Base de données hiérarchique

l’on observe à Tanger est éloquent à cet égard. La dynamique insufflée par TangerMed et les investissements dans les régions du nord du pays ont changé la donne. Pour attirer des cadres expérimentés, les entreprises font de gros efforts sur les salaires. L’autre tendance lourde qui ressort de notre enquête est le resserrement des niveaux hiérarchiques. Il y a manifestement une réorganisation du pouvoir dans l’entreprise marocaine. Les organigrammes sont de plus en plus resserrés, probablement par souci

1960 aux années 1980, il est souvent synonyme de " bonne gestion ", réputation qu'il conserve encore souvent aujourd'hui. En effet, pour Michael F. van Breda le contrôle budgétaire est défini comme "la comparaison de données chiffrées constatées en fin de période avec des données chiffrées prévisionnelles." Le contrôle des budgets peut être défini aussi comme étant la phase de comparaison des réalisations aux budgets. C’est le moyen de contrôler la gestion par les chiffres. Fréquemment (mois,

Mintzberg, définir les parties fondamentales de l’organisation. 2. Mettre en évidence l’intérêt de l’analyse de Mintzberg par rapport à l’analyse traditionnelle. 2.2 Quelles sont les configurations de base ? 1. Définir les différentes parties de l’organisation. 2. Identifier les configurations de base. 3. Donner leurs caractéristiques. Cours 1. L’approche traditionnelle par les structures types 1.1 Quelle est la représentation générale de la structure d’une entreprise ? A. L’organigramme :

outillée de la GRH C’est une grande source d’information: formation, carrières, Mobilité… Elle est désormais formelle « A l’aide de méthodes et techniques établies, il s’agit de porter un jugement sur le travail accompli par un individu sur une période donnée (souvent annuelle), sa « performance », ses compétences ou encore son potentiel. » Appréciation des performances: Caractéristiques du système Incompatible avec un management bureaucratique où sont mis en avant l’âge, l’ancienneté, l’automaticité

fonction de base du management   L'organisation est le processus par lequel on établit des aménagements visant à optimiser les ressources humaines et matérielles d’une «organisation». Pour structurer un milieu de travail, il faut décider comment :    Répartir les tâches à accomplir Affecter les ressources humaines et matérielles Coordonner les résultats afin de respecter les normes de productivité. Organisation & Structures 9 L'organisation : une fonction de base du management

économie de pénurie où l’avantage concurrentiel s’acquiert par le contrôle des coûts et la maximisation de la capacité de production. Nous analyserons alors, dans un premier temps, les prémices de l’organisation scientifique du travail (O.S.T) de base Taylorienne. Puis, nous nous intéresserons aux principaux piliers de l’O.S.T. Enfin, nous nous interrogerons sur la fiabilité de ce modèle d’organisation technique de production afin de savoir si le modèle taylorien est réellement mort ! I

si les unités regroupent des compétences spécialisées et que les interrelations entre les unités sont faibles, l'optimisation de la performance globale, et la coordination est assurée sans difficulté par l'échelon hiérarchique supérieur et la négociation budgétaire (cette dernière donne l'occasion à chaque responsable de prendre conscience des contraintes des autres). L’utilisation de budgets dans d'autres contextes demande de se soucier davantage de la solidarité interdépartementale. 5°) principe

communication interne A. Motiver et fédérer Il est impératif de bien comprendre le système dans lequel le salarié s’inscrit, on sait aujourd’hui à quel point les publics internes de l’entreprise ne sont plus des publics passifs.Les rapports hiérarchiques ce sont énormément transformés : bénéfices de rapports plus horizontaux (on parle d’opportunisme de la hiérarchie.) Par ailleurs, la précarité grandissante dans les postes rend les salariés beaucoup plus vigilent et attentifs à ce qui se passe

formation Théories des Organisations : Le Béhaviorisme LA THEORIE DU POUVOIR DE H. SIMON : UNE LECTURE CONVENTIONNALISTE IIIIIIIVV- L’AUTORITE FORMELLE EN TANT QUE RAPPORT HIERARCHIQUE TROIS ASPECTS « NON HIERARCHIQUES » DU POUVOIR ORGANISATIONNEL CHEZ S IMON L’INCOMPLETUDE DES ORDRES ET DES REGLES HIERARCHIQUES LE PARADIGME SIMONIEN ET L’ECONOMIE DES CONVENTIONS LE PARADIGME SIMONIEN ET LA THEORIE DES REGLES DE J.-D. REYNAUD CONCLUSION : LE BEHAVIORISME : REFLEXIONS ET PERSPECTIVES

FOSSORIER mon professeur pour sa disponibilité, ses conseils, ses suggestions. je tiens à remercier vivement les formateurs et les cadres de l’école de hautes études économique et commercial « HEEC »qui m’ont assuré une préformation professionnelle de base qui m’a permis de réussir mon stage au sein des différents services. Durant mes trois années Je tiens également à exprimer mes plus vifs remerciements à M. CHAFIK chef de personnel qui m’a accepté comme stagiaire au sein d’hôtel TICHKA et tout