Bergson La Joie

vers l'expression de soi de manière consciente ou inconsciente : l'artiste est en train de mettre un bout de son âme dans les œuvres qu' il  crée ou capture.  Il  exprime ses angoisses, ses peurs, sa joie… Comment l'art Peut-il modifier notre vision de la réalité ? L'artiste nous propose  sa  propre perception du monde, en fonction de  son  histoire personnelle, ses expériences, 

être un instrument de connaissance ? A – Avoir du « Nez » ? L'expression signifie « faire montrer de clairvoyance », faire preuve de sagacité ( la pénétration faite d'intuition et de vivacité d'esprit ). L'odorat est une forme de perception. BERGSON - Matière et Mémoire, c'est intéressé à la perception. « La perception serait en droit l'image du tout, elle se réduit en fait à ce qui nous intéresse ». Autrement dit, nous interprétons la sensation en lieu de l'action, les origines de notre perception

donc, leur donne l'importance qui leur revient. B/ Par son organisation et sa structure, le travail devient facteur de découverte de soi dans ses actions et dans ses rapports aux autres: Poursuivre un objectif, déterminer des choix, éprouver la joie de l'avoir réalisé, la déception de l'avoir manqué sont autant de situations qui permettent, comme dans l'existence hors du travail, d'en apprendre sur soi. De plus, le rapport à autrui, sans lequel le travail est impossible, permet de s'ouvrir à une

tragiques » de 2001, l’Odyssée de l’Espace sont accompagnées du grave « Ainsi parlait Zarathoustra » de Richard Strauss, tandis que les scènes « trash » de Orange Mécanique sont accompagnées de… L’hymne à la Joie de Beethoven ! 3) Le but de l’art : changer notre regard sur le monde Pour Bergson, notre regard sur le monde n’est pas « neutre » : il est déjà structuré, mis en forme par les exigences relatives à notre efficacité et à notre survie — mais cette mise en forme est aussi un appauvrissement

éternellement assouvis Bonheur / existence . lié aux joies et aux peines que l'homme s'inflige ou que les événements de l'existence lui inflige . se vit par privation / par négation : identifier / connaître / vivre la douleur afin de vivre / connaître la joie . divertissement . condamné à désirer / condamné au manque et à sa sensation (condition humaine ? Synthèse > l'existence humaine oscille entre le divertissement et l'ennui > peur de mourir # peur de vivre > Immortalité : condamné à

Finalement la passion ici très proche du besoin. o Quand j’éprouve une passion, je subis quelque chose. Je ne suis pas libre. Sens large pour la passion amoureuse. Les cris de joie ou de tristesse : tout ce qui peut être enseigné par artifice aux animaux. o Il dit qu’il exclut du langage les cries de joie ou de tristesse, car on est du côté du mécanisme, du mouvement. o Par exemple, la pie : on a apprit a dire bonjour à se maitriser : réflexe : conditionnement. Le perroquet

volontiers la décision de lancer un missile, parce qu’ici on n’éprouve pas immédiatement l’effet de sa décision (il suffit, grâce à l’instrument technique, d’appuyer sur un bouton pour déterminer un carnage). ● Mais doit-on conclure, comme le faisait Bergson, qu’il faudrait, pour équilibrer le progrès technique, un « supplément d’âme » ? Souffrons-nous d’un excès technique et d’un déficit de spiritualité ? Ne pouvons-nous pas penser au contraire que nous sommes victimes d’une insuffisance de techniques

Corpus • Document 1, François Rabelais, Gargantua, “Prologue”, 1534 • Document 2, Henri Bergson, Le Rire. Essai sur la signification du comique, 1924 • Document 3, affiche du film Le Dictateur (Charlie Chaplin), 1940 • Document 4 , Laurence Consalvi, “Des écla… boussures de rire”, article paru dans Deux mille ans de rire, permanence et modernité (collectif), Presses Universitaires Franc-Comtoises/Les Belles Lettres, Paris 2002 Consignes • Première partie (synthèse) : Vous

manifestation suprême de l’inébranlabilité de la conscience de soi. En voulant s’éloigner du « reste » on cherche une réflexion sur son cas sans jamais prendre en considération le monde qui nous entoure. Bergson a dit que la conscience s’endort dans la répétition et n’est maximale que dans le choix, d’après Bergson, la conscience s’endormirait dans un environnement de répétition, comme par exemple la société, ou la routine du "métro, boulot, dodo" s’impose de plus en plus, au point de nous ramener à l’état

désir, pulsion, passion, illusion, mémoire, perception, raison, imagination... (et d’autres encore) Attention au concept d’ inconscient : le pb cs/incs est très récent. a. Distinguer le concept des philosophes (comme Leibniz, Nietzsche, Alain, Bergson, etc.) du concept psychanalytique (Freud, Jung, et leurs successeurs…) b. Les concepts de la subjectivité comme : désir, sentiment, passion, pulsion, illusion, fantaisie, fantasme… reçoivent un traitement très différents selon les auteurs au PRG :