Arrêt Perdereau

blessures volontaires) finalement, est-ce qu'on ce sent plus en sécurités plaintes et dénonciations, bonne indication Mais dans les années 80, les femmes dénonçaient peu les viols, et le font beaucoup plus à partir des années 90. Viols : 50 % des arrêts de cour d'assise criminalité légale Criminalité légale : les condamnations prononcées Année crimes délits Contraventions 1973 1463 376.000 8.200.000 1985 2375 546.200 10.400.000 2003 3117 (hausse viols) 384.664 (dépénalisation des

parce que le droit pénal est la mise en œuvre d’une forme de contrainte par l’Etat. Les Etats sont farouchement attachés à leur compétence en matière pénale. D’où le fait que l’UE a pendant très longtemps été exclu de ce champ du droit pénal. Mais arrêt de la CJ de 2006. Le droit pénal est divisé en plusieurs branches : * Le droit pénal général : il s’intéresse aux principes fondamentaux du droit criminel et à ses sources. Il a pour but de définir les éléments communs à toutes les infractions

Aujourd’hui, on considère que l’infraction impossible doit être vue comme une infraction manqué. 2) Position de la jurisprudence Dans une 1ère période, la jurisprudence a été influencée à la doctrine dominante (arrêt de 1812, empoissonnement avec un poison non efficace, arrêt de 1859, tentative d’avorter une femme qui n’est pas enceinte). Par la suite la jurisprudence reprend les notions d’impossibilité absolue et d’impossibilité relative en effet, dans une seconde période, la chambre

n'était pas défini comme tel au moment des faits. la force de ce principe : le principe de légalité c'est un principe qui est consacré par le droit constitutionnel comme un principe à valeur constitutionnel art 7 et 8 de la DDHC nul ne peut être arrêté et détenu que dans les cas déterminé par la loi si au moment des faits le comportement répréhensible n'était pas érigé. Décision sécurité et liberté décision du CC appliqué une loi nouvelle plus sévère à des faits antérieur viol le principe de légalité

puisque par définition, on ne peut pas donner la mort à un cadavre. Le meurtre d’un cadavre est un meurtre impossible mais il est tout de même réprimé au titre de la tentative et par conséquent, le meurtre impossible est une tentative de meurtre. Arrêt Perdereau, Chambre criminelle du 16 janvier 1986. En revanche, dès lors que la victime était née et encore en vie au moment de l’agression, il peut y avoir meurtre. Cela veut dire qu’il n’y a aucune distinction à faire selon l’âge, le sexe, la race,

internationales peut s’effectuer de deux façons : _la vérification de cette conformité peut être effectuée par des organes internationaux mis en place par la convention elle-même (cour européenne des droits de l’homme qui a déjà condamné la France : ex : arrêt 24 avril 1990 c’est l’affaire Kruslin c’est l’affaire des écoutes téléphonique : la pratique des écoutes téléphoniques françaises était elle conforme à l’art 8 de la convention des droits de l’homme ; la France fut condamnée ce qui a précipité l’intervention

comprend des sanctions pénales classiques (les amendes) mais aussi des sanctions qui lui sont propres (des majorations de droit). Les sanctions peuvent se combiner. Les sanctions ont été posées par la chambre criminelle du 1er mars 2000. Dans cet arrêt la chambre explique les sanctions pénales et fiscales peuvent se cumuler car les sanctions pénales ont une nature répressif alors que les sanctions administratives….. Paragraphe 2 : Parmi les sciences juridiques. A) Les rapports du droit pénal général

infraction pénale, cela suffit. Pour la Cour EDH, la JP ou la loi sont des sources d'égale valeur. Ce principe proclamé par la Cour EDH l'est également par le CCL. La Cour de Cass également, peut écarter un texte de loi qui ne serait pas clair. Ex : Arrêt de 1990, le code des communes punissait toute infraction en relation avec un autre article de ce même code. Mais quand on lisait cet article, il n'y avait ni obligation ni interdiction. La cour de Cass a écarté cet article estimant que le texte n'était

à la victime de le pénétrer, la Cour de cassation, dans un arrêt du 16 déc. 1997, a dit que la fellation imposée à autrui était un viol (…Qu'en effet, tout acte de fellation constitue un viol au sens des articles précités, dès lors qu'il est imposé par violence, contrainte, menace ou surprise, à celui qui le subit ou à celui qui le pratique…), ceci était critiqué par la doctrine ce qui poussait la Cour à changer sa solution dans un arrêt du 22 août 2001 : (Bull. Crim. 2001,n° 169 rejet) …Les fellations

16/09/10 Bibliographie Code pénal, Dalloze Le capitan, CORNU Ouvrages de méthodologie juridique: Les grands arrêts du droit pénal général, PRADEL & VARINARD (Dalloze); Philippe BONFILS & VEROES (Létec) Philippe CONTE, MAISTRE du CHAMBON (Armand Colin) Jacques Henry ROBERT Michel Laure RASSAT Jean PRADEL (Cujas) Yves MAYAUD (Puf, coll. Droits fondamentaux) BOULOQUE (précis Dalloze) MERLE et VITU, traité de droit criminel Traité de PRADEL