC pour valider la constitutionnalité de la loi d’indemnisation des Français ayant du quitter les Nouvelles Hébrides, alors que le Conseil d'État, dans son arrêt du 29 novembre 1968, Tallagrand, estime que ce même alinéa n’est pas invocable par les rapatriés d’Algérie pour engager la responsabilité de l’État suite à la perte d’un bien « en l’absence de dispositions législatives précises en assurant l’application ».

Loredana FINE Vincent LEMAIRE Shirley LETURCQ SEANCE 1 : LIRE LA CONSTITUTION SEANCE 2 : LIRE LES DECISIONS DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL SEANCE 3 : LA SOUVERAINETE DE L’ETAT SEANCE 4 : LA DEMOCRATIE SEANCE 5 : LA HIERARCHIE DES NORMES SEANCE 6 : EVALUATION SEANCE 7 : JUSTICE CONSTITUTIONNELLE (1) SEANCE 8 : JUSTICE CONSTITUTIONNELLE (2) SEANCE 9 : LA DIVISION DU POUVOIR SEANCE 10 : EVALUATION BIBLIOGRAPHIE : P. ARDANT, Institutions politiques et droit constitutionnel, LGDJ, Paris

n°140376 Doc. 4 : CE, 27 avr. 1994, Mme B., req. n°147203 Doc. 5 : CC, déc. n°2008-571, 11 déc. 2008, Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 Actes législatifs Doc 6- CE, 6 novembre 1936, Arrighi Doc 7- Ce, 6 décembre 1907, compagnie des chemin de fer et autres Actes du pouvoir juridictionnel Doc 8- TC, 27 novembre 1952, Préfet de la Guyane Doc 9 – CE, 17 avril 1953, Falco et Vidaillac Acte de gouvernement Doc 10- CE, 19 février 1875, i N Doc 11- Ce, 15 octobre 1993, Colonie royale

arguments est ici particulièrement significatif. Devant les magistrats du Conseil d’État, qui à plusieurs reprises ont affirmé leur incompétence à contrôler la constitutionnalité de la loi motif pris du principe de séparation des pouvoirs (v. CE, 6 novembre 1936, Arrighi, Rec. p. 966, toujours confirmé depuis), il est impératif de marquer la nature politique et non juridictionnelle du nouvel organe. Deux grands types d’arguments permettent d’expliquer pourquoi les auteurs de l’avant-projet défendu par

arguments est ici particulièrement significatif. Devant les magistrats du Conseil d’État, qui à plusieurs reprises ont affirmé leur incompétence à contrôler la constitutionnalité de la loi motif pris du principe de séparation des pouvoirs (v. CE, 6 novembre 1936, Arrighi, Rec. p. 966, toujours confirmé depuis), il est impératif de marquer la nature politique et non juridictionnelle du nouvel organe. Deux grands types d’arguments permettent d’expliquer pourquoi les auteurs de l’avant-projet défendu par

30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution. Selon l'article 3 du Code pénal de 1791, qui classe la peine de mort parmi les peines afflictives et infamantes, « Tout condamné