Arthur Schopenhauer

Ce sont les notions de Bonheur et de Désir que reprend ici Schopenhauer. En effet se philosophe Allemand du 19ème siècle, nous donne son avis sur le bonheur et la satisfaction des désirs. Dans cet extrait du monde comme volonté et comme représentation, l'auteur explicite sa vision pessimiste de l'image que les hommes se font du bonheur, selon laquelle le bonheur serait la conséquence de la satisfaction d'un désir. Schopenhauer annonce que le désir n'est qu'un manque, une inlassable recherche de jouissance

Dans ce texte, Schopenhauer envisage la question du bonheur, ordinairement conçu comme réalité positive de notre existence, dont le malheur serait le simple négatif. Selon cette conception commune, le fond de notre existence serait le bonheur, et la souffrance ne serait qu'accidentelle. Mais le malheur et la souffrance peuvent-ils vraiment être envisagés comme la privation du bonheur ? Et si c'était le cas, alors, pourquoi sommes-nous plus aptes à percevoir la souffrance que le bonheur ? Pourquoi

certaine couleur où était inscrit un certain chiffre. L'argent n'apporte pas nécessairement le bonheur, et le manque d'argent ne provoque pas en lui-même le malheur. L'argent peut aider à se sentir bien, à nous apporter du plaisir, mais comme disait Schopenhauer," le désir une fois satisfait, le plaisir disparait, jusqu'à l'apparition d'un autre désir". L'argent ne peut pas apporter le bonheur, cet état d'esprit qui dure sur le long terme. Mais surtout tout dépend du rapport que l'on a avec l'argent. L'argent

qui ne s'achève que provisoirement après satisfaction (qui procure par ailleurs du plaisir). On ne peut de plus jamais satisfaire le désir car ce dernier renaît toujours de ses satisfactions éphémères. 10 : Mais comment se libérer du désir ? Schopenhauer explique que le désir est lié à la vie même et que nous ne pouvons en être libérés que par la mort ou l'art. L'art n'est selon lui qu'une pure représentation du monde, un regard désintéressé sur le monde comme spectacle. La fusion avec la nature

rouge d’abord, qui renvoie au feu, au sang et à la souffrance ; et puis le bleu-noir qui lui symbolise la mort, le vide, l’absence de vie. Interprétation de l’œuvre : -Le sens de l’œuvre : Proche par sa culture de la philosophie de Schopenhauer et surtout de Nietzsche dont le pessimisme radical l’a fortement influencé, Edvard Munch entreprend une série de tableaux dans lesquels rôde le thème omniprésent de la mort. Sa conception de l’humanité est d’un pessimisme effrayant. Munch s’acharne

un côté fragile et précieux. Le bonheur est-il le but de toute existence ? Aristote : « Nous recherchons toujours le bonheur pour lui-même et jamais pour autre chose. » b) Le bonheur et les désirs infinis Si on revient sur la philosophie de Schopenhauer nous devons rappeler que les désirs qui se renouvellent sans cesse nous éloignent d’un état de tranquillité, de stabilité et de sérénité. Selon lui les désirs nous mettraient dans une perpétuelle inquiétude qui nous empêcherait de trouver le bonheur

Philia et l’amour aristotélicien Les atomes crochus et l’amour épicurien Agapé et l’amour pascalien La reproduction sexuelle et l’amour selon Schopenhauer La libido et l’amour freudien Le Désir du manque et l’amour lacanien. La transgression dans l’érotisme de Bataille Dans son traité « Le monde comme volonté et représentation » Schopenhauer développe tout un grand chapitre « La Métaphysique de l’amour » dans lequel il prétend que le mobile de l’amour trouve sa source dans le fruit de

connaissance du moment (on pensait que la terre était au centre de l'univers et quelle était plate...). - L'unanimité, c'est le consentement de tous à une idée, un jugement. Mais cette adhésion sans partage, n'est pas toujours justifiée. Ainsi, A. Schopenhauer, dans L'Art d'avoir toujours raison nous explique l'origine des opinions communes. Selon lui, elles naissent d'abord dans l'esprit de quelques personnes. Par leur influence, ces personnes participent à leur développement. Puis les opinions s'étendent

entendue par ce qu’elle disait à tous : « Péris !». Elle fut en effet théorisée ainsi par son prédécesseur Schopenhauer, qui fit le même constat que lui en analysant cette morale comme « négation du vouloir-vivre ». Effectivement, dans Le monde comme volonté et comme représentation, au chapitre 48 intitulé « Théorie de la négation du vouloir-vivre » (p. 1373), voilà ce qu’en dit Schopenhauer : «… ces vertus morales sont un moyen de favoriser le renoncement à soi-même, et par suite la négation du vouloir-vivre »

changeront jamais, ce sont des multi-récidivistes, etc ; tuons-les ! - Mais c’est là que l’on va trop vite : vous émettez une théorie conjecturale sur le fait que cette personne ne changera jamais ; en somme c’est la même erreur que celle de Schopenhauer quand il postule une immuabilité des caractères : le caractère incurable de criminelle que vous croyez déceler chez celui que vous jugez ne relève pas du Monde 1 mais du Monde 3 ; vous pouvez vous tromper ! Les choses ne sont pas dans les faits