Autotélique

rendre compte de sa dureté et enfin, il effectuera un mouvement latéral afin de percevoir la texture. 49 Toucher un objet aura pour divers objectif : Finaliser une action (ouvrir une porte) S’informer sur un objet, une personne… Le toucher « autotélique », c’est la satisfaction éprouvée lorsque l’on touche un objet. Le consommateur en touchant les produits de l’établissement se fera une idée sur son positionnement., en poussant une porte par exemple, plus la porte est lourde, plus le magasin

passant par le roman d’apprentissage, le roman d’idées, le roman policier, le roman fantastique. Architecture unique en littérature. On a pu parler d’un “roman des romans”, facilité par un jeu synchronique des séquences qui met en œuvre un faisceau autotélique de références romanesques en l’absence de toute référence absolue. Cette structure pluri-sémiotique exerce une fonction symbolique. Si Gide s’emploie à mettre en œuvre une écriture polymorphe de l’aventure, c’est avant tout, et symboliquement, pour

moyen pour élever les esprits. De là, les objets de la culture, objets pérennes et remémorant les cultures des siècles passés perdirent leur qualité première qui était de toucher l’individu par delà les siècles. L’œuvre d’art perd alors son aspect autotélique pour servir le «  philistin cultivé  » qui ne se souci que de ce qu’elle peut lui apporter. Pour Hannah Arendt c’est ce qui expliquerait «  la pauvreté de l’art du XIXème siècle  ». C’est seulement

moyen pour élever les esprits. De là, les objets de la culture, objets pérennes et remémorant les cultures des siècles passés perdirent leur qualité première qui était de toucher l’individu par delà les siècles. L’œuvre d’art perd alors son aspect autotélique pour servir le «  philistin cultivé  » qui ne se souci que de ce qu’elle peut lui apporter. Pour Hannah Arendt c’est ce qui expliquerait «  la pauvreté de l’art du XIXème siècle  ». C’est seulement

passe doit être libre, mais attaché à l’âme. Mallarmé définit le poème comme un objet de langage, comme un univers clos. Sous l’influence du structuralisme et du formalisme, Mallarmé a été conduit à des positions selon lesquelles le poète était autotélique et autoréférenciel: il n’a pas d’autre but que d’exister, sans référence au monde extra-linguistique (position largement controversée). Cette position est l’aboutissement des théories de l’art pour l’art et de Baudelaire. On dit aujourd’hui, comme

Benveniste » 2 grandes définitions : - elle se définit par la notion d’imitation et de fiction - elle se caractérise par la fonction esthétique, c.a.d intransitive : une œuvre d’art n’a pas pour fonction de transmettre un contenu. Fonction autotélique : le beau n’a pas d’autre finalité que d’être beau. 1) La notion d’imitation : cf. : Aristote, La Poétique. De l’antiquité jusqu’au 19ème, le mot Poésie regroupe tous les genres litt. Aristote définit la poésie comme une imitation, une mimésis

consommateur (qualité d’un tissu, maturité d’un fruit…), on parle alors de toucher instrumental, le but étant pour le client d’obtenir des informations en lien avec le produit manipulé.  Une forme de toucher orientée vers le plaisir est appelé toucher autotélique. Le consommateur éprouve un plaisir qui lui donne envie de prolonger son geste (plaid en fourrure, vêtement de soie…). Le toucher a une influence sur le comportement du consommateur. La manipulation des produits est positive puisqu’elle est indispensable

resserrement sémantique qui s’opère de l’une à l’autre, est révélateur : la seule érudition qui vaudra désormais pour Jarry sera celle de ses propres écrits. Une façon pour l’auteur de signifier que le texte ubuesque est prêt à voyager de manière autotélique. LIRE L’ŒUVRE 11 L’ŒUVRE DANS L’HISTOIRE GROUPEMENT DE TEXTES : L’ÉVOLUTION DES CONCEPTIONS DRAMATURGIQUES (pages 85-96) 1. La tradition classique : les rapports que Jarry entretient avec la littérature en général et le théâtre en particulier

restaurants, les commerces… » On constate nettement que le comportement des passagers diffère, on peut les segmenter grossièrement en passagers fonctionnels qui perçoivent l’aéroport comme un lieu de transit opérationnel et rationnel et les passagers autotéliques qui perçoivent l’aéroport comme expérientiel. D’où ressort le fait que l’aéroport se trouve au carrefour des enjeux et des attentes, cela confirme, d’ailleurs, l’idée selon laquelle l’aéroport est partagé en 2 ensembles, à savoir 106 Mémoire

comme suit : 1- Séquence narrative ; 2- Séquence injonctive-instructionnelle; 3- Séquence descriptive; 4- Séquence argumentative; 5- Séquence explicative- expositive; 6- Séquence dialogale- conversationnelle; 7- Séquence poétique- autotélique. 2.4 Cohérence/cohésion de texte Les règles de bonne formation grammaticale ou sémantique des phrases ne suffisent pas pour former un bon texte. Ces phrases doivent encore s'inscrire dans le contexte où elles apparaissent. Parmi les critères