Califat

l’empire ottoman, or les empereurs ottomans sont sunnites et se posent en défenseurs du sunnisme à tel point qu’ils se proclament califes à partir du début du 16èmes. Ils entendent à être les protecteurs de la Mecque, de Médine. Pendant des siècles, le califat est incarné par l’Empire Ottoman. C’est Mustafa Kemal qui le renverse. Or il se fait qu’une importante minorité turcophone va choisir le chiisme. Ce basculement se fait fin 15ème, début 16ème, et une partie azérique se convertie. Un prince turque

un cousin du prophète (descendant de Abass) et prétends avoir une autorité religieuse. Une des premières marques de cette autorité religieuse est le titre : Al Mansur BiLah , Al Mahdi BiLah .... Ils prétendent avoir une nature presque divine. Le Califat devient l'ombre de Dieu sur terre, le calife est un homme caché et quand on le voit on doit se prosterner devant lui. Alliance entre dynastie ommeyade et Aristocratie Iranienne. Ce sont les iraniens qui ont aidés les Abassides à détruire les Ommeyades

HUSSEIN, approché par Mac Mahon (haut commissaire d’Egypte britannique) négociation, appelle l’aide pour suppression ottomane et anglais aident à construire grand Etat arabe.Hussein accepte sous condition de délimiter frontière. Veut renaissance du Califat arabe tout en préservant intérêts ac britannique (commerce). Acceptation des deux partis, Mac Mahon protège la naissance d’une confédération d’Etat arabe indépendant mais sans fixer les frontières. négociation à deux têtes car pendant ce temps là

population sicilienne de communiquer vraiment à travers le syncrétisme de la chapelle. Cette volonté de 7bonne relation entre les populations du royaume de Sicile est cohérente avec les étroits liens politiques et culturels entretenus entre Roger II et le califat cairote, ainsi que les échanges épistolaires et les échanges de cadeaux avec le calife al-Hafiz. Cette bonne entente explique la présence de diplomates égyptiens à la cour de Palerme, origine la plus probable des artistes du plafond de la chapelle

Jésus-Christ lorsque les Abbassides renversent la dynastie des Omeyyades dont la capitale est Damas (749). Mansour, deuxième Calife abbasside fait bâtir une nouvelle capitale en Irak, Bagdad, dont peu à peu le rayonnement éclipse celui de Damas. Le califat se fait plus oriental laissant une place croissante aux Turcs et aux Perses. Les arabes syriens se sentent dépossédés du pouvoir. Cette rivalité réapparaît avec force à l'époque contemporaine. En 1963, le Baas prend le pouvoir dans les deux pays

Coran. Il y a de nombreux employés au service de ces grands personnages. L’unité d’un si vaste empire est difficile à maintenir. Au Xe siècle, l’empire éclate en trois califats (territoire sous l’autorité d’un calife) rivaux : le califat abbasside de Bagdad au Moyen-Orient, le califat du Caire en Egypte et dans ses environs, le califat de Cordoue en Espagne. Un carrefour commercial : Les grands marchands sont nombreux en terre d’islam. Ils font du commerce à l’intérieur du monde musulman ou vont en

séparation entre les domaines religieux et politique. Dès lors, les mouvements révolutionnaires islamistes prônent l’abolition des frontières des Etats modernes, la réunification politique de la communauté musulmane (la oumma), le rétablissement du califat (pour les islamistes sunnites) et de la loi coranique (la charia). Depuis les années 70 des Etats réintroduisent des principes de la charia dans l’appareil législatif, tandis que la laïcité recule dans le domaine juridique. Des islamistes conquièrent

modernisation et de laïcisation. Le kémalisme entend porter le changement au cœur de la société, sur la base d’un système politique centralisé et autoritaire, avec un parti unique. La politique de laïcisation, conduite dès les années 1920 (abolition de califat en 1924, Constitution de 1928 qui ne reconnaît plus l’islam comme religion d’Etat, revendication de la laïcité comme principe de l’Etat turc en 1937), est restée sans équivalent dans le monde jusqu’à aujourd’hui dans un Etat musulman. Les oppositions

des peuples » (l.69) ont été identifiés, eux et leur mode opératoire comme le souligne l’emploi des mots « opération » (l.77) et « marchands de guerres » (l.91). Par cette dernière expression, Nasser fait allusion, de façon implicite, à la fin du califat musulman et à la restructuration du Moyen-Orient qui a fait suite à la première guerre mondiale, à ce qu’il appellera dans d’autres discours « le complot sioniste mondial» et, plus directement au Pacte de Bagdad, signé 1 an et demi plus tôt par l'Irak

a créé les nouvelles conditions intellectuelles dont Maimonide pour les juifs, saint Thomas d'Aquin pour les catholiques, ont tiré profit pour élaborer des systèmes théologiques qui ne sont pas entièrement périmés de nos jours. Après la chute du Califat de Cordoue (1031), la dislocation du pouvoir musulman et la pression grandissante de la « Reconquista » (la reconquête chrétienne), l'Islam nourrit une idéologie de combat (jihâd) pour mobiliser le grand nombre. Plutôt que de parler du « fanatisme