Champ Lexical De La Prison

description de la femme comme un cadavre et sa perception par le poète comme belle. Cela est clair à travers le champ lexical du cadavre : « vermine », « infâme », « pourriture », « puanteur » , et celui de la beauté et la sensualité : « reine », « ma beauté », « lubrique », « fleur s’épanouir » . Il existe un éloge paradoxal entre ces deux champs lexicaux. Ainsi, le poète utilise l’oxymore «  carcasse superbe  » qui montre que pour

reste incapable d’exprimer son amour à cette femme. D’abord, le thème amoureux a une place prédominante dans ce poème. Le poète y évoque d’emblée, dès le deuxième vers, le thème central de son poème, à savoir « l’amour ». On retrouve d’ailleurs le champ lexical de l’amour avec les termes « plaisir » au vers 4, « désir » au vers 6, ou encore « cœur » au vers 11, ce qui prouve bien que l’amour est le fil conducteur de ce poème puisque les termes sont présents du début à la fin. La métaphore du vers 6, « désir

capitulation française face a l'occupation allemande . Louis Aragon utilise très librement la forme de la ballade , en faisant alterner couplets et refrains . Ce poème est presque une chanson , car il y a un refrain ( x 5 ) . il y a aussi le champs lexical de la chanson . Poème , car alignement a gauche , rimes , strophes de 4 vers irréguliers ( court – long ) . Problématique : En quoi ce poème est -il un poème engagé ? Plan : I – Aragon rend hommage a Gabriel Péri II – Aragon appel

son buveur, on le voit avec « cher » mais en même temps il le juge avec « déshérité » (une perte de quelque chose, ce serait peut-être une raison de boire)(ou peut-être de Dieu, donc il vit dans le pêché, la souffrance). Au vers 3, on a « sous ma prison de verre », ça représente la bouteille en verre dans laquelle il est. Au vers 4, le vin « pousse un chant plein de lumière et de fraternité », la lumière représenterait l’espoir (de sortir de cette bouteille par exemple), et la fraternité donne

 qui  rythment  la  vie  des  enfants  -­‐-­‐>  champ  lexical  de  l’emprisonnement  avec   gradation  «prison»  puis  «bagne»  puis  «enfer»  +  répétition  de  «même»  insiste  sur  leur  sort  de  victime.   b.Souffrance  des  enfants   -­‐souffrance  physique  -­‐-­‐>  mise  en  valeur  par  champ  lexical  santé  maladive  :  «fatigue»,  «rachitisme»,   «fièvre»

Voltaire utilisent le champs lexical de la richesse du peuple qui montre non seulement la richesse mais aussi l'absence de manque: "nourriture abondante", rien ne leur manque" pour le texte de Thomas More, "d'or", "d'argent" dans Gargantua, pierreries" dans Candide ou l'Optimisme. On retrouve également le champ lexical de l'odorat dans deux des quatre textes: "les parfums", "les essences les plus odorantes", "odeur semblable a celle du gérofle et de la cannelle". Ces deux camps lexicaux soulignent la richesse

fois héritier des traditions médiévales et acquis aux idées nouvelles (naissance du sonnet, retour aux sources antiques) s’illustre à la cours du roi François 1er jusqu’au jour où il est accusé de pratiques hérétiques, ce qui lui vaut un séjour en prison du Chatelet dont il va en ressortir très profondément marqué. Cette épreuve lui inspire un long poème narratif, allégorique dans lequel il s’attaque aux fonctionnements de la justice et aux autorités religieuses. Dans l’extrait, le poètes raconte

sombres où le bonheur semble impossible. Ce passage présente bien sa façon de le décrire : « Derrière les ennuis et les sombres chagrins qui chargent de leur poids l’existence brumeuse, heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse s’élancer vers les champs lumineux et sereins; celui dont les pensers, comme des alouettes, vers les cieux le matin prennent un libre essor, - qui plane sur la vie, et comprend sans effort le langage des fleurs et des choses muettes! » (v. 13-20). Dans cette citation, Charles

Forme : champ lexical de la nature, arbre, piere, planté, oiseau, Champ lexical du temp, été, hiver, temps, absence, passe, recense, souvenir Vocabulaire péjoratif, pour exprimer une fatalité. Phrases déclaratives, il raconte une histoire. Figure de style : personnification, arbre

Vautrin, est un portrait hyperbolique exagéré qui dépasse le réel. Effectivement, Balzac, surcharge le texte, dès du début, d’énumérations concernâtes l’anatomie, les capacités et les connaissances du personnage : « il connaissait tout d’ailler….les prisons » « si quelque serrure allait mal …. « ça me connait » ». Toutes ces énumérations rendent compte au large écart des connaissances et des savoirs faire du personnage, qui dépassent l’ordinaire. Ces énumérations sont intégrées par des hyperboles : « il